Le débat sur la santé en France est comparable à une lutte entre la science et la foi, symbolisant la lumière contre les ténèbres.
Mon procès ressemble de plus en plus à une chasse aux sorcières moderne, où l'on m'accuse de promettre des remèdes miracles et d'empiéter sur la médecine conventionnelle.

Je crois au miracle, mais pas comme faiseur de miracles.
Je reconnais les avancées de la médecine, surtout en cas d'urgence, et respecte profondément les soignants.
Cependant, je souligne l'importance du "miracle de la vie", cette capacité intérieure de chaque personne à surmonter la maladie par la foi en sa propre puissance de guérison.

Le juge oublie que la science ne peut réaliser de miracles sans cette force de vie intrinsèque. Je rejette l'idée que la maladie définit une personne et prône une vision où les symptômes ne doivent pas entraver le bonheur et l'espoir.

On m'interdit désormais de parler de santé et de bien-être, et de participer à des conférences sur ces sujets.
Mais je défie cette restriction, affirmant que personne ne peut étouffer le miracle de la vie en chacun de nous.

Je continuerai à diffuser mon message, motivé par la réalisation de ma véritable vocation : combattre la peur et rappeler à chacun sa vitalité innée.