Après le terrible meurtre de la jeune Philippine, nombre de journalistes ou de responsables politiques ont évoqué le fameux "Etat de droit". Le plus souvent, pour justifier la mise en liberté d'un individu dangereux dans la nature. Mais que cache réellement cette expression très galvaudée ? A-t-elle encore un lien avec la primauté du droit sur l'action politique et institutionnelle ? Décryptage de l'emploi d'une expression dont le sens semble bien avoir été raflé par l'idéologie dominante.

"En même temps"

Prendre, voler, donner, recevoir,

nous sommes dans un état, contradictoire,

Nous sommes dans un état de contradicteurs,

de menteurs; de malins, c'est notoire.

Nous sommes dans un état de manipulateurs,

qui courent après leur fin, c'est certain;

Nous sommes dans un état d'énervement,

qui parcours même ma main, et J'ai faim....

Alors on digère, avec quelques remontées contre l'état,

on dit "gère", cet l'état en l'état,

et on dit "j'erre", quand c'est l'état de travers,

l'état qui n'est plus droit, n'est plus adroit, l'état a droit,

et même à droite....

tout au bout, en tournant, en courant,

pratiquement à l’extrême, de tous les courants.

Dans quel état sommes-nous ?

Dans quel état ? J'erre ....

Et Il y a le clou qui supporte, ....ou la vis,....la vie,

mais quand il ou elle sont trop serrés, trop tapés....,

les vices,....dévient.

• Qu'est-ce que l'étagère?

En pratique, un support bien droit, mural, qui doit permettre de maintenir des écrits, livres écrits pour certains depuis très longtemps, et qui peuvent être des fondements, fixés, solidement, et qui ne pourront jamais tomber,

une fonction forte.

• Et qu'est-ce que l'état gère?

En théorie, un support bien droit, moral, qui doit permettre de

maintenir des écrits, écrits pour certains depuis longtemps,

pour certains dans le sang, et qui sont des fondements, fixés, solidement, pour ne plus jamais tomber; une fonction forte.

Mais, au delà de la fonction du clou qui devrait tenir,

bien accrochés, ou alors au minimum tenus....

des murs et des étagères ont déjà tremblé, et des maçons, francs, non pas par nature, mais plutôt par intérêt, par vœux, prières ou incantations, se sont vus tomber, être décrocher, s'écraser.

Détruits ou sacrifiés pour la cause, par la cause qui les aura nourri..

Même si l'officiel nous montre et nous résume, depuis toujours, l'histoire, avec, évidemment, la conviction du vainqueur, d'officier droit comme l'équerre, assez carré ou tordu pour se servir, d'un ou plusieurs compas, gnon gnon, et donc de ses frères, au nom d'un père, architecte, concepteur; banquier, ainsi font....

....c'est une histoire ....triangulaire....

....aux angles sanguinaires, projetant un œil de sorts....on pourrait dire ; aux pouvoirs mortels, tant ils se sentent immortels, enchaînant ou détruisant des contrés entières avec des armes présentées comme « Human y Terre ».

C'est un état de fait, de fer, à défaire.

Qu'il y a les faux vaincus, quand les faux-culs vint (mais des vins doux, et des vins cuits aussi), sorte d'adversaires sous la coupe, regroupant le con-tenant et le con-tenu, mais qui peuvent ensemble boire un verre de vin dans un ballon, dans un cercle, privé, déblatérer pour partager la Terre qu'ils s’accaparent, et qui a fait leurs richesses grâce à ses largesses, et maintenant sous le contrôle, la supervision, la comptabilité, la manipulation, le vice, de géants-gérants-descendants-ascendants fortunés, n'ayant même plus d'état, géographique, physique, psychique, la moral pour vous, pour tout, mais pas pour tous.

Qu'il y a donc les tas, de purs Un, et donc composés d'un macérat de semi-hommes formatés, semi-machines mi morts-pions, sélectionnés, programmées, superposés au fil du temps et recouvrant les parties des géants et des gens qu'ils grattent bien, accrochés comme avec des fils barbelés qui piquent tout ce qu'ils peuvent.... à vous laisser ou à vous faire, crever.

Qu'il y a les tas de pantins, ou l'état de marionnettes choisies-élues pour la forme, informent à Sion, et sont en marche, rampant même devant leurs grands maîtres et aboyant en même temps au travers des écrans, sur leurs esclaves, serviteurs, laquais, environnants, certains en profitant également, pour en faire autant sur la base de la pyramide, la base de ceux qui savent qu'ils tiennent ensemble, peuvent ensemble, déclencher le basculement, l'effondrement.

C.H.

(extrait de: " L'Histoire sans fin - Chapitre 1 / Loges 0 ", à paraître prochainement)

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