- LE FORMALDEHYDE INTERDIT DANS TOUS LES OBJETS POUR ENFANTS… SAUF LES VACCINS !
- La lettre de Michel Dogna
Les législateurs de l’Etat du Minnesota ont décidé que le formaldéhyde, agent cancérigène connu et redoutable, était trop dangereux pour qu’il puisse se trouver dans les produits pour enfants. Conformément à l’article 325F.175–(HF458), les produits contenant du formaldéhyde seront interdits à la vente à partir du 1er août 2014 pour les fabricants, et à partir du 1er août 2014 pour les détaillants. Comment se fait-il que le formaldéhyde soit interdit dans les jouets et les vêtements pour enfants et qu’il puisse encore se trouver dans les vaccins ? On reste perplexe. Les législateurs ne veulent pas que votre enfant puisse jouer ou mettre dans sa bouche des produits qui contiennent du formaldéhyde, mais si votre médecin injecte un vaccin contenant du forma ldéhyde, là il n’y aurait aucun problème ?
On peut d’abord se poser la question de savoir pourquoi on trouve du formaldéhyde dans les vaccins. En fait, ce produit chimique a été utilisé dans le processus de fabrication des vaccins pendant plus d’un demi- siècle. On a commencé à l’utiliser pour inactiver le virus de la polio dans les premiers vaccins mis au point par Jonas Salk à la fin des années 1940 et au début des années 1950. Mais le formaldéhyde n’a pu inactiver tous les virus du vaccin. Ainsi, l’on sait depuis que le vaccin polio a été contaminé par le virus simien cancérogène SV40.
Après avoir été utilisé dans le vaccin polio, le formaldéhyde a été largement utilisé dans la fabrication des vaccins pédiatriques. Pour nous rendre compte du nombre de vaccins qui contiennent ce produit cancérogène, jetons un coup d’œil au site de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie. Par rapport à la teneur en formaldéhyde des vaccins homologués pour utilisation aux Etats-Unis, la quantité par dose a été convertie de mg en mcg
Td / DT: ≤ 20 mcg – 100 mcg / Daptacel: ≤ 100 mcg / Infanrix: ≤ 100 mcg / Tripedia: ≤ 100 mcg Pediarix: ≤ 100 mcg / Havrix: ≤ 50 mcg (pediatric) / Vaqta: 4 mcg (pediatric) / Twinrix: ≤ 100 mcg Comvax: < 0.4 mcg / IPOL: ≤20 mcg / JE-Vax: < 200 mcg / ADACEL: < 5 mcg / Boostrix: < 100 mcg Fluarix: ≤ 5 mcg / FluLaval: < 25 mcg / Fluzone – intradermal: < 20 mcg.
Il est intéressant de jeter un coup d’œil au calendrier de vaccinations des USA pour se rendre compte des doses de formaldéhyde qui sont injectées aux enfants : http://vactruth.com/baby-vaccine-schedule/
Que disent les experts ?
D’une part, la recherche sur le site de l’Environmental Protection Agency (EPA), nous met en garde en disant : « Le formaldéhyde peut endommager les cellules en se liant à l’ADN et ainsi former des adduits ADN de formaldéhyde ; ce processus peut interférer avec la réplication de l’ADN et conduire à des mutations comme à des tumeurs cancéreuses. » Cela devrait être extrêmement préoccupant parce que dans chaque notice de vaccin, on peut trouver le passage suivant « Ce vaccin n’a pas été évalué pour ses effets cancérogènes, ses potentiels mutagènes ou l’altération de la fertilité. »
L’autre aspect est l’argument avancé par la FDA, qui justifie la présence de formaldéhyde dans les vaccins est le suivant : « La quantité de formaldéhyde présente dans certains vaccins administrés aux nourrissons est si faible par rapport à la concentration qui se produit naturellement dans le corps qu’elle ne pose pas un problème de sécurité, selon une étude utilisant un modèle mathématique mis au point par des scientifiques de la FDA américaine. »
Mais ce modèle mathématique (tout à fait théorique) a-t-il été le seul critère utilisé pour déterminer si le formaldéhyde ne présentait aucun danger quand il est injecté à des bébés ?
Par ailleurs, de nombreux pharmaciens recommandent de ne pas mélanger les médicaments. Les vaccins ne sont-ils pas après tout aussi des médicaments ? Quels sont les effets synergiques de vaccins multiples, d’ingrédients multiples comme le mercure, l’aluminium que l’on injecte souvent en même temps à des bébés ? A noter aussi que la littérature pharmaceutique met en garde les scientifiques arrogants par rapport à de grandes hypothèses concernant l’impact d’ingrédients « dits inoffensifs » sur les enfants.
Conclusion
Si la législature est préoccupée par les vêtements ou les jouets d’enfants qui contiennent du formaldéhyde, comment peut-on honnêtement accorder un passe-droit à des produits pharmaceutiques à ingérer ou à injecter qui en contiennent ?
Les responsables gouvernementaux ne connaissent ni le nom ni le visage de votre enfant. Ils se préoccupent de garder leur poste en veillant à respecter les politiques mises en place. Et n’oubliez pas : s’il arrive que votre enfant soit victime d’un effet secondaire de vaccin, les fabricants, eux, sont protégés par la loi.
Enfin, pour ceux qui veulent piocher le sujet, il existe un document ancien de Martin H. Fisher (à chercher dans google) qui explique ce qui arrive quand on injecte du formaldéhyde à des animaux : « Les effets toxiques du Formaldéhyde et du formol. »
Paru dans le journal Contr'Infos n° 70 d'octobre 2016
Une infirmière qui a 30 ans d'expérience quitte son métier parce qu'elle ne veut plus collaborer à endommager la santé des prématurés avec des vaccins Health Impact News 21 décembre 2016 L'équipe VAXXED vient d'interviewer une infirmière californienne qui pratique son métier depuis 30 ans.
http://initiativecitoyenne.be
Que montrent ces études ? La recherche montre indéniablement que les enfants non vaccinés jouissent d’une santé bien meilleure que les vaccinés. Les enfants non vaccinés ne connaissent pratiquement pas de cas d’autisme, de troubles auto-immuns, d’asthme, d’allergies, de diabète et d’autres maladies infantiles ordinaires qui ont atteint des proportions épidémiques ces dernières années.
http://www.2012un-nouveau-paradigme.com
Merci à Graine de Piaf sur LME
Commentaire de Lily sur LME: "Rien de surprenant, étant donné que la plupart des américains ne savent même pas que les vaccins ont été jugés inévitablement dangereux par la Cour Suprême des Etats-Unis en 2011."
Le " Tribunal américain des vaccins " enregistre un pic de dédommagements de 400% - le vaccin contre la grippe détient tous les records d'indemnisation Retombées du vaccin contre la grippe
http://initiativecitoyenne.be
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Chère amie, cher ami,
En novembre 2015, avec 2500 requérants, nous avons lancé une action auprès de la Ministre de la Santé, Madame Marisol Touraine, pour qu’elle s’explique au sujet de l’affaire DTP.
Cette dernière n’ayant pas répondu officiellement, l’affaire est remontée au Conseil d’Etat.
Notre requête a été portée et défendue par notre avocate Maître Jacqueline Bergel-Hatchuel.
Nous attendions la réponse de la Haute Instance. L’insistance de notre avocate auprès du Ministère puis du Conseil d’Etat a fini par porter ses fruits. Nous avons obtenu une audience le 16 janvier prochain.
Evidemment, l’issue est incertaine.
La sortie du rapport du Comité de Vaccination et surtout les propositions qu’il contient ne sont pas de bonnes nouvelles et nous inquiètent.
Pour autant, le fait que l’affaire soit posée officiellement sur la table (et non pas remise aux calendes grecques ou enterrée en catimini) est une première victoire. Elle montre qu’au niveau du Conseil d’Etat (et donc de l’Etat), les choses ne sont pas aussi simples que l’on peut l’imaginer.
Votre détermination et votre mobilisation auprès de la Ministre aura de toute façon permis de déterrer un sujet que les autorités avaient enfoui depuis 2008 !
Vous avez poussé l’Etat à se positionner ! Quelle que soit la décision rendue, elle nous donnera certainement des raisons de continuer à agir sur cette question de l’obligation vaccinale qui, de plus en plus, pose problème dans nos démocraties.
Plus que jamais, signez notre dernière pétition sur le rapport du Comité de Vaccination.
Reste à voir quelle justice sera rendue. Ce sera lundi prochain. Nous y serons et vous ferons un compte rendu circonstancié de ce qui ce sera dit par les conseillers d’Etat.
En attendant, je vous propose ci-après un rapide rappel des faits pour que vous ayez bien en tête les enjeux de cette histoire du DTP : un scandale d’Etat.
L’obligation vaccinale en France
Vous le savez sûrement, il existe en France une obligation vaccinale qui couvre trois maladies : la diphtérie, le tétanos, et la poliomyélite.
Tout nourrisson doit être vacciné contre ces trois maladies avant ses 18 mois.
Cette obligation est évidemment assortie d’une sanction pénale. Les parents qui ne vaccinent pas leurs bébés risquent la prison et le retrait de la garde de leurs enfants. Ce n’est pas une petite conséquence !
Pendant 50 ans et jusqu’en 2008, il était possible de vacciner les enfants avec un vaccin de chez Biomérieux contre le DTP. C’était un vaccin sûr qui ne contenait pas d’aluminium. Il coûtait 6,54 euros.
Mais progressivement, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé ce vaccin par d’autres vaccins « combos ».
Au fil des évolutions (on a connu le tétravalent, puis le pentavalent), est arrivé « l’hexavalent » un « super vaccin » qui contient les trois vaccins obligatoires (DTP) + trois autres valences contre :
- La coqueluche
- L’influenza b
- L’hépatite B
Ce « super vaccin » hexavalent pose trois problèmes bien identifiés par les scientifiques :
01. Les dangers du vaccin contre l’hépatite B !
Le problème est que ce dernier vaccin est très controversé. La campagne de vaccination menée dans les années 90 avait dû être arrêtée en raison des nombreux effets secondaires que les vaccinations de masse avaient déclenchés au sein de la population.
Un certain nombre de victimes de la campagne de vaccination contre l’hépatite B ont porté plainte contre les autorités. La Cour de Cassation a reconnu par deux fois qu’il existe un lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques.
02. L’aluminium, toxique et cancérigène !
Autre difficulté, ce vaccin hexavalent contient de l’aluminium ainsi que du formaldéhyde (ce dernier en moindre quantité). Or ces deux substances toxiques sont hautement cancérigènes.
Le caractère dangereux de l’aluminium dans les vaccins a été démontré par une équipe de chercheurs autour du Pr Romain Gherardi de l’hôpital Mondor.
D’autres équipes de chercheurs dans le monde se sont intéressés à l’effet des métaux lourds – dont l’aluminium – sur la santé. Il est désormais déconseillé d’utiliser de l’aluminium dans sa cuisine, voire de consommer des conserves en aluminium. C’est vrai aussi pour les canettes de soda, de Coca-Cola notamment. Même l’aluminium dans les déodorants n’est plus en odeur de sainteté !
Or, le déodorant est utilisé sur la peau. Là on parle d’injections…
03. Le prix a été multiplié par 5 !
Enfin, il est noté que la disparition du vaccin DTP, si elle a lésé le public, a largement été bénéfique aux laboratoires qui en ont profité pour augmenter les prix.
En quelques années, le vaccin est passé de 6,54 euros à 39 euros.
Dans la mesure où ce « super vaccin » est le seul disponible pour se conformer à l’obligation vaccinale, les parents qui ne veulent pas aller en prison n’ont pas d’autre choix que de payer (beaucoup plus cher !) ce nouveau vaccin.
Comme il est remboursé, cela paraît indolore pour la population. Mais, in fine, ce sont bien vos impôts qui payent les énormes profits de cette opération qui ressemble fort à une escroquerie bien organisée.
L’Audience au Conseil d’Etat le 16 janvier 2016
Au niveau juridique, MaîtreJacqueline Bergel-Hatchuel a formulé, à travers la requête, trois questions devant le Conseil d’Etat :
- Le non respect du principe de précaution,
- La vente liée,
- La non-assistance à personne en danger.
En effet, l’Etat met à disposition des citoyens – par le biais d’un laboratoire pharmaceutique :
- Qu’un vaccin, dont les scientifiques ne sont pas sûrs (non respect du principe de précaution)
- Un produit qui ne correspond pas à l’obligation vaccinale. Il contient plus de produits que ce que l’obligation requiert et coûte, du coup, beaucoup plus cher (vente liée).
- L’Etat n’a rien fait pour empêcher l’exposition des bébés à des substances (aluminium) ou produits (vaccin anti-hépatite B) dangereux et controversés.
Que dira le Conseil d’Etat ? Nous en saurons plus lundi 16 janvier 2017.
Bien à vous,
Augustin de Livois