24 août 2016
- La Syrie accuse la France d’être impliquée dans des attaques terroristes à l’arme chimique
Bachar Al-Jaafari, Représentant de la Syrie à l’ONU. Brillant diplomate, Al-Jaafari n’a jamais émis d’accusations sans des preuves probantes.
>>L'attaque meurtrière au gaz Sarin ayant frappé la Ghouta (une périphérie de Damas) en 2013 "a été organisée par le renseignement français" a déclaré l'ambassadeur Bashar Al-Jaafari, Représentant de la République Arabe de Syrie auprès de l’Organisation des Nations Unies.
« L’utilisation d’armes chimiques dans la région de Damas était destinée à empêcher Oke Selstrem, chef de la mission onusienne de se rendre à Alep, car la France savait qui avait utilisé des armes chimiques à Alep », a indiqué M. al-Jaafari. « Ils voulaient empêcher Selstrem d’atteindre Alep par tous les moyens, de ce fait, ils ont utilisé des armes chimiques à Damas, avec l’implication du renseignement français », a-t-il poursuivi en soulignant que certains pays comme la France et le Royaume-Uni sont impliqués « jusqu’au cou » dans le soutien actif des factions les plus extrémistes et les plus sanguinaires des groupes terroristes en train de détruire la Syrie.
Le gouvernement français a utilisé des centaines de jeunes issus des banlieues des grandes villes de France pour la création d’un des plus vastes réseaux d’acheminement de combattants étrangers en Europe depuis la seconde guerre mondiale. Cette armée de l’ombre d’obédience Wahabbite était financée par des pays Arabes du Golfe et bénéficiait d’extraordinaires facilités pour se déplacer ou échapper à la justice. Certaines recrues, une fois revenues en France, ont été impliquées dans des opérations clandestines sur le sol français. [Lire l'article complet]
Source: strategika51.com
Source: strategika51.com
Complément:
Armes chimiques: des faits truqués pour mettre Damas en cause
Les membres du Conseil de sécurité des Nations unies auraient intérêt à ce que celui qui se tient derrière l'attaque chimique qui a frappé la région de Damas en 2013 reste inconnu, vu certaines circonstances politiques, estime le délégué permanent syrien auprès de l'Onu, Bachar al-Jaafari.
https://fr.sputniknews.com
Les membres du Conseil de sécurité des Nations unies auraient intérêt à ce que celui qui se tient derrière l'attaque chimique qui a frappé la région de Damas en 2013 reste inconnu, vu certaines circonstances politiques, estime le délégué permanent syrien auprès de l'Onu, Bachar al-Jaafari.
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Expert français: ce n'est pas Assad qui a tiré des armes chimiques sur la Ghouta
Jean-Vincent Brisset, expert en matière de défense et de relations internationales ne pense pas que le gouvernement syrien soit responsable de l'attaque chimique à la Ghouta et n'accorde pas non plus crédit au bien-fondé des accusations de Damas contre Paris.
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Jean-Vincent Brisset, expert en matière de défense et de relations internationales ne pense pas que le gouvernement syrien soit responsable de l'attaque chimique à la Ghouta et n'accorde pas non plus crédit au bien-fondé des accusations de Damas contre Paris.
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