LE BONHEUR COMME ACTE RÉVOLUTIONNAIRE
Après quelques jours passés à errer dans les forêts et à gravir les montagnes, à laisser le vent pur balayer mes pensées et la terre brute absorber les scories de ce monde, quelque chose s'est éclairé en moi. Loin des écrans hypnotiques, des injonctions toxiques, et du brouhaha incessant, j'ai retrouvé ce que j'avais presque oublié. Le goût simple et puissant de la vraie vie. Une vie connectée à la nature, vivante, vibrante, ancrée dans le réel, loin des illusions que ce système cherche à nous imposer. Ce retour à l’essentiel m’a ouvert les yeux sur l’ampleur du mensonge de l'isolement et sur notre pouvoir immense à le refuser, à reconstruire un monde sain et humain où la vie, l’amour et la joie triompheront de leur sombre pièce de théâtre.
Imaginez un instant que ce que nous vivons actuellement n'est pas une simple période difficile, mais une véritable apocalypse. Nous vivons au cœur de cette apocalypse. Pas celle des films à gros budget où des météorites pulvérisent la planète, ni celle des textes sacrés où les trompettes annoncent la fin du monde, mais une apocalypse au sens premier du terme d'une révélation, d'une levée du voile de l'illusion qui nous a tous hypnotisée avec son confort suranné. L’apocalypse dont je parle est celle d'un regard brutal et impitoyable sur les rouages cachés de ce monde, longtemps dissimulés derrière le rideau du confort et des illusions dans une tragédie orchestrée par ces démiurges modernes.
C'est de cette révélation crue et rugueuse des manigances dissimulées d’un système gangrené par la corruption, la cupidité et l'indifférence dont je veux parler. Un système où les puissants, ces banquiers sans racines et ces élites déconnectées, jouent à accumuler des richesses et voler des ressources vitales qu’ils n’emporteront pourtant pas dans leur tombe, pendant que nous, les masses, piétinons dans une illusion qu’ils nous ont construite. Elle ne se traduit pas franchement par la destruction totale et visible de nos vies, mais par une décomposition silencieuse et pernicieuse de tout ce qui fait de nous des êtres humains.
Mais si cette apocalypse révèle l’horreur d’un monde manipulé, gangréné par la corruption et la violence, elle éclaire aussi cette vérité qu'ils cherchent à nous masquer à tout prix : nous sommes beaucoup plus nombreux qu'eux. Et eux, ces oligarques déracinés, fous de leur hybris, incapables de construire quoi que ce soit d'autre que des prisons, ne sont qu’une poignée, dans ce monde pourri par leur corruption systémique, les inégalités abyssales, et la cupidité insatiable de ceux qui détiennent le pouvoir. Une poignée d’hommes et de femmes, ces banquiers apatrides et élites globalisées, mènent une danse macabre.
Alors, pourquoi leur laisser les rênes ? Pourquoi leur accorder le luxe de continuer leur théâtre de marionnettes où nous ne sommes réduits qu'aux rôles des figurants ? La solution est finalement peut-être plus simple qu’il n’y paraît. Elle ne passera surement pas par un soulèvement spectaculaire, on a vu ce que cela a donné avec les Gilets Jaunes si violemment réprimés par cette odieuse milice décérébrée, ni des victoires écrasantes sur le champ de bataille puisque nous n'avons pas d'autres armes que notre courage et notre volonté. Mais nous pourrions bien gagner, in fine, par une véritable révolution intérieure, une réappropriation de ce qui fait de nous des êtres humains, qui vivent dans la joie, la connexion avec les autres, l'échange et le partage, en un mot : la vie.
Regardez autour de vous. Et vous constaterez que tout leur monde basé sur le mensonge et l'illusion depuis les guerres des siècles derniers, sur l'acquisition de biens matériels et la perte de notre essence spirituelle est en train d'exploser, de s’effondrer tel un château de cartes. Leur premiers dominos sont déjà tombés avec la mise en lumière des sociétés et des projets eugénistes et malthusiens du WEF, avec leur tentative de meurtre de masse basé sur des injections chimiques ; avec la folie sanguinaire des derniers colons en activité au Moyen-Orient ; avec aussi la duplicité des scientifiques achetés pour ne fabriquer que la mort ; avec les marionnettes politiciennes aux ordres des oligarques et leur élections truquées par informatique ; et enfin avec les intempéries fabriquées pour nous faire croire à leur délire climatique et créer les pénuries alimentaires...
Appauvrissant toujours plus leurs peuples pour mieux les contrôler, on voit clairement que les gouvernements, devenus pervers, soutiennent des génocides télévisés. Celui des sionistes, se cachant sous leurs kippas d'apparat pour justifier leur soif de sang et leur folie suprématiste, tout en sacrifiant leur propre peuple. Mais aussi celui des banquiers de BlackRock, The Vanguard Group et State Street Corporation qui, ayant tout acheté avec de la monnaie de singes, déclenchent désormais des guerres climatiques aussi ignobles qu'absurdes, plongeant ainsi des régions entières du monde dans des cauchemars sans fin, dans le but de vendre leur blé empoisonné venu d'Ukraine et leur bétail rendu toxique par des dizaines de "vaccins" devenus obligatoires.
Quant aux médias devenus prostitués, ils ne sont plus que les instruments de cette propagande crasseuse, porte-voix d’une oligarchie avilie et décadente qui tient fermement les rênes. Chaque jour, de nouvelles insanités sorties tout droit de leurs esprits détrangés, nous parviennent, nous agressent ; et nous restons encore là, hypnotisés et paralysés, tels des spectateurs incapables de détourner les yeux devant le sordide.
Dans ce monde agonisant où tout est fait pour nous isoler, nous diviser, nous maintenir dans un état de peur et de soumission, nous continuons de jouer leur jeu et permettons de financer leur folie avec nos impôts et taxes en tout genre. Mais pourquoi sommes-nous si impuissants à nous défendre face à ce déchainement de haine contre nous ? Peut-être simplement parce que nous avons oublié comment vivre libre, sainement et offrir à nos enfants la joie de l'instant. Nous avons troqué nos propres rêves contre des écrans, nos conversations pour des "likes", notre humanité pour un consumérisme sans âme, nos relations amicales contre des positions politiques préfabriquées… Et c’est là leur arme ultime ! Toutes ces machines numériques leurs ont donné la clé qui utilise notre incapacité à nous reconnecter à nous-mêmes et aux autres.
Les despotes qui dirigent notre monde ont compris une chose essentielle et l'applique à présent avec constance et zèle : diviser pour mieux régner ! Ils ont fait de l’individualisme une vertu et de la solidarité une faiblesse. Or, c'est cet individualisme qui est le poison, nous isolant, nous fragilisant chaque jour un peu plus et nous désarmant face à leur machine bien huilée. La vérité, c’est que nous ne sommes puissants qu'ensemble ! Nous avons cru à leur mensonge de la compétition au lieu de pratiquer la collaboration. Nous avons croqué la pomme de leur technologie qui nous empoisonne à grand coup de narcissisme. Alors que nous sommes la seule force de vie capable de renverser des montagnes, de soulever des continents et de chasser les tyrans, à la seule et unique condition de nous souvenir ce que signifie d’être des humains.
Pour cela, il nous faut rebrousser chemin et vouloir un retour à l’essentiel. Éteignons nos télévisions distillant le fiel de "la vision où tu es laid" et jetons définitivement ces smartphones qui, loin d'être un progrès, portent en eux le nom carcéral de "cellulaire". Reconnectons-nous à nos proches, à la nature environnante, à la simplicité des échanges chaleureux, à la collaboration et à l'entraide qui font le socle des civilisations nous ramenant aux joies d’enfants. Car c’est là que réside notre véritable puissance d'êtres humains ayant la capacité à aimer, à rire, à créer, à vivre pleinement et profiter des bienfaits que cette Terre nous offrait gratuitement et abondement. Et face à cela, toute leur richesse, tout leur pouvoir, toute leur folie oligarchique s’effondrera comme un château de cartes balayé par un coup de vent.
Or, ces "puissants" (parce que nous sommes faibles) veulent que nous soyons malheureux, abattus, désespérés et isolés. Pourquoi ? Parce que des masses heureuses, vibrantes de vie, sont incontrôlables ! Elles ne plient pas et n’acceptent pas les chaînes qu’on leur impose. Elles ne dépendent pas d'eux, ne suivent pas leurs règles mais bien celles de la vie. Alors ne vous méprenez pas sur le chemin à parcourir, car être heureux, dans ce monde dysfonctionnel, est un acte de rébellion puissant ! Ainsi, refuser de sombrer dans la dépression, refuser de se laisser écraser par la lourdeur du système en place, refuser de se laisser hypnotiser par les sirènes du confort matériel et refuser de participer à l'éclosion de leur technologie artificielle d'intelligence bridée, c’est déjà une victoire. Avant de changer le monde, il faut se changer soi-même !
Soyons clairs : lutter pour un monde meilleur ne signifie pas attendre un résultat immédiat. Comme le disait Chris Hedges : "Je ne combats pas les fascistes parce que je vais gagner. Je combats les fascistes parce qu’ils sont des fascistes." On peut adapter cette simple phrase à tout ce qui fait notre époque en parlant de ces banquiers prédateurs, de ces sionistes charognards, de ces hyènes du capitalisme, et de tous ceux qui ne vivent plus que dans la putréfaction de ce monde, qu'ils salissent avec entrain et plaisir. Car la lutte est une fin en soi, un acte de résistance contre l’injustice, une rébellion contre l'avidité, un soulèvement contre la décadence et l'immoralité. Mais ce combat d'une vie ne doit pas être un fardeau qui nous vole notre joie et nos envies de vivre. Au contraire, elle doit être alimentée par cette félicité d'être nés ici et maintenant, par cet amour inconditionnel pour la vérité, par cette nécessité de vivre dans la paix, la joie et la justice.
Alors, où trouver ce bonheur qui nous est tant promis et auquel ils nous refusent d'accéder ? Surement pas dans ces victoires chaotiques qui justifient de tout brûler pour pouvoir recommencer, ni dans ces affrontement avec des milices surarmées et entrainées, et encore moins dans des urnes déjà truquées. Car tout ceci nous fera subir beaucoup plus de pertes que de victoires. Nous ne trouverons pas non plus le bonheur dans l’attente d’un changement radical, ni d'un sauveur mondialisé car ce système est conçu justement pour y résister. Non, le bonheur et la victoire se trouvent dans nos cœurs et nos esprits libérées de leurs chaines d'illusions, dans ces petites choses qui font notre quotidien, dans ce souffle du vent sur notre visage, dans un sourire échangé, dans la beauté simple et miraculeuse de la vie qui ne cesse d'éclore sur cette planète, ou dans un art de vivre que nous pouvons et devons cultiver. C'est de cela dont nous manquons et pas d’une armée de martyrs dépressifs, mais bien d’une communauté vibrante et pleine de vie, prête à défendre ce qui est juste, non pas par obligation, mais par amour pour la vie !
Le choix du bonheur est désormais une compétence rare mais qu'il faut savoir partager, surtout au milieu du chaos. Et c’est précisément cette aptitude au bonheur qui fait de nous des combattants efficaces. Puisqu'un esprit accablé par le désespoir, illusionné par le confort solitaire, hypnotisé par le pouvoir sur ses congénères, est un esprit désarmé. Un esprit vibrant de vie, une âme remplie de joie, une volonté d'aider son prochain, sont en revanche des armes redoutables contre leur tyrannie.
Alors, ne sous-estimez plus jamais l’impact de votre bonheur sur le monde. Chaque moment de joie que vous laissez entrer dans votre vie rayonne autour de vous. Chaque sourire éclairera votre entourage, chaque soutien que vous apportez à ceux en difficulté sera des graines d'espoir plantées pour l'avenir. Ces actes simples et humbles inspirent, ils motivent, ils transforment. Ils sont des preuves qui confortent, des exemples qui enseignent, des semences qui suivent le vent et se plantent dans la bonne terre. En choisissant d’être heureux, vous ne vous contentez pas de vous faire seulement du bien. Vous changez la dynamique même de ce monde en perdition faute de collaboration. Vous devenez un phare, une étincelle de lumière, un repère dans une mer de désespoir. Et c’est précisément ce dont nous avons le plus besoin !
Imaginez maintenant ce que pourrait être un monde où nous serions tous unis par cet amour de l'autre, par cette joie pour la vie. Un monde où nous cesserions de jouer leur jeu, où nous refuserions de participer à leur mascarade en jetant simplement nos smartphones. En éteignant vraiment les télévisons, en achetant que ce qui est sain et naturellement bon. En éliminant cette compétition matérielle et en revenant à la collaboration spirituelle. Les élites ne peuvent exister sans notre consentement, sans notre participation passive à leur système, sans notre argent durement gagné qu'ils nous volent chaque jour un peu plus. Et ce consentement, nous avons en nous le pouvoir de leur retirer à tout moment. Il suffit d'un peu de courage pour dire non, un peu de retenue dans notre consommation, un peu d'envie d'éprouver le bonheur du partage plutôt que la solitude de l'acquisition.
Car soyez sûrs que l’avenir n’appartient pas à ces dominateurs déracinés. Il appartient à ceux qui vivent pleinement, à ceux qui aiment, à ceux qui osent rêver d’un monde meilleur et le construisent patiemment. Nous n’avons pas besoin de leurs richesses, de leurs technologies de contrôle, ni de leur pouvoir. Ce que nous avons, c’est la vie elle-même, et c’est infiniment plus précieux.
Alors, continuons à être ces grains de sable dans les engrenages de leur machine. Et comme le disait si justement un de mes lecteurs, continuons à élever nos enfants dans la simplicité des échanges et du respect des ainés. Continuons à défendre la vérité, la paix et la justice, non pas parce que nous espérons une victoire immédiate, ni même voulons les écraser du talon comme on le fait à des parasites, mais parce que c’est la bonne chose à faire si nous voulons changer ce monde devenu infernal. Et faisons-le avec joie, passion, et avec cette certitude que, même si nous ne voyons pas le fruit de nos efforts, nous aurons malgré tout planté les graines d’un monde nouveau et vécus une vie sans regrets, puisque nous aurons fait ce qu'il fallait pour l'enjouer. Car leur système est si fragile, si faux, si rapidement voué à l'échec par cette obsolescence matérielle, qu'il ne repose finalement que sur notre ignorance, notre division, notre désespoir, ce qu'ils entretiennent par leurs écrans interposés entre nous et la vraie vie.
Alors, si nous choisissons simplement de vivre, de nous unir dans l'entraide et le partage, mais pas à l'autre bout du monde, juste avec nos voisins, nos familles et nos amis ; si nous choisissons de nous réapproprier notre humanité en écartant de notre chemin toutes ces "petites mains" qui font le mal, tels des maillons faibles d'une chaine qui les brisent et les soumets à des salaires de misère, alors leur folie cessera d’exister ! Et c’est là leur plus grande peur.
Nous sommes si nombreux, infiniment plus nombreux qu’eux. Alors, respirez, souriez, aidez et ressentez la vie en vous ! C'est ainsi qu'il faut continuer le combat. Pas en détruisant, mais en construisant. Pas en sombrant, mais en s’élevant. Pas en s'inclinant mais en les écartant de nos vies. Non pas dans la haine ou le désespoir, mais dans l’amour et la joie, car c’est ainsi que l’on gagne. Alors, continuons ! Continuons à nous battre, non pas pour des résultats immédiats, mais parce que c’est juste. Continuons à semer des graines de bonheur, d’espoir et de vérité, même si nous ne verrons pas leur récolte de notre vivant. Leur monde est si fragile, basé sur le mensonge et l’illusion. Le nôtre, s’il est construit sur la vérité, l’entraide et l’amour, est indestructible ! Et laissons le reste s’écrouler sous le poids de sa propre folie.
Imaginez une seconde si leur monde s’effondrait, simplement parce que nous avons choisi d’aimer ? Alors, levons-nous, non pas dans la rage de la guerre, mais dans la lumière de la vie. Refusons leurs chaînes technologiques, écartons leurs discours belliqueux, boycottons leurs produits vaniteux et reprenons notre humanité en main. Soyons des phares d’amour, des bâtisseurs de demain, des porteurs de joie ! Car ce n’est pas leur domination qui scellera notre destin, mais bien notre choix de vivre pleinement, ensemble, libres et unis dans l'esprit. Alors, leur système s’effondrera, car nous aurons simplement choisi la vie !
Comme ils ne veulent pas que nous soyons heureux, alors soyons-le ensemble. Passons de la révolte intérieure à la révolution humaine et de la tyrannie des élites à la puissance de la joie !
Phil BROQ.
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