Sinistre vérité sur les faux vaccins
Confirmations officielles, mais discrètes…
Par Astrid Stuckelberger (scientifique suisse)
Alors que l’on assiste actuellement à une grande vague de diverses maladies lourdes inattendues souvent mortelles, dont les fameux turbo cancers parmi les vaxxés du Cov19 et ses mutants, je rappelle que différents alerteurs, dont moi-même, bien informés par des laboratoires indépendants étrangers, avions annoncé depuis des mois cette bombe à retardement.
Astrid Stuckelberger est la seule scientifique francophone, parmi les ténors de la contestation, à sortir du leurre absolu Cov19, dont le seul but était de détourner l’attention des vraies causes de l’épidémie mondiale. Bien que nous ne nous soyons jamais rencontrés, nous sommes 100% en accord sur la réalité cachée des faits et causes.
Nous avions en outre signalé l’un et l’autre que la Quinta columna, observatoire de la santé publique espagnole, n’a trouvé dans l’analyse des prétendus vaccins Pfizer et Moderna aucune trace de souche Corona. Comment pourrait-il en être autrement alors qu’il est connu que l’on n’a jamais pu isoler ledit Corona Cov19, chimère virale synthétique de Microsoft.
Les principaux acteurs du génocide (Pfizer et Moderna en tête) étant maintenant le dos au mur, ont subitement dû faire acte de repentance en s’excusant pour la (prétendue) précipitation dans la mise au point de leur vaccin face à l’état d’urgence. Ce qui m’irrite, c’est d’entendre sans cesse des gens, pourtant de bonne foi, répéter le mot EXPÉRIMENTAL, alors que cet énorme mensonge vise à blanchir les responsables de leur crime conscient. En effet, on sait depuis longtemps que deux brevets du vaccin avaient été déposés en 2010 alors que l’on ne connaissait même pas l’existence du Covid. Un certain Docteur Martin a d’ailleurs pu faire état de ce fait au parlement européen, mais bien sûr la télé et les journaux n’ont pas été autorisés à faire suivre cette révélation qui met la pagaille dans le plan.
Comment se fait-il que les ténors de la contestation que tout le monde connait, n’ont jamais fait état de la présence d’oxyde de graphène et de protéine spike dans les prétendus vaccins, ces poisons mortifères qui sont la cause réelle de la pandémie et non le covid lui-même ? Parce que ces trublions prestigieux savaient qu’ils auraient été immédiatement éradiqués de leurs fonctions officielles et jetés aux orties, voire emprisonnés comme l’a été le professeur Jean-Bernard Fourtillan, ou même physiquement éliminés comme Sylvie Simon, Claire Séverac, et bien d’autres éminents alerteurs étrangers peu connus des Français.
Seule Astrid Stuckerberger, chercheuse officielle à la commission européenne, profitant peut-être de la neutralité suisse, brave non seulement l’omerta mais donne en plus les parades à ces armes de destruction, mises au point par les laboratoires DARTA spécialisés dans la guerre bactériologique et virale. Ces parades principales, que j’ai signalées maintes fois, à l’usage des vaxxés sont, je le rappelle : le L-GLUTATHION, le NAC (N-acétyl cystéine), le ZINC et le SERRACOR NK (nattokinase).
Écoutez Astrid (15mn passionnantes):
Il faut regarder la télé italienne pour entendre la vérité sur la volonté de génocide mondial grâce aux injections mortifères. En France, c’est le silence radio… comme d’habitude :
(7 mn 46, traduction écrite)
Source:
Compléments:
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