Ce matin sur Tocsin : Le Jarl revient sur les polémiques qu'il a suscitées dernièrement, un triptyque de juristes expliquent en quoi la condamnation de Marine Le Pen est scandaleuse, et Didier Maïsto s'écharpe avec Renaud Camus.

« Face au monde numérique et à la société du management, il est urgent de rendre un sens au travail. »

L’Institut Iliade vous invitent à vous rendre, samedi 5 avril prochain à la Maison de la Chimie à Paris, pour son colloque annuel autour du thème « Penser le travail de demain. »

Pour réserver vos places :

https://institutiliade.com/iliade/evenements/colloque-2025-penser-le-travail-de-demain/

« Je ne connaissais pas Renaud Camus, et je me suis dit que pour une fois, j’allais écouter ce qu’il avait à dire. »

Didier Maïsto répond sans détour à Renaud Camus suite à son entretien avec André Bercoff sur Tocsin.

« Il y a eu un bidouillage juridique. Le jugement s’appuie en partie sur des lois postérieures aux faits reprochés à Marine Le Pen. »

Trois juristes spécialisés examinent en profondeur le délibéré du jugement de Marine Le Pen, et concluent à un coup de force institutionnel de la part de la Justice.

« Marine Le Pen a voulu jouer la carte du système, et le système l’a roté. »

Alexandre Cuignache d’Apreval appelle les citoyens à se lever contre le gouvernement des juges.

« Ce que l’on a mis en place ne fonctionne plus en France et en Europe. En une génération, l’extrême violence a explosé. »

De ces procès à sa méthode musclée, le Jarl répond sans filtre à Tocsin.

C’est peu dire que le Jarl embrase l’actualité en ce moment. Hormis les accusations virulentes à son égard lancées sur les réseaux sociaux par d’anciens collaborateurs, il vient de se faire licencier de la boîte de nuit rennaise dans laquelle il officiait jusqu’alors, du fait de vidéos de rixes qui ont circulé sur Internet, et pour lesquelles une enquête policière est en cours.

Quoiqu’il en soit, l’homme répond sans détour à toutes les questions qu’on lui pose, et son livre n’épargne aucun sujet. Il revient sur une longue expérience confrontée à la violence de rue. Directeur de boîte de nuit pendant plusieurs années, il était contacté par des mairies pour y rétablir l’ordre. Son constat ? Une partie de la jeunesse est à ce point ensauvagée qu’elle ne comprend que le langage de la force.

Le Jarl tente surtout de s’interroger sur les racines de ce mal. Il appelle à la responsabilisation des parents et à des lois éducatives plus autoritaires, seules à même de discipliner la jeunesse. Son expérience en boîte de nuit l’a amené à analyser les comportements humains. Si l’on souhaite que les différents groupes présents sur le territoire français puissent cohabiter, il va falloir amorcer un sérieux réveil. Ou alors, comme nous prévient le titre de son livre : « Ça va mal finir. »

Tohu-bohu parlementaire : quand l’inéligibilité de Marine Le Pen enflamme l’Assemblée.

Roxane d’Espalungue fait le best-of des clashs politiques de la semaine.