Georges Simion, AfD :
Le réveil des peuples face à Bruxelles !

Ce matin sur Tocsin : Nikola Mirkovic, David Engels et Rodrigo Ballester passent au crible l'actualité européenne, Guy de la Fortelle alerte sur l'accord léonin signé entre les Etats-Unis et l'Ukraine sur les minéraux et Bernard Lecomte remet l'église au centre du village en ce qui concerne l'implication d'Emmanuel Macron dans le conclave.

« Avec la publication de ces doléances, on assiste à une stratégie qu’Emmanuel Macron connaît bien : celle de l’enfumage. »

L’ancien Gilet Jaune Jean-François Barnaba réagit à la publication des cahiers de doléances des Gilets Jaunes par le gouvernement.

« On a de vrais problèmes avec le train en France, mais les syndicats préfèrent bloquer le pays pour une histoire de 100 balles. »

François Delétraz explique pourquoi, avec la nouvelle grève SNCF, les usagers sont (encore) les dindons de la farce.

« Bayrou est un épicier de la politique. Il tente des coups qui n’ont aucune matérialité. »

François Cocq épingle le Premier Ministre et sa proposition de référendum sur le déficit.

« L’Union européenne définit la démocratie avec des principes antidémocratiques. »

Nikola Mirkovic, David Engels et Rodrigo Ballester analysent la progression de la censure en Europe vis-à-vis des opposants nationalistes.

S’il y a bien une chose qui semble souder les peuples européens en ce moment, c’est leur résistant au mondialisme. Peu importe le pays dans lequel on se situe, on assiste au même schéma : un parti souverainiste qui monte, un appareil gouvernemental de censure qui s’organise pour le contrer.

Ainsi chez nos voisins allemands, l’AfD, qui vient de devenir le premier parti politique du pays dans les intentions de vote, s’est vu qualifié de « parti extrémiste de droite avéré » par l’Office de protection de la Constitution (lié aux services de renseignement intérieur). Son opposition à l’immigration ferait de la formation d’Alice Weidel un danger pour la Constitution allemande, et ouvre le droit aux renseignements de surveiller étroitement les membres du parti, voire de l’infiltrer. Comme le résume bien Rodrigo Ballester : « L’argument principal est de dire : vous n’êtes pas assez de gauche, donc vous êtes une menace pour la Constitution ».

Du côté de la Roumanie, Tocsin a suffisamment couvert l’affaire pour que vous soyez informés de la situation. Ce dimanche, le peuple roumain était de nouveau convoqué aux urnes, cinq mois après l’annulation du premier tour qui avait vu Calin Georgescu l’emporter.

Ce même Georgescu, interdit de se présenter alors qu’il n’a toujours pas été condamné par la Justice, a donc soutenu un autre candidat, Georges Simion, qui est arrivé largement en tête avec près de 40% des voix.

Attention cependant, ce désormais favori à la présidence roumaine a quelques différences politiques avec Georgescu, à commencer par sa volonté de renforcer l’OTAN. Pour David Engels, il s’agirait d’un « paradigme Meloni ». Le système tolèrerait un candidat nationaliste et conservateur, pourvu qu’il ne remette pas en cause les principes fondamentaux euro-atlantistes.

Mais une certitude demeure, mise en évidence par Rodrigo Ballester : « Les résultats de l’élection roumaine sont un gigantesque camouflet pour le narratif mondialiste. Si Georgescu avait dû ses 30% de voix à une opération numérique sur Tik Tok, comment se fait-il que cinq mois plus tard, son camp ait gagné 10 points de plus ? ».

Reste à voir si l’appareil mondialiste est décidé à poursuivre sa politique de ruine et de censure, où s’il cèdera face à la pression populaire, secondée par celle de Trump à l’international.

« Avec l’accord sur les minéraux, les Américains sont en passe de piller l’Ukraine à hauteur de 4 000 milliards d’euros. »

La chronique financière de Guy de la Fortelle.

« Encore heureux qu’Emmanuel Macron s’intéresse à la nomination du nouveau Pape. En son temps, le général de Gaulle avait fait bien pire. »

La mise au point de Bernard Lecomte sur l’implication critiquée de notre Président dans le conclave.