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Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

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Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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3 octobre 2024

« Croyez-moi, je n’ai pas oublié ce que le Rabbi m’a dit ! » + Le jour où Israël a attaqué l’Amérique

 

 

par Conscience du peuple

Je rappelle que Netanyahu a été mandaté par le rabbi de Loubavitch, en 1990, pour susciter l’arrivée du Mashia’h.

« Après le discours historique à l’ONU et l’élimination réussie de Nasrallah, Bibi Netanyahou a rencontré les dirigeants juifs et a dit aux Loubavitch comment il se souvenait des paroles du Rabbi.

La réunion a également réuni le rabbin Zalman Zevulunov et le rabbin Levi Yitzchak Wolovik , responsables du réseau éducatif Ohr Avner Chabad-Lubavitch aux Etats-Unis, créé par le philanthrope R’ Levi Leviev.

Le rabbin Zevulunov a serré la main du Premier ministre et a évoqué la conversation de 45 minutes que le Premier ministre a eue lors de sa première rencontre avec le Rabbi, qui a eu lieu il y a 40 ans, le soir de Sim’hat Torah, pendant le hakafot à 770.

 

Le Premier ministre a exprimé sa gratitude pour ces propos, affirmant qu’il n’oublie jamais les paroles prophétiques et détaillées du Rabbi à son égard :

« Croyez-moi, je n’ai pas oublié ce que le Rabbi m’a dit ! », a déclaré Netanyahu aux chlou’him. »

Conscience du peuple, le 1er octobre 2024

Rappels :

Pour le rav Ron Chaya, ça y est, le messie (Machia’h) est arrivé !

Israël est un Etat terroriste

Thierry Meyssan sur les dessous des relations irano-israéliennes

Israël et l’Iran exploitent ensemble le pipeline Eilat-Ashkelon

 
Commentaires sur la page de OD:
2 commentaires pour « Croyez-moi, je n’ai pas oublié ce que le Rabbi m’a dit ! »
  1. matbee dit :

    En effet Olivier, c’est une « guerre » à fleurets mouchetés entre Israël et l’Iran…

    Ils font très bien semblant… sur le dos des peuples arabes et palestiniens qui vont pouvoir être « nettoyés » et cocufiés tranquillement.

    • Oui ça revient à ça : des intérêts stratégiques communs et beaucoup d’esbroufe…

      En tout cas les « proxies » de l’Iran ont des raisons légitimes de penser qu’ils ont été bernés. L’Iran est un tigre de papier, dont les représailles contre Israël hier (« la pluie de missiles balistiques ») n’ont fait qu’une seule victime, un pauvre Palestinien.

      Les « experts » sionistes ont beau écumer les médias pour nous expliquer, une nouvelle fois, que l’Iran aura bientôt l’arme nucléaire, et blabla et blablabla… on voit bien que tout ça n’est qu’un jeu de dupes, une pantalonnade.

      Dont le Liban, en revanche, va faire encore les frais…

 

Via:

 

Complément:

 

Le jour où Israël a attaqué l’Amérique

 

 

Le 8 juin 1967, l'USS Liberty, un navire espion américain faiblement armé, patrouillait au large des côtes égyptiennes. Bien qu'il ait été clairement identifié par des avions de reconnaissance israéliens, l'État-major israélien donna l'ordre d'ouvrir le feu sur ce navire américain et de tout faire pour le couler à l'aide de torpilleurs, tandis que des avions de chasse mitraillaient le pont pour éliminer tous les membres de l'équipage, utilisant des obus perforants et des bombes au napalm pour s'assurer qu'aucun témoin ne puisse survivre.

 

Cette attaque fit 34 morts et 173 blessés graves.

 

Lyndon Johnson, alors président des États-Unis, bien que fervent partisan d'Israël, accusa Israël d’avoir attaqué volontairement l’USS Liberty. Peut de temps après, il fut menacé de perdre le soutien financier des lobbies juifs, principaux contributeurs aux campagnes électorales américaines. Cette menace faisait peser un risque considérable sur sa carrière politique. Pour préserver son avenir, Johnson mit tout en œuvre pour minimiser l'attaque israélienne contre ce navire de guerre américain. Les autorités américaines sont allées jusqu'à rabaisser les survivants et leurs familles.

 

Certains prétendent même qu'il y aurait eu un accord secret entre Tel Aviv et la Maison-Blanche pour couler le Liberty et en imputer la responsabilité à l'Égypte, afin de justifier une attaque américaine contre Le Caire. Des témoignages ont révélé que trois avions de chasse américains, stationnés sur des porte-avions de la sixième flotte, étaient déjà équipés de bombes nucléaires avant l'attaque du Liberty. Cependant, après l'échec de la tentative de couler le navire, des bombes conventionnelles furent montées à la place des bombes nucléaires.

 

 

 

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La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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