- La lettre du Professeur JOYEUX + complément d'info
A propos de ma radiation de l’Ordre des Médecins : une extrême gravité
Chers amis de la Santé,
Les médias, dont ceux qui font la publicité des fabricants de vaccins, se sont chargés d’informer très largement le grand public.
Par cette décision du 8 juillet (prise par la chambre disciplinaire du Conseil Régional de l’Ordre des Médecins, Languedoc-Roussillon), on veut m’interdire d’exercer mon métier de médecin cancérologue.
Comme il ne m’est rien reproché sur le plan strictement professionnel mais qu’on me reproche de m’être exprimé publiquement, c’est qu’on cherche à me faire taire.
J’ai reçu un très grand nombre d’encouragements, par téléphone ou mails, de France comme de l’étranger, à la fois de collègues, de consœurs et confrères médecins et d’un très grand nombre de patients connus ou inconnus qui ne comprennent pas une telle décision disciplinaire.
Soyez-en ici très chaleureusement remerciés, car je n’ai pas pu le signifier à chacun par manque de temps d’autant qu’il m’a fallu préparer ma défense.
J’ai d’abord été conforté par la position immédiate du Conseil de l'Ordre des Médecins de mon département qui a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction. Je remercie très chaleureusement toute l’équipe autour du président du Conseil de l’Ordre de l’Hérault à Montpellier.
J’ai donc pu poursuivre des consultations bénévoles en différents endroits pendant l’été.
J’ai pris conseil et travaillé avec un avocat, étonné comme moi et mes collègues de Montpellier par la gravité de la sanction. Je conteste non seulement la sanction – la plus lourde qui soit à l’encontre d’un médecin, en principe réservée à des gens qui ont commis des faits pénalement répréhensibles -, mais avant tout je réfute le principe même de toute faute déontologique.
Etre mis au ban de la médecine comme si j’avais assassiné, volé, violé, comme si j’étais incompétent et dangereux, après 40 ans d’exercice de ce métier où j’ai tout fait pour donner et donner encore le meilleur de moi-même, être sans cesse au courant des découvertes les plus récentes, est insupportable tant pour ma personne, ma famille que pour mes nombreux élèves et les très nombreux patients que j’ai soignés, que je consulte et conseille encore régulièrement.
Je reste déterminé, car les accusations portées contre ma personne sont entachées de nombreuses erreurs. La plus importante est que je ne suis pas contre les vaccins, en particulier ceux qui sont obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau né de 2 mois et même avant sa mise au monde.
Je reconnais l’importance du système immunitaire pour comprendre et éviter les nombreuses maladies liés à des défenses immunitaires fortement perturbées, par bactéries, virus, champignons ou parasites dans telle ou telle partie du corps, et l’intérêt des thérapeutiques dites ciblées utilisées de plus en plus efficacement en cancérologie.
Je demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents. Sollicités par les familles, contrôlés sans cesse par l’assurance maladie, poussés par les publicités, mes confrères et consœurs médecins sont parfois désorientés. Ils savent parfaitement que les vaccinations des nouveaux nés dépendent d’abord de la santé des parents et que le système immunitaire d’un enfant nouveau né en bonne santé a besoin de 1000 jours après sa conception pour être mature et fonctionnel, c’est à dire pas avant l’âge de 2 ans.
Ainsi peut-on proposer la généralisation des vaccinations sans tenir compte de l’état de santé des parents et en ne tenant aucun compte des effets délétères des vaccinations imposées si précocement à des nouveaux nés naturellement fragiles.
En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.
Je crains de ne pas être convoqué, par les responsables de la concertation citoyenne sur les vaccins (http://concertation-vaccination.fr), pour représenter un très grand nombre de personnes qui perdent chaque jour un peu plus confiance dans la médecine traditionnelle face aux excès thérapeutiques, en particulier avec la généralisation abusive des vaccinations.
A la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” <http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio> a été signée par un grand nombre de personnes, dépassant 1 million 74 000 signataires. Il faut continuer à la faire connaître.
J’ai décliné une pétition pour me soutenir, car j’ai pensé qu’il était plus important et urgent que les 1 million 74000 signataires soient entendus et qu’enfin soit annoncée la re-fabrication du seul vaccin obligatoire le DTP sans Aluminium, cet adjuvant dont on ne peut plus cacher les effets délétères, qui est ajouté pour stimuler une immunité encore immature.
Sachez que je prépare un argumentaire étayé que j’enverrai à mes collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination (http://concertation-vaccination.fr) qui a commencé, auquel je n’ai pas été convié. Ce débat citoyen a pour but ”de réconcilier les français avec la vaccination”.
Je crains surtout que ne soit recherchée la couverture vaccinale la plus large, dès la naissance, soi-disant contre le plus grand nombre de maladies. Et cela sans certitude d’efficacité, en utilisant le mot ”exigibilité” pour le plus grand nombre d’institutions (milieu scolaire en particulier) et de structures (crèches, maisons de retraite…).
Etre lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?
Restant à votre service, toujours pour la meilleure santé de vos familles et de vos enfants, je souhaite à toutes et à tous une bonne fin de vacances et une bonne reprise pour celles et ceux qui sont déjà au travail.
Professeur Henri Joyeux
COMPLÉMENT D'INFO:
Les raisons criantes pour ne pas se faire vacciner
Une fois de plus, je reviens sur l’imposture concernant la vaccination contre la grippe, qui comme tous les ans à l’entrée de l’hiver fait l’objet d’une campagne publicitaire massive. Les médecins sont tenus par la CRAM de convaincre leurs clients à partir de la soixantaine de se faire vacciner, et les services administratifs médicaux vont jusqu’à aller à la pêche à domicile des "troisièmes âges", en proposant de leur faire "bénéficier" (j’aime bien le mot) de la protection face aux épidémies hivernales soi disant "très dangereuses pour eux". Il y a pourtant eu, suite à ces vaccins antigrippaux, durant les décennies qui précèdent, de très nombreux cas de complications pulmonaires fatales parmi les gens âgés, mais qu’importe, c’est tout bon pour les caisses de retraite... Et ce n’est pas tout, diverses études statistiques ont mis en évidence une courbe croissante de la maladie d’Alzheimer chez ceux qui sont annuellement fidélisés au vaccin antigrippe. Ce n’est d’ailleurs pas un scoop puisque j’avais déjà publié il y a 7 ans un article intitulé : "Des vaccins antigrippe qui rendent gogol" à partir des travaux du Docteur Groussac dévoilant que 11 des vaccins du marché pharmaceutique contiennent des fragments d’ARN à double brin ; or ceux-ci ont la propriété de bloquer les gènes déjà altérés par les réplications successives, en particulier parmi les neurones…
L’expert russe Léonid Ivachov disait carrément que selon les renseignements américains, en 2015, il y aurait trois milliards d’humains en trop à éliminer, et que la création de virus devant entraîner la mort massive de gens est une stratégie globale de régulation démographique beaucoup plus efficace que les guerres. Selon lui, TOUTES les épidémies actuelles ont été crées dans les laboratoires… et je vous le donne en mille par quel biais, par des vaccins qui sont censés vous protéger de maladies potentielles qui n’existent pas. Oui, les peureux vont et iront en enfer ! Déjà la fameuse grippe espagnole, qui n’était pas plus espagnole que les capotes sont anglaises, est issue d’un abominable bouillon de cul ture qui se voulait un vaccin et qui a été inoculé aux soldats américains durant la guerre de14/18. On ne connait pas exactement, vu le manque de moyens de communication de l’époque, le nombre de victimes dû à cette hécatombe épidémique dont le vecteur fut un vaccin, puisque les chiffres varient carrément entre 25 et 50 millions dans le monde.
Je m’abstiendrai de remettre sur la table le complot du SRAS en 2003, monitoré par l’OMS, du montage grotesque de la grippe aviaire qui lui a succédé, et du scandale de la grippe porcine en partie avorté grâce à la résistance internationale. Il faut être amnésique ou déjà "bien plombé" aux vaccins pour continuer à faire aveuglément confiance aux infos santé de la télé, des mutuelles aux ordres, de la CRAM aux ordres de Bruxelles c'est-à-dire du N.O.M. (gouvernement mondial), et de votre médecin (esclave de "l’Ordre"). N’oubliez pas que le vaccin antigrippe n’est pas obligatoire, ce qui veut dire que vous n’avez aucun recours juridique en cas de pépin.
Enfin, soyons juste logique : il y a peut-être 20 milliards de souches virales potentielles prêtes à exterminer l’humanité cette année et l’année prochaine. Quel surdoué de la météo virale pourrait lire dans le marc de café laquelle de ces souches va attaquer cet hiver ? Alors sur quelle base mystérieuse sont fabriqués les vaccins ??? A moins que… la prochaine grippe soit propagée par le vaccin lui-même, comme précédemment ! Mais pourquoi la recherche s’acharne-t-elle sur les vaccins plutôt que sur la maladie elle–même ? Pourquoi le protocole de la médecine officielle concernant la grippe fait–il semblant de soigner cette maladie purement virale avec une antibiothérapie, alors que tout le monde sait que les antibiotiques sont inef ficaces sur les virus ? Aussi j’aime bien, lorsque j’entends des gens dire après 2 à 3 semaines pour se remettre d’une grippe "et qu’est-ce que cela aurait été si je n’avais pas eu les antibiotiques !" - et je réponds : "cela aurait été beaucoup mieux car vous auriez au moins évité de détruire votre intestin pour un bon bout de temps".
Tout ceci est d’autant plus stupide qu’une grippe est relativement facile à soigner – La logique n’est pas d’empêcher la grippe, mais de l’accompagner confortablement en aidant l’organisme dans son travail plus intelligent que n’importe quel médecin. Une grippe bien menée dure 24 heures sans avoir à s’aliter (alors pourquoi de dangereux vaccins ?).
* D’abord, ne pas empêcher la température de monter ; jusqu’à 39/40° laisser faire, cela effectue un travail d’incinérateur de tout ce qui est pathogène. Si la température ne monte pas ou pas assez par manque de défenses, créer une hyperthermie artificielle avec des bains de 15 à 20 min partant de 35° et montant progressivement à 40°et même 42° s’il n’y a pas de palpitation sévère, suivi de ½ heure minimum d’enveloppement dans une grande serviette sous la couette.
* En même temps il convient de booster les défenses immunitaires. Il y a une panoplie au choix et à la carte avec :
- BOURRACHE (pharm) en décoction : 20 g de fleurs dans 1 litre d’eau. Bouillir 3 minutes, infuser 5 minutes. 4 à 5 tasses dans la journée. Déclenche une sudation, aide à l’élimination.
- CANNELLE, THYM, GIROFLE (épiceries) en décoction – spécifique grippe (Dr. Balaïche). Mettre dans 1 litre d’eau : 2 rouleaux de cannelle, 2 branches de thym, 5 clous de girofle. Bouillir 3 minutes. 4 à 5 tasses dans la journée.
- CUIVRE GRANION (pharm) : 3 ampoules dans la journée, à garder sous la langue.
- CHLORURE DE MAGNÉSIUM (pharm) : dissoudre 1 sachet de 20 g dans 1 litre d’eau. Garder au réfrigérateur : c’est moins amer. Prendre 40 ml (1/3 de verre) toutes les 2 à 3 heures pendant le temps nécessaire. Une petite diarrhée peut s’ensuivre. Le chlorure de magnésium augmente les défenses immunitaires, le pouvoir phagocytaire des globules blancs et yanguise le corps (plus résistant).
- BAIN OU DOUCHE HYPERTHERMIQUE (contrôle au thermomètre indispensable). Démarrer à 37° et monter à 41° en 5 minutes. Rester à 40/41° pendant 15 minutes En cas de palpitation cardiaque, ne pas insister. C’est rare, mais cela peut arriver. Rester ensuite enveloppé bien au chaud pendant 30 à 60 min.
- SERUM DE YERSIN 15 CH - 1 dose
- Arrêtez avec Oscillo-coccinum – la preuve c’est qu’on en fait la pub à la télé !
- Arrêtez aussi avec Influenzinum, qui est préparé à partir de souches de l’année dernière…
- Arrêtez aussi avec le chlorure de magnésium, en entretien, qui accoutume l’organisme et ne déclenchera aucune réaction quand il faudra.
Par contre, vous pouvez prendre :
* ECHINACEA TM (en pharm) – 40 gouttes, 2 fois par jour
* ARGENT COLLOÏDAL - 1 cuil. à soupe 3 fois par jour
*Faire brûler chaque jour, un peu de SAUGE pour enfumer la maison,
*VINAIGRE DES 4 VOLEURS (en diététique) – friction bras et cuisses, 3 fois par jour.
Plus les gens sont motivés dans la vie, moins ils contractent facilement la grippe,
et inversement, moins les gens sont motivés dans la vie et plus ils sont fragiles.
Les pouvoirs publics, à la botte des labos, nous font croire que des milliers de personnes décèdent chaque année suite à la grippe. En réalité, ces décès ne concernent, le plus souvent, que des personnes dont l’état général était déjà très délabré. Or s’ils meurent, c’est surtout en raison du coup fatal donné par le traitement protocolaire de la grippe. Et bing !... bon débarras – ce n’est qu’un improductif qui pompe dans les caisses de retraite, elles aussi agonisantes.
Mais le nombre de retraités affaiblis est très insuffisant pour soulager ces caisses. Alors, il faut "aider" un maximum de séniors à s’affaiblir – et ce grâce à quoi ?... à l’invention du bon Pasteur, LE VACCIN,… en l’occurrence celui de la grippe. Remarquez que ce seul mot VACCIN est magique ! On ne cherche même pas à savoir quels sont les mystères de sa composition, ni comment çà marche ; l’essentiel, c’est qu’on soit ras-su-ré !
Les statistiques nous apprennent que cette saison, 3 Français sur 10 (ce qui fait quand même près de 20 millions) prévoient de se faire vacciner contre l’hypothétique fléau annuel. Ceci prouve que la propagande de la télé marche encore bien parmi les français moyens "sans les options". Le tout est de savoir pour chacun, qui gagnera dans le bras de fer entre l’effet placebo de la vaccination et la toxicité induite, en valeur ajoutée. En tout état de cause, dans tous les cas où le coup de la caisse de retraite est raté, le corps médical et la pharmacie s’y retrouvent avec chaque année un nouvel arrivage très rentable d’éclopés de la "vaccinomania".
Et puis, pour ceux qui sont encore capables de réfléchir, comment sait-on avant l’hiver quel est parmi les milliards de virus circulants autour de la planète, quel est le Super Goldorak qui a décidé de déclarer durant la prochaine saison la guerre au genre humain ? Dans le marc de café ?
Ou par des ordinateurs ? (çà fait plus sérieux)...
Le Dr J. Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA est catégorique : "Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais ils continuent néanmoins à le vendre."
Le Dr William Frosehaver, professeur de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, estime que le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.
Mais ceci est en fait valable pour TOUS les vaccins.
Mon ami le Dr Tal Schaller, célèbre militant de la médecine holistique, explique avec beaucoup de simplicité et de pédagogie le leurre vaccinal. Il dit que les connaissances actuelles en immunologie prouvent que TOUS les vaccins sont inefficaces et dangereux.
Que font réellement les vaccins ? Ils augmentent la production d’anticorps dans le sang – on se croit alors protégés. Mais on oublie soigneusement de vous dire que l’immunité humorale ne représente que 10% de l’immunité générale. Les 90% restants, c’est l’immunité cellulaire, qui est la véritable immunité ; et il s’avère que cette immunité-là, au niveau des cellules, est systématiquement endommagée par les vaccins. C’est pour cela que l’on constate partout dans le monde, que les gens, et surtout les enfants, sont deux fois plus malades chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Concernant la grippe, contrairement à la croyance populaire induite, ce sont les vaccinés qui meurent le plus… Mais ce n’est pas politiquement correct de colporter cela ! Donc, pour prot&ea cute;ger les caisses de retraites, faut pas l’dire !
(Heureusement que les rapports circulent mieux aux Etats Unis qu’en France)
* Selon le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC), le Centre officiel de pharmacovigilance VAERS a reçu 93.000 rapports d’effets secondaires suite à la vaccination contre la grippe de l’année dernière. Ces rapports comprenaient 1080 décès et 8.888 hospitalisations. En tenant compte des sommes de dédommagement accordées aux familles des victimes (National Vaccine Compensation Program), on peut dire que le vaccin contre la grippe est le plus dangereux et le plus meurtrier des vaccins aux Etats-Unis.
Nota : Les membres du personnel des soins de santé aux Etats-Unis craignent d’évoquer les dommages engendrés par les vaccins, parce que s’ils parlent, ils perdent généralement leur place.
En fait, la grippe est une bonne chose qui permet de faire de temps en temps le ménage de la cave au grenier. Les virus sont là pour vous aider à le faire. C’est une opération qui vous prémunit d’un futur cancer. Remarquez que les gens qui font un cancer n’ont pas eu de grippe depuis des années – ils n’en avaient plus les moyens en raison de la chute de leurs défenses… car faire une grippe, c’est un gros travail !
L’ineptie est d’accepter l’irresponsable ordonnance d’un antibiotique qui non seulement anéantit le travail de nettoyage naturel, mais en rajoute une couche à votre pollution interne.
Paru dans le Contr'Infos n° 18 du mois de mars 2014