Le gouvernement israélien ne se contente pas de lancer son armée contre les palestiniens,

Il s'attaque également à la foi chrétienne,

et même aux soldats de la FINUL de l'ONU censée justement s'interposer pour éviter des massacres.

Si l'on se réfère à la loi du talion, oeil pour oeil, dent pour dent, ce gouvernement sioniste a dépassé depuis longtemps les lignes rouges, en gardant à l'esprit que le sionisme n'est pas une religion mais une idéologie politique qui se sert d'une religion pour exterminer les autres :

7 octobre 2023, rapide incursion dans l'état le plus renseigné, le plus protégé, "vidéo-surveillé" du monde, d'environ 1500 hommes que personne n'avait vu venir.

Intervention tardive de l'armée étrangement absente aux points de frontière.

Fin de journée, environ 1200 morts coté Israël. Quelques jours plus tard, l'armée israélienne reconnaîtra être responsable de la mort d'un nombre important d'israéliens, arguant n'avoir pas pu faire la différence avec les terroristes.

21 octobre 2024, environ 45000 morts palestiniens à Gaza, auxquels on peut rajouter les morts en Cisjordanie, au Liban et en Syrie. 

Malgré les gesticulations médiatiques d'un monarc en perdition qui dit des choses qu'il ne fallait pas répéter mais dont il fait quand même la com' à la presse, le gouvernement Barnier justifie, pile un an plus tard, sa position de vendeurs d'armes.

Arkébi

.

.

L'aviation israélienne a frappé la ville de Rayak, au Liban, détruisant l'église Saint-Georges et le cimetières chrétien Rayak Al-Fouqa. Cette attaque, qui cible directement la foi chrétienne et la mémoire des morts, est perçue comme une agression contre les valeurs universelles de paix et de respect.

Témoignages poignants : « Ils combattent même nos morts »

Sur place, les témoignages obtenus par la chaîne d’information Spot Shot, dépeignent une scène de désolation. Celui qu’on surnomme l’Oncle Asaad, un habitant, se tient au milieu des débris. Les tombes de sa famille ont été anéanties. « Nos morts manquent à l’appel », dit-il, les larmes aux yeux. Ses ancêtres reposaient ici depuis des siècles.

« Nos défunts sont-ils des combattants ? Qu’avons-nous fait à Netanyahou ? Mes parents, grands-parents et arrières grands-parents sont ici depuis 200, 300 ans. Voici leur destin. Même dans leur tombe, ils voient un destin terrible. C’est la 5ème fois, que l’on nous cible. »

Destruction des tombes chrétiennes : une attaque contre l’humanité

L’attaque contre les cimetières n’est pas un simple dommage collatéral. Il s’agit d’une profanation des tombes chrétiennes, une violation grave du droit à la mémoire. En ciblant ces sépultures, Israël n’attaque pas seulement les habitants de Rayak, mais l’ensemble des chrétiens à travers le monde. Les valeurs sacrées sont bafouées, et la figure du Christ est symboliquement visée.

« Le Christ a été crucifié pour nous et aujourd’hui, ce sont nos morts qui sont crucifiés une seconde fois sous les bombes israéliennes. », rappelle l’oncle Asaad,

L’église Saint-Georges en ruines : un coup porté à la foi chrétienne

L’église Saint-Georges, un édifice religieux ancien, a également subi de lourds dégâts. Les murs qui ont vu tant de prières et de célébrations sont réduits en décombres. Pour le Père Qamir Obaidi, curé de l’église, cette attaque dépasse la simple destruction matérielle. « Israël n’épargne rien ni personne, même les lieux de culte sont pris pour cible », déclare-t-il, bouleversé par l’ampleur de la dévastation.

Les corps des défunts déplacés : l’exil forcé des morts

La population locale, sous le choc, a dû entreprendre un acte déchirant. Les corps des proches enterrés dans le cimetière ont été déplacés vers des lieux plus sûrs. Des prières murmurées accompagnent cet exil forcé, alors que les familles s’efforcent de préserver ce qui reste des défunts.

« Nous avons prié pour nos morts avant de les transférer »

Un tournant sombre : une attaque contre les valeurs universelles

Cette attaque marque un tournant grave dans le conflit. En profanant les cimetières et en s’attaquant aux symboles chrétiens, Israël cible directement les valeurs humaines et universelles. Le message est clair : aucune pitié, même pour ceux qui sont déjà partis.

Cette agression n’est pas seulement une attaque contre les chrétiens du Liban, mais contre tous les croyants, quelle que soit leur origine. Elle incarne une offense profonde envers l’amour du prochain et le respect des morts.

Suite de l'article et source:

  Le Fil d'Arkébi  

 - Actualités, Réalités, Histoire, Mystères, Nuances - 

Le blog n'est pas responsable

des déclarations exactes, vraies, avérées, sourcées, ou

inexactes, fausses, faussées, et/ou incorrectes,

contenus dans les articles, vidéos, commentaires, liens publiés,

partagés dans un esprit complémentaire et/ou contradictoire.

Pour résumer, un point de vue plus global.

RESTEZ CURIEUX,

FAITES VOS RECHERCHES