Il y a les apparences et il y a le réel 

Le réel ne se donne pas à voir, il ne peut qu’être reconstruit par le raisonnement, raisonnement que les politiques de Com et les Spectacles sont chargées d’embrouiller.

L’UE et Zelensky sont exclus des négociations entre la Russie et les Etats Unis, mais les gesticulations de Macron et de Zelensky essaient de faire croire qu’ils sont parties prenantes.

Tout vise créer un spectacle par la communication, les interviens à la télévision etc.

Le réel c’est la question.

En fait toute la question est de savoir quelle est la détermination de Trump à faire respecter les désirs américains.

Et pire quelles sont les intentions finales de Trump si il en a d’ailleurs!

Le conflit en Ukraine est une guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie, et non une guerre entre l’Ukraine et la Russie.

Les États-Unis ne peuvent servir de « médiateur » entre la Russie et l’Ukraine ; ils sont eux-mêmes cobelligérants explique Brian Berletic

Ils ont orchestré cette guerre et fournissent chaque jour à l’Ukraine et à l’Europe les ressources matérielles, les renseignements et même les directives nécessaires à sa poursuite. Chaque jour, cette guerre se poursuit, ce sont les États-Unis qui décident de la poursuivre.

il est évident que si les Ukrainiens ont les moyens en ce moment de frapper les installations énergétiques Russes, c’est parce que les américains leur donnent ces moyens!

À tout moment, ils peuvent y mettre fin. L’administration Trump a non seulement choisi de poursuivre la guerre, mais utilise également les négociations pour retarder toute conclusion décisive en faveur de la Russie, en ordonnant ouvertement à l’Europe de redoubler d’efforts et, si possible, de geler la guerre pour la poursuivre ultérieurement.

L’idée que l’Amérique souhaite la « paix » avec la Russie est un rêve naif. Les États-Unis ont besoin de temps et d’espace pour vaincre leurs ennemis, y compris la Russie, dans les moindres détails. Les négociations sont un moyen de faire semblant de vouloir la paix, tout en achetant le temps et l’espace nécessaires pour trouver la solution la moins désavantageuse pour l’Amerique .

Cessez-le-feu menacé d’effondrement : l’Europe n’a pas l’intention de lever les sanctions contre la Russie, même après la fin des hostilités — Reuters.

Le porte-parole de la Commission européenne a déclaré que l’une des principales conditions à la levée des sanctions serait « le retrait des troupes russes d’Ukraine ».

Toute modification des sanctions nécessite une décision unanime des 27 États membres de l’UE.

Le Kremlin avait auparavant déclaré que la levée des sanctions sur les exportations agricoles russes était une condition à l’accord de Moscou sur un cessez-le-feu en mer Noire. Hier, Trump a déclaré que les États-Unis examineraient les demandes russes de levée d’un certain nombre de sanctions.

Il convient de noter que certaines des exigences russes concernant la levée des sanctions dans le cadre de l’accord concernent directement l’UE, notamment la connexion des banques russes à SWIFT. – RVvoenkor 

Source :

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- ZAKHAROVA DÉVOILE LE PLAN CACHÉ DE LONDRES : UNE PROVOCATION QUI PEUT TOUT CHANGER

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- La Russie représente-t-elle une menace ?

Pendant que les États-Unis, la Russie et l’Ukraine discutent d’une solution de paix qui sera forcément défavorable à Volodymyr Zelensky, les alliés européens de Kiev cherchent à se positionner. Il semble néanmoins que le rapport de force soit du côté de Vladimir Poutine qui s’est toujours inscrit dans une stratégie du temps long. Alors que l’Europe, par la voix d’Emmanuel Macron, se dit prête à endosser un rôle plus offensif dans cette guerre, en a-t-elle seulement les moyens ? Les citoyens des pays concernés en ont-ils la volonté ? En proie à une situation budgétaire plus que préoccupante et à une fracturation de l’opinion publique, l’Europe n’a en réalité qu’une très faible marge de manœuvre.

CONTRIBUTION / ANALYSE. 

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1/ Trois éléments de contexte qui autorisent un certain scepticisme sur la réalité d’une menace russe «existentielle». 

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2/ La menace russe : entre mythes et réalités 

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3/ Que doivent faire la France et l’Europe ? 

A l’évidence, la Russie, à l’instar de la Chine, est dans une quête de puissance qui puise sa force dans un ressentiment profond et durable à l’encontre de l’Occident en raison des promesses faites lors de l’effondrement de l’Union soviétique et non tenues depuis. Faut-il continuer à attiser ce ressentiment et continuer à exciter nos opinions publiques ou au contraire faut-il chercher les voies de l’apaisement ?

La deuxième solution est la seule raisonnable. La France qui se targue d’être une puissance d’équilibre avait un rôle historique à jouer dans ce conflit, au lieu de quoi, elle s’est alignée sur la politique anglosaxonne de soutien inconditionnel à l’Ukraine pour in fine, se trouver en porte-à-faux après l’élection de Donald Trump, écartée du processus de paix et obligée de poursuivre une ligne intransigeante totalement décalée par rapport à la réalité du terrain et de ses propres moyens militaires.

Est-ce que chercher l’apaisement signifie abdiquer et donc ouvrir la voie à d’autres conflits ? Nous ne le pensons pas mais reconnaissons que le risque existe. Les pays européens doivent effectivement se doter d’une puissance militaire correspondant à leur rang et à leurs prétentions à peser sur les affaires du monde.

Non seulement pour être respecté de la Russie et lui tenir tête lorsque c’est nécessaire, mais aussi parce que d’autres puissances, animées d’ambitions territoriales adossées à des idéologies, manifestent des appétits de puissance de plus en plus insatiables.

François-Régis Legrier, Philippe Kalfayan 23/03/2025 

L'analyse complète :