- Dans quel état sommes-nous ? Dans quel état j'erre ?
Nous sommes dans un état contradictoire, le fameux : "En même temps";
Nous sommes dans un état de contradicteurs, de menteurs; de malins....
Nous sommes dans un état d'énervement, c'est certain;
Nous sommes dans un état de manipulateurs, à leur fin........
Alors on digère, sans monter sur les tas,
on dit "gère", cet état en l'état....
on dit "j'erre", quand c'est l'état de travers,
l'état qui n'est plus droit, l'état adroit, l'état a droit,
et même à droite.... tout au bout, en tournant, en courrant,
pratiquement à l'extrème, de tous les courants.
Dans quel état sommes-nous ? Dans quel état ? J'erre ....
Et Il y a le clou qui supporte,
....ou la vis,....la vie,
mais quand il est trop serré
....le vice,....dévie.
- Qu'est-ce que l'étagère?
-
En pratique, un support bien droit, mural, qui doit permettre de maintenir des écrits, écrits pour certains depuis longtemps, et qui sont des fondements, fixés, solidement, et qui ne doivent jamais tomber, une fonction forte.
- Et qu'est-ce que l'état gère?
-
En théorie, un support bien droit, moral, qui doit permettre de maintenir des écrits, écrits pour certains depuis longtemps, et qui sont des fondements, fixés, solidement, pour ne point tomber; une fonction forte.
Et donc au dela de la fonction du clou qui devrait tenir,
même bien accrochés ou tenus....
des murs ont déjà tremblé,
et des maçons, francs,
non pas par nature, mais plutôt par intérêt,
par voeux, prières ou incantations,
ont fini par tomber, décrocher, s'écrouler;
Même si l'officiel nous montre et nous résume l'histoire, avec, évidemment, la conviction du vainqueur, d'officier droit comme l'équerre, assez carré ou tordu pour se servir, d'un ou plusieurs compas, gnongnon, et donc de ses frères, au nom d'un père, architecte, concepteur; banquier, ainsi font....
....c'est une histoire ....
....triangulaire....
....aux angles sanguinaires, projetant un oeil de sorts....on pourrait dire, aux pouvoirs mortels, tant ils se sentent immortels, enchaînant ou détruisant des contrés entières. C'est un état de fait, de fer, à défaire.
Qu'il y a les faux vaincus, quand les faux-culs vint (mais des vins doux, et des vins cuits aussi) sorte d'adversaires sous la coupe, regroupant le con-tenant et le con-tenu, mais qui peuvent ensemble boire un verre de vin dans un ballon, dans un cercle, privé, pour partager la Terre qu'ils s'accapare, et qui a fait leurs richesses avec ses largesses, mais toujours sous le contrôle, la supervision, la comptabilité, la manipulation, le vice, de géants-gérants-descendants-ascendants fortunés, n'ayant même plus d'état, géographique, psychique, moral, pour rien, pour tout, mais pas pour tous.
Qu'il y a donc les tas, de purs Un, et donc composés d'un macérat de semi-hommes formatés, semi-machines sélectionnés, programmées, superposés au fil du temps et recouvrant les parties des géants et des gens qu'ils grattent bien, accrochés comme des morts-pions avec des fils barbelés qui piquent tout ce qu'ils peuvent.... à vous laisser ou à vous faire, crever.
Les tas de pantins ou l'état de marionnettes choisies-élues pour la forme, informent à Sion, et sont en marche, rampant devant leurs grands maîtres et aboyant en même temps au travers des écrans, sur leurs esclaves, serviteurs, laquais, environnants, qui en profitent également, illégalement, pour en faire autant sur la base de la pyramide, la base de ceux qui savent qu'ils tiennent ensemble, peuvent ensemble, déclencher le basculement, l'effondrement, Résister.
Les Grands Invisibles gèrent, "milicent", et jouent au casino de la vie et de la mort avec tout ces pions corrompus, ou menacés, mais potentiellement transformables, malléables, éjectables, injectables, ceci afin de récupérer un corps, du sang, une énergie, une âme;
Leur sous mission, la soumission.
"le réveil sonne, je dois me lever, la tête qui raisonne d'une nuit agité ...."
Au goût du jour, levant, il y a cette phrase, bien significative :
-
Comment en sommes nous arriver là ?.... !?
Combien de personnes se posent des questions?
-
cherches une réponse ?.... !
Combien de personnes esclaves ne s'en poseraient même pas?
-
S'il n'y avait pas cette peur de s'en poser encore plus ? ....
Combien de personnes esclaves, numéros, ne s'en posent même plus.
-
De peur de voir les réponses ....
Et pourtant....
" le réveil sonne, je dois me lever, la tête qui raisonne ...."
Et pourtant, l'accès exponentiel à l'information, et ce depuis la nuit des temps, à permis de progresser, dans sa plus pure définition; et doit, devrait, permettre d'approfondir nos capacités de mémorisation, de réflexion, dont découle l'action adéquate, instinctive, une respiration nécessaire.
Et pourtant, l'accès exponentiel à l'information, et ce depuis la nuit des temps, à permis à certains, avec les pires applications, d'endormir et remplacer nos capacités de mémorisation, de réflexion et d'action, par manipulation des fils qui nous relient, par dissection sélective de nos brins d'adn pour nous reformater à leur guise de trou duc. De guise.... ils musellent l'air, imposant une muselière.
Mais....
"le réveil sonne, je dois me lever."
S'étant levé au levant, lavant tous les soupçons, nous savons, de Marseille, pour l'exemple, que les remparts qui ont été construit, et dont certains ont été démolis, ne sont pas toujours tournés vers la mer, mais également vers l'intérieur; que les bulles qui nous gonflent, que les barrières que l'on se pose et s'impose, ne sont là que pour être franchies, dépassées, éclatées, évaporées, dissoutes dans le passé, pour aérer le présent.
Car nous vivons de réalités, de lumières en direct sur nos corps, dans nos chaires; que les jours sont faits de constats bien concrets, actuellement trop amers, avec toujours une lumière et des ombres qui nous traversent ou que nous réfléchissons, si nous réfléchissons bien.
Lorsque nous ouvrons les yeux, presque les d'yeu en même temps pour ne voir qu'un, dès ce premier jour exposé à la vue, à la vie, c'est bien pour voir, découvrir et vivre les réalités des jours de cette vie, et ne faire qu'un, contre des rayons qui éblouissent parfois, contre des flots de mensonges destinés à vous faire couler si vous refusez leurs bouées imposées.
Nour revivons chaques jours , avec le soleil ou la pluie, avec un parasol ou un parapluie, survivant aux coups de tonnerre et aux ennuis, à leurs envies, en nous mouillant nous avançons, immobiles dans la nuit, vers ces nouvelles lueurs, sans peur de se faire griller, ni de se noyer, sans peur de crever, puisque c'est inné.
Pour le sauvetage, le regonflage ou le réallumage, ou pour le redémarrage, il existe des gilets pour se signaler, se sécuriser et se réchauffer, se responsabiliser, ensemble, sans manches pour ne plus être tenu par.
Mondialement, le jaune est un état de fait, et fait pour défaire les tas et amas de déchets, des chefs formant l'état mondial.
Mais...., impossible, inacceptable pour ce système, l'insoumission....
Cette lueur qui nous invite à la transparence, cet éclair, cette fusion silencieuse déclenchée au croisement inopiné d'une synchronicité majeur, donc imprévisible, indétectable, et pourtant presque visible, en tout cas partagée, ressentie profondément, comme une clé déclenche une connexion, une récupération du système, et l'activation d'une lumière qui restera pour toujours allumée, pour se protéger, se réchauffer et ne pas se laisser désorienter dans le noir et la pénombre des jours, par de nouvelles technologies perturbatrices, destructives;
Les fréquences de récupération, de ré-activation, les charges et les décharges des nombreux courants sur les lignes, ont toujours serpenté, ondulé, modulé selon chacun, indépendament, selon un élément déclencheur unique, une fréquence croisée unique; et c'est là leur problème, la peur majeure de ne pas tout voir , d'où leur empressement dans cette guerre de l'électromagnétisation du monde avec des fréquences qu'ils pensent maîtriser face au réveil de l'être, avant l'éveil de la conscience par des fréquences qu'ils n'arriveront jamais à manipuler, c'est un état de fait.
Alors dans quel état sommes-nous ?
Nous sommes l'état !
"....le réveil sonne...."
Post-criptum, sans télégraphe, télépartie:
C'est un état de faire, pour tant d'autres à défaire !
LES TAS
La France, pays de liberté, pays d’égalité,
Le pays où les gens sont le moins mécontents,
Et bizarrement, bizarrement,
Pays où l’on consomme le plus de tranquillisants;
La France, symbole de La Révolution et de La Démocratie,
S’est transformée en symbole de la dépression et de la grande pharmacie;
Qui a eu son ordonnance pour fermer sa gueule
Aura assistance pour devenir veule;
Mais que ceux qui croient que tout est foutu
Fassent bien leur choix car le moment est toujours venu,
On peut passer d’un système de choses à un système de vie
Où la gnose se révèlerait une vraie philosophie;
Tant que les oiseaux chanteront
Et que les fleurs apparaîtront
J’aurai toujours à l’esprit
Que rien n’est jamais fini
Que la catalepsie ne touchera pas mon corps
Car c’est de la nature que je sors;
Rappelez-vous les coups des tas,
C’était la raison des tas,
Et ce sont les affaires des tas,
Et ce sont les secrets des tas;
Un jour la décision sera prise
De combattre les malins qui ont la mainmise
De combattre les tas qui ne partagent pas les cerises.
C.H. (extrait de "Fable de ma fontaine")