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Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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12 juillet 2020

- Coronavirus : Il n'y a plus de vrais scientifiques, seulement des universitaires qui rampent (Entretien avec Shiva Ayyadurai)

 

CaptureKlaTv

 Se pourrait-il qu’en fait les bactéries et les virus ne puissent pas tuer les humains ? Le scientifique et homme politique indo-américain Shiva Ayyadurai en est convaincu et va même plus loin : il décrit la crise du coronavirus comme « le plus grand canular générateur de peur de tous les temps »; Constatez-le par vous-mêmes dans l'interview suivante.

 

 

www.kla.tv/16618
18.06.2020

À l'heure actuelle, partout dans le monde, des mesures drastiques sont prises au nom de la crise du coronavirus, et pour cette raison il faut s'attendre à des conséquences financières et économiques dévastatrices. Il est à craindre qu'à long terme, cela s'accompagne d'une détérioration massive de notre niveau de vie et, par conséquent, d'une réduction de notre espérance de vie. Cependant des pays comme la Suède et la Biélorussie ont prouvé qu'ils pouvaient fonctionner sans que tout s’arrête. Néanmoins, la plupart des gouvernements ne se laissent pas convaincre de revenir à la normalité. Mais quelles pourraient être les raisons à cela ? Le scientifique et politicien indo-américain Shiva Ayyadurai, titulaire de quatre diplômes d'ingénieur du célèbre Massachusetts Institute of Technology, et qui s'est principalement concentré sur la biologie des systèmes, décrit cette crise comme : « the biggest fearmongering hoax ever » en français : « le plus grand canular générateur de peur de tous les temps. » Il confirme cette affirmation en comparant le nombre de décès dus au Covid-19 avec le nombre de décès aux États-Unis attribuables au diabète, aux maladies cardiovasculaires et à d'autres maladies immunosuppressives. M. Ayyadurai est convaincu que seule une approche holistique et des soins particuliers du système immunitaire peuvent être la réponse à cette épidémie et à celles qui sont à venir. D’après lui, la théorie selon laquelle les bactéries ou les virus peuvent tuer les humains est tout simplement fausse. De plus en plus de personnes vivent en bonne santé et comprennent que les médicaments sont toxiques. L'industrie pharmaceutique s'en rend également compte, car ses bénéfices diminuent. C'est pourquoi l'industrie pharmaceutique se concentre maintenant sur la production de vaccins et ouvre un nouveau secteur d'activité avec la maladie du coronavirus. La conclusion de Shiva Ayyadurai est la suivante : De nombreux médecins et scientifiques pendant la crise du coronavirus ne disent plus la vérité mais préfèrent ramper par crainte de perdre leur emploi et de ne plus pouvoir nourrir leur famille. Mais maintenant, écoutez l'interview de la chaîne de télévision « La part manquante », que Jasmin Kosubek a réalisée avec Shiva Ayyadurai.

de rh.

 

 

Transcription:

Partie 2 www.kla.tv/16619 18.06.2020

J.K. : Dr Shiva, vous êtes biologiste systémique et vous avez obtenu plusieurs diplômes d'ingénieur au MIT avec une spécialisation en bio-ingénierie. Ce sujet n'existait pas il y a 20 ans. Que pouvez-vous donc apporter à la discussion sur le coronavirus que nous n'avons pas entendu de la part des virologues ou des épidémiologistes ?

S.A. : Le domaine de la biologie systémique a été créé pour la raison que l'ensemble de la science, en particulier les créateurs de la discipline, ont un aperçu précis des pro-blèmes des systèmes d'ordre élevé. Et le corps humain est justement un tel système. Ils se sont rendu compte que, pendant trop longtemps, c'était le fief des virologues et des biologistes. Imaginez cela en termes de systèmes ... Imaginez un gros avion - les ingé-nieurs comprennent bien -. Imaginez maintenant quelqu'un qui ne connaît que le fonc-tionnement d'une petite vis sur l'hélice d'un avion ou quelqu'un qui ne connaît que le fonctionnement du siège du pilote ou du manche à balai. Tous ces éléments font partie d'un système beaucoup plus vaste. La biologie a été comme ça, nous l'appelons réduc-tionniste. Vous pourriez gagner le prix Nobel si vous pouviez expliquer comment deux parties fonctionnent ensemble, deux protéines par exemple. L'histoire de la découverte et de la recherche sur l'ADN a été façonnée par le dogme central de la biologie moléculaire jusqu'en 2003. C'est ainsi que ça s'est passé : Vous pouvez trouver un gène qui pro-voque une maladie. Ce modèle était très réductionniste. La recherche des gènes qui causent la maladie a été encouragée. Mais en 2003, une chose remarquable s'est pro-duite. Nous avons découvert que nous avons le même nombre de gènes que les vers. Donc, les êtres humains ont près de 20 000 gènes - et un ver a près de 20 000 gènes. Et cela a bouleversé la biologie. L’humain a compris, attendez une minute, quand le nombre de gènes… parce que les biologistes, dans leur idée fausse parce qu’ils ne pensent pas en systèmes, ils pensaient que la complexité d'un organisme était proportionnelle au nombre de gènes. Plus il y a de gènes, plus l'organisme est complexe. Nous, les ingé-nieurs, nous savons que c'est une erreur. Je vous donne 100 pièces, une personne va les attacher l'une après l'autre et les relier de façon linéaire. Quelqu'un d'autre les reliera d'une manière très différente, ce sont les connexions qui déterminent la complexité. Alors les gens ont dit, oh, ce ne sont pas seu-lement les gènes et les protéines eux-mêmes, c'est la façon dont ils sont connectés. Cela a conduit à ce qu’on réalise que nous devons regarder au-delà des gènes et comprendre les mécanismes moléculaires. C'est pourquoi le département de bio-ingénierie a été créé au MIT en 2003. On s'est rendu compte que nous devions aborder la biologie comme des ingénieurs. Et il existe un énorme fossé de connaissances qui ne sera jamais comblé si nous n'écoutons que les virologues ou les biologistes. Ils ne pensent pas au lien entre les os de la jambe et les os du pied. Ils ne sont pas non plus payés ou encouragés à le faire. C'est pourquoi je suis revenu au MIT lorsque le domaine de la biologie des sys-tèmes a été créé. J'avais déjà trois diplômes, j'ai fondé plusieurs entreprises et je m'inté-resse beaucoup au traitement de l'information et à la biologie. Mon but était de créer une technologie que l'on croyait impossible auparavant. Imaginez une technologie qui puisse être utilisée pour modéliser les mécanismes d'interactions si complexes - que sur un or-dinateur vous pouvez même modéliser le cancer ou l'inflammation ou le système immuni-taire. Pour comprendre tout cela d'un point de vue architectural. Ça, c'est une approche systémique. Cela nécessite un tout autre type de scientifique. Je suis l'un d'entre eux - un scientifique des systèmes.

J.K.: Comment cela peut-il être appliqué à la crise du coronavirus ? Qu'est-ce que l'ap-proche systémique ?

S.A.: D'un point de vue systémique - nous revenons au système initial de notre conversa-tion, le système immunitaire. Le système immunitaire est comme le système d'exploitation du corps. Il est vieux de millions d'années, au moins aussi vieux que les vertébrés, même les invertébrés. Peu importe si vous croyez à l'évolution normale ou à l'évolution dirigée par Dieu. C'est le système de base du corps. De quel type de système s'agit-il ? En 1962, nous avions la compréhension suivante du système immunitaire : deux boîtes noires. C'est sur cette base que des vaccins ont été mis au point. Une réponse immunitaire innée et un système immunitaire adaptatif. L'idée était la suivante : Lorsqu'un agent pathogène attaque une personne, un virus, une bactérie ou un fongus, la partie innée du système immunitaire se réveille et tente d'éteindre l'agent pathogène. C'est comme si un simple soldat tirait sur un ennemi envahisseur. Si cela ne fonctionne pas, la partie adaptative continue : elle est comparable à celle d'un sniper et crée des anticorps. Sur la base de cette compréhension du système immunitaire, des vaccins ont été mis au point. Aux États-Unis, J.F. Kennedy a adopté le « National Vaccine Act » de 1962, mais vers 1986, la santé de nombreuses personnes a été atteinte. Les parents ont commencé à poursuivre en justice les fabricants de vaccins. Aux États-Unis, un tribunal appelé « National Vac-cine Injury Court » a été créé. Et maintenant, voici la raison pour laquelle je vous dis cela : Notre compréhension actuelle du système immunitaire est différente. Il n'y a pas seule-ment deux boîtes noires, il y a le chaînon manquant appelé « système interféron », au-quel je me suis consacré pour sa compréhension et sa modélisation dans ma thèse de doctorat. Ensuite, le système microbien, les bactéries et les virus intestinaux assez éton-nants, puis le couplage au cerveau, au système nerveux - le système est beaucoup plus complexe.

J.K.: Qu'est-ce que tout cela nous apprend sur le nouveau coronavirus ?

S.A.: Hé bien, il n'est pas si nouveau. Dans l'histoire de l'establishment médical, il est de tradition de toujours accuser un virus. Trouver le virus – lui attribuer la responsabilité. Un incident se produit - nous avons besoin d'un coupable. Et la nouveauté - les coronavirus, ils existent depuis toujours et partout. Je suppose que vous en avez des éléments en vous, j'en ai des éléments sous une forme ou une autre.

J.K.: C'est vrai, mais cette variante est nouvelle.

S.A.: Cette variante est nouvelle, tout comme le sont de nombreuses autres variantes. Nous transportons environ quatre-vingt billions de virus dans notre corps, vous êtes une usine à microbes ambulante, je suis une usine à microbes ambulante. Et si vous deman-dez à quelqu'un : si vous attrapez un virus, comment tombez-vous malade ? Alors celui qui répond (et malheureusement cela est également diffusé par les médias du mains-tream, et malheureusement en fait par tout l'establishment médical, les médecins en rai-son de leur formation liée aux sociétés pharmaceutiques), parce qu'ils ne connaissent pas le système immunitaire - donc la réponse est probablement : le virus pénètre dans le corps et ronge l'épithélium pulmonaire et un vaccin bloque tout cela. Ainsi, malheureu-sement, leur compréhension est née d'une science fictive, d'un modèle dépassé. Il est important de comprendre la chose suivante sur ce virus - mais aussi sur les autres : En réalité, lorsque le système immunitaire est affaibli et que sa fonction est altérée (ce qui arrive avec l'âge ou dans des conditions défavorables), le propre système immunitaire commence à réagir de façon excessive. En termes d'ingénierie, c'est comme si le moteur de la voiture ne tournait pas sur tous les cylindres, mais sur un seul, et que [le corps] es-sayait de compenser sur un cylindre la mauvaise performance des autres. Si le système immunitaire réagit de manière excessive, et attaque non seulement les particules virales, mais aussi les cellules des tissus où se trouvent ces particules virales. Le « coronavirus » de ce type, tout comme le « SRAS », va dans l'épithélium pulmonaire, les autres types de virus vont ailleurs, les poliovirus vont dans la gaine de myéline des fibres nerveuses du dos. En cas de réaction excessive, ces cellules sont alors attaquées et de nombreuses personnes deviennent paralysées. Mais le point essentiel pour comprendre, si nous vou-lons vraiment parler scientifiquement, c’est que votre propre système immunitaire affaibli et dysfonctionnel vous attaque.

J.K. : Mais c'est ce que disent les experts reconnus : les personnes ayant un système immunitaire défaillant, avec certaines pathologies préexistantes ont un risque plus élevé de maladie grave, surtout quand elles sont âgées. Nous le constatons aux États-Unis, de nombreux diabétiques et patients cardiaques ont une évolution plus grave de la maladie Covid-19. Personne ne contredit ce que vous dites maintenant.

S.A. : C'est le but. Si vous lisez un message, il est sous-entendu quelque part en dessous de celui-ci mais n'est jamais expliqué. Car sans une compréhension détaillée, sans une divulgation, quelle est la solution proposée ? Supposons qu'il soit expliqué de cette fa-çon, quelle est la solution ? Prenons une population de 1 000 personnes, dont dix ont un système immunitaire affaibli (fumeurs, diabétiques et les 38 % de la population qui sont plus âgés : les personnes de plus de 65 ans). Comment aborder le problème de ce sys-tème ? Il existe une population, d'un point de vue épidémiologique, qui présente un risque élevé de mortalité en raison d'un système immunitaire affaibli. Ensuite, un agent pathogène vient de l'extérieur. Allez-vous blâmer cet agent pathogène pour la fermeture de toute votre économie, ou allez-vous vous en occuper sur le plan médical et de manière clairement individualisée ? Parce qu'en 2003, nous nous sommes rendu compte que nous devions nous éloigner de la solution unique pour tout. C'est moyenâgeux. Tous les diabétiques reçoivent les mêmes médicaments, des médicaments standards - pour toutes les maladies. L'objectif était alors de reconnaître que nos types de corps sont différents, et que le bon médica-ment doit donc convenir à la bonne personne. C'est ce qui ressort clairement du « Projet sur le génome humain ». Si nous voulons pratiquer une véritable médecine, même dans la perspective de la médecine occidentale conventionnelle, pourquoi des systèmes éco-nomiques entiers sont-ils bloqués? Pourquoi les personnes en bonne santé, les per-sonnes gravement malades et celles dont le système immunitaire est affaibli se voient-elles prescrire les mêmes médicaments et pourquoi des systèmes économiques entiers sont-ils détruits ? Ce qui est également une réaction excessive fondamentale. Il s'agit donc de la réaction excessive du système immunitaire affaibli de certaines personnes et de la réaction excessive de vos politiciens et des miens, qui ont bloqué des systèmes économiques entiers.

J.K. : Mais vous reconnaissez que ce nouveau type de coronavirus est contagieux et pourtant vous critiquez vivement la quarantaine qui a été imposée presque partout dans le monde. Y a-t-il un scénario dans lequel vous reconnaîtriez la nécessité d'une quaran-taine ?

S.A. Je voudrais répondre par une contre-question. Lorsque l'épidémie de grippe H1N1 a éclaté, 56 millions de personnes ont été infectées : 17 % de la population des États-Unis. L'économie américaine a-t-elle été stoppée ?

J.K. : Non, donc une nouvelle approche.

S.A. : Et combien en sont morts ? 16 000 personnes. Le système économique américain a-t-il été mis à l'arrêt ?

J.K. : Non, bien sûr que non.

S.A. : Aujourd'hui, la question rationnelle est la suivante : pourquoi fermons-nous des systèmes économiques entiers ?

J.K. : On prétend que le coronavirus est plus contagieux que le virus H1N1.

S.A. : Très bien. Voyons cela. Combien de virus différents avec ce taux d'infection con-naissons-nous ? Et si on considère la grippe H1N1 ou le nombre de décès. Environ 15 % de la population américaine a été infectée. En supposant que deux fois plus de per-sonnes soient infectées, donc 30 %. Aux États-Unis, ce nombre serait de 90 millions, et 0,3 % de la population américaine infectée est décédée à l’époque. Si nous supposons que deux fois plus de personnes meurent, nous avons doublé le taux d'infection et le taux de mortalité passe à 0,6 %. Cela signifie que 540 000 personnes meurent. Et main-tenant, combien de personnes meurent aux États-Unis de maladies cardiaques ?

J.K. : Je n'en suis pas sûr, mais je pense que le nombre de décès quotidiens aux Etats-Unis en 2017 se situe entre 7 700 et 8 300 au total.

S.A. : C'est un chiffre quotidien, mais les maladies cardiaques tuent 540 000 personnes par an, donc près de 600 000.

J.K. : Mais les maladies cardiaques sont-elles contagieuses ? C'est l'argument qu’on uti-lise toujours.

S.A. : Oui, tout à fait, mais c'est justement le problème. Je vous donne les chiffres sans vouloir faire peur. Si on regarde les chiffres de la même manière, sans avoir recours à la peur de l'infection, 540 000 personnes meurent, ce qui est beaucoup. 600 000 meurent déjà de maladies cardiaques, 500 000 meurent chaque année du cancer, 440 000 meu-rent d'erreurs médicales, 200 000 autres meurent chaque année à cause de médica-ments et 1,9 million de personnes sont admises à l'hôpital chaque année. Dans ces cas-là, où sont l'isolement et la mise à l’arrêt de tout ? Si la santé publique est importante pour nous, et elle l'est, alors nous devrions parler du surpoids. 30 % de la population américaine est en surpoids. Où est la mise à l’arrêt de l'économie ? Il en faudrait peut-être une ? Où sont toutes les quarantaines, les isole-ments et les mises à l’arrêt de l'économie à cause de toutes les autres maladies qui sur-viennent si fréquemment. 54 % des adolescents américains souffrent d'une maladie auto-immune quelconque. 54 % ! Un enfant ou un adolescent sur cinq souffre d'un trouble mental quelconque. Où est le mode d'arrêt d'urgence ? Ce que nous voyons ici c’est une approche déséquilibrée de la médecine, car tout le reste ne sert pas les intérêts des « Big Pharma ». Au contraire ce sont les personnes dans les exemples donnés qui sont censées servir les intérêts des industries pharmaceutiques. Il n’est pas question pour eux de s'attaquer aux vrais pro-blèmes et il faut que les gens s'en rendent enfin compte. Oui, les gens sont importants pour nous. Où est donc la mise à l'arrêt d'urgence de l'éco-nomie en raison des maladies cardiaques, des fautes médicales, du surpoids, etc. ? Il n’y en a pas, car tout cela est causé par les multinationales agricoles et l’industrie pharma-ceutique. Les grands médias ne veulent pas non plus parler de cette vérité, car ils sont payés par les multinationales agricoles et pharmaceutiques. Regardez qui paie leur pu-blicité. Si nous voulons découvrir la vérité et parler réellement au niveau scientifique, nous devons le faire. Nous ne devons pas parler des chiffres dans un contexte général, mais en termes relatifs, car la santé publique est en jeu.

J.K. : Vous décrivez donc cette crise comme, et je cite : « Le plus grand canular effrayant de tous les temps ». Pouvez-vous expliquer comment, selon vous, le monde entier se laisse prendre à ce canular ?

S.A. : Pas le monde entier. J'ai parlé à de nombreuses personnes et beaucoup sont indi-gnées. Les travailleurs aux États-Unis sont de plus en plus en colère.

J:K. : Parlons des hommes politiques, des décideurs, qui, selon vous, tombent dans le panneau.

S.A. : La malheureuse fusion jusqu'à la fusion des médias, la malheureuse fusion et la consolidation du pouvoir des grands hôpitaux et des compagnies pharmaceutiques, cela donne un groupe de personnes assez restreint qui peut contrôler les récits. Ce n'est même pas une théorie de conspiration. Robert a bien écrit à ce sujet, Noam Chomsky dans « Manufacturing Consent »… On pourrait écrire toute une thèse là-dessus, et nous en sommes témoins maintenant. Quelqu'un avec des références comme les miennes, et j'ai des références tout simplement incroyables, peut réellement s'exprimer. J'ai toutes ces références du MIT, j’ai eu des bourses de recherche complètes, j’ai été nominé pour la « Médaille nationale de la technologie et de l'innovation ». Je ne suis pas un taré quel-conque. Et je sais exactement que les scientifiques, les universitaires font malheureusement par-tie de la « Big Academia ». Avec l’adoption de l’amendement Manfield, nous avons élimi-né les grands scientifiques. Maintenant, tout ce que nous avons, ce sont des universi-taires qui rampent. Et beaucoup d'entre eux, mes amis du MIT, me disent : « Shiva, ce que tu dis est absolument vrai, mais je ne le dirai pas, j'ai une famille à nourrir. » J'ai de la chance, je suis un inventeur, je gagne mon propre argent. Je dirige mes propres labora-toires de recherche, je ne dois rien à personne. Et le problème fondamental est le sui-vant : Le noble devoir de la science est de communiquer la vérité. Et je dis la vérité ici : toute cette affaire restera dans les annales comme le plus grand canular effrayant, car elle sert trois objectifs. Premièrement, détruire les systèmes économiques, et cela de façon particu-lièrement forte aux États-Unis. 17 millions de personnes sont devenus chômeurs. Nous voyons également les plans sans équivoque de « BigPharma », de l'OMS et des services de lutte contre l'épidémie qui visent à rendre les traitements médicamenteux obligatoires. S'ils le veulent bien, dans six mois, vous ne pourrez plus obtenir votre permis de conduire comme ça, on dira : « Où est votre carnet de vaccination ? » Ou bien aller dans une salle de sport, à la discothèque, etc. Réfléchissez-y. Et pourquoi ? Parce que « BigPharma » perd de l'argent, d’année en année, il suffit de regarder les chiffres. Ils ont davantage d'investissements, plus de 30 % dans la recherche et le développement, avec une ten-dance à la hausse. On pourrait penser que celui qui investit le plus dans la recherche et le développement recevra plus de subventions. Mais ils reçoivent 30 % de moins, et la tendance est à la baisse. Parce que même la FDA, l’Autorité de contrôle de la qualité des médicaments et des aliments, commence à se rendre compte que leurs produits sont des poisons. C'est pourquoi leur nouveau plan d'entreprise est désormais basé sur les vaccins. Pour-quoi ? Parce que vous pouvez poursuivre le fabricant d'un médicament en dommages et intérêts ; ça a coûté 5 milliards de dollars en 13... 14 ans. Donc très cher, à haut risque, à faible profit, et vous pouvez être poursuivi en justice. Les vaccins ne présentent pas ce risque. Ils ne sont pas soumis à la même réglementation, ils sont appelés produits bio-pharmaceutiques. Deuxièmement, vous ne pouvez pas poursuivre un fabricant de vac-cins, grâce à Ted Kennedy et aux politiciens qui protègent « BigPharma » Vous ne pou-vez pas les poursuivre en justice. Et si vous le faites, vous ne pouvez porter plainte que devant un tribunal géré par la fédération pour des affaires de vaccination. Cela signifie que c'est le contribuable qui paie. Vous voyez ce que je veux dire ? Aucun grand média ne couvre ce sujet.

J.K. : D'après ce que j'ai compris de vos déclarations et de votre interview, votre plus grande inquiétude c’est la médecine forcée. Le week-end dernier, Bill Gates est apparu à la radio publique en Allemagne et a déclaré que 7 milliards de personnes devaient être vaccinées. De quoi s'agit-il exactement ?

S.A. : Voilà, je m'en doutais. L'objectif est de paralyser l'ensemble de l'économie améri-caine, même si elle imprime six billions de dollars. Cela fait partie des objectifs de déve-loppement durable. Imaginez : 7,2 milliards de personnes vous donnent 1 000 dollars chaque année, soit 7,2 billions de dollars. Bill Gates ne connaît pas la biologie, il vient d'une famille riche et il a été oint comme s'il savait ce qu'il faisait parce qu'il a volé de l'argent du trésor public. Sa fondation aurait dû payer des impôts. Ils ont transféré l'argent à la Fondation Bill & Melinda Gates, en ont fait une grande publicité et il sera le sauveur de toutes les personnes de couleur de la pla-nète. C'est raciste. Ce qu'il fait, c'est du racisme institutionnalisé. Son but est essentiellement la médecine forcée. Regardez ses partenaires : Hillary Clin-ton, Chan/Zuckerberg, CDC, des multinationales pharmaceutiques. Ce sont ses amis, ce sont les cercles dans lesquels il vit ! Ces gens veulent diriger une médecine du haut vers le bas. Pourquoi ? C'est simple : ils suivent l'argent. Ils suivent l'argent ! Il s'agit de 7 000 billions de dollars par an de revenus récurrents pour l'industrie pharmaceutique.

J.K. : Mais comment cela fonctionne-t-il ? En mettant toute l'économie à l’arrêt, non seu-lement aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays ? Et d'autre part, y a-t-il de grandes entreprises pharmaceutiques qui pourraient tirer profit de la situation à l'avenir ?

S.A. : Pas ils pourraient, ils en tireront profit !

J.K. : Oui, mais comment on peut combiner ça : laisser toute une économie s'effondrer – dans plusieurs pays, pas seulement aux États-Unis – pour que quelques entreprises pharmaceutiques puissent ensuite en tirer des revenus ? Ça ne semble pas en valoir la peine.

S.A. : Avez-vous fait le calcul ? J.K. : Non.

S.A. : Alors faites le calcul ! Vous découvrirez que ça en vaut la peine. Vous avez une industrie qui vaut des billions de dollars, appelée « Big Pharma », et cette industrie est en train de disparaître. Les gens n'achètent plus de médicaments, regardez la valeur des ac-tions Sanofi, la valeur des actions des médicaments pour le cœur et pour le diabète est en baisse. Mangez-vous des aliments biologiques ?

J.K. : Eh bien, la nourriture en Allemagne est de meilleure qualité qu'en Amérique.

S.A. : Essayez-vous de mener une vie saine ?

J.K. : Bien sûr ! S.A. : C'était différent il y a 20 ans ! 30 millions de personnes aux États-Unis font du yoga aujourd'hui, pensez-y. La tendance est que les gens prennent soin de leur corps, ils veu-lent acheter de bons aliments pour leurs enfants, ils s’intéressent aux vitamines et aux plantes. Il y a dix ans, ça n'existait pas. Par conséquent, tout le modèle économique des grandes entreprises pharmaceutiques est en train de disparaître. Si vous le souhaitez, nous pou-vons l'analyser de manière plus détaillée. Vous pouvez inviter tous les économistes du monde, et nous leur montrerons les chiffres qui confirment l'échec de ce modèle com-mercial. Ils ont donc besoin d'un nouveau modèle commercial, et ce [nouveau] modèle commercial, ce sont les vaccins et les thérapies cellulaires, c'est ce qu'on appelle les biomédicaments. Ils n'ont pas à subir les mêmes tests rigoureux et vous évitez ainsi les litiges. Les entreprises pharmaceutiques constatent que leurs médicaments échouent, qu'ils ne fonctionnent pas. De plus en plus de personnes mènent un mode de vie sain. Ils doivent prescrire des vaccins, c'est de cela qu'il s'agit. Et vous devez comprendre qu'il ne s'agit plus seulement de nations. Il existe des forces qui vont au-delà des nations, on les appelle l'élite mondiale. Existe-t-elle vraiment ? Bien sûr. Elle n'investit pas en Amérique. Ce ne sont pas non plus des nationalistes russes. Elle investit largement au-delà des frontières nationales. C'est de cela qu'il s'agit. Des fondations telles que la Fondation Gates, la Clinton Global Initiative et la Fondation Chan Zuckerberg sont impliquées dans ce projet [qui traverse les] frontières nationales. Ces gens sont en fait leurs propres gouvernements. Car que font-ils ? Ils prennent des milliards de dollars de recettes fiscales, les mettent dans leurs fondations et ces dernières sont utilisées pour dicter la politique publique. Avez-vous élu Bill Gates ? Je ne l'ai pas élu. Et avez-vous voté pour Mark Zuckerberg ? Moi non. Avez-vous voté pour les Clinton ? Non, nous n'avons pas voté pour eux. Mais ils dictent la politique publique du haut vers le bas. Un ordre public que vous et moi n'avons jamais choisi. Un tel ordre veut que les objectifs de développement durable adoptés en 2015 soient une utopie. Vous devriez lire l'Agenda 2030, qui stipule que tout le monde doit être vacciné pour réaliser cette utopie fictive. Et savez-vous qui a soutenu cette initiative ? La Fédération internationale des as-sociations et fabricants de produits pharmaceutiques ! A sa tête se trouvent Roche, Eli Lilly et Shionogi Seiyaku.

J.K. : Cela signifie-t-il que les vaccinations contre le coronavirus ne sont qu'un début ?

S.A. : Exactement, vous avez mis le doigt sur le problème. C'est le début d'un tout nou-veau modèle médical, c'est une approche du haut vers le bas. Pensez à ce qui se passe-ra en septembre de l'année prochaine. Les préparatifs sont déjà en cours. Ils diront : « Jasmin, vous ne pouvez pas sortir, vous devez vous faire tester, et voici le vaccin contre le coronavirus. » Vos voisins paniqués vous dénonceront à la police. C'est là que ça commence. Les gens dénoncent d'autres personnes. C'est du fascisme. Nous savons ce qui s'est passé en Allemagne, c'était il n'y a pas si longtemps. C'était dans les années 1940. Maintenant, c'est le fascisme 2020 et c'est comme ça que ça se passe. Des voisins appel-lent la police pour dénoncer d'autres personnes, sur la base d'une fiction, sur un concept fictif du système immunitaire. Tout cela est faux. Pensez-vous que 7,2 milliards de per-sonnes auraient survécu aussi longtemps ? Nous sommes une usine à germes vivante. La théorie des germes, depuis Pasteur et Robert Koch, a toujours blâmé les germes. Blâ-mer un germe ou un virus est un moyen très puissant de semer la confusion et la pa-nique dans les populations.

J:K. : Peut-être pour nos téléspectateurs en Allemagne, qui voient des vidéos et des images terrifiantes de New York. Ils voient qu’il y un taux d'infection élevé et que plus de personnes y meurent que partout ailleurs. Comment voyez-vous cela et pourquoi n'êtes-vous pas inquiet ?

S.A. : Je suis très inquiet. Je travaille dans le secteur de la santé depuis 40 ans. Je crains que tout le système immunitaire ne soit affaibli. Je suis le type qui a écrit 5 ou 6 articles de recherche sur Monsanto dans lesquels j'ai révélé l'affaire du glyphosate. Ce qui détruit le système immunitaire et la flore intestinale. Où est le tollé de l'opinion publique ? Il n'y en a pas. J’étais un combattant de première ligne pour la santé pendant 20 ou 30 ans, mais il n'y avait aucune inquiétude lorsque des entreprises comme Monsanto détruisaient le sol ou la biodiversité qui affecte notre flore intestinale. Où est le tollé de l'opinion publique face au fait que peu de gens peuvent s'offrir des aliments biologiques, que les pesticides sont partout ? Où est le tollé de l'opi-nion publique ? J'en parle depuis 20 ans et soudain, ils veulent parler d'un coronavirus et ils ont peur. Tout cela est absurde, car leur alarmisme n'est pas compatible avec toutes les autres ma-ladies causées par l'agriculture et par l'énorme industrie pharmaceutique. Si nous vou-lons être honnêtes, parlons de la véritable épidémie mondiale : L'Inde va compter 300 mil-lions de diabétiques. Le savez-vous ? 300 millions de diabétiques parce qu'ils ne suivent plus le même régime alimentaire qu'avant, ils mangent des pizzas dominos, du sucre, plus de sucre et encore plus de sucre. 300 millions de diabétiques. C'est une bonne af-faire pour les cardiologues, l’industrie pharmaceutique, etc.

J.K. : Pourrait-on parler de la situation actuelle à New York ? Parce que c'est exactement ce que les gens voient à la télévision et aux informations.

S.A. : Combien de ces personnes sont immunodéprimées ?

J.K. : Je pense qu'il y en a beaucoup. Je sais que beaucoup d'Américains sont très ma-lades.

S.A. : Connaissez-vous les chiffres ?

J.K. : Non, je ne connais pas les chiffres.

S.A. : Alors, parlons-en. Mais avant de poser des questions comme « Savez-vous com-bien de personnes... ? » Parce que c'est absurde. Faisons de la science, car dans la science il n'est pas question de théories, mais de quantité. La quantité dans le contexte de la vue d'ensemble. Les mathématiques sont importantes, bien qu'aux États-Unis, on enseigne aux élèves que tout le monde est récompensé, même s'ils donnent une mau-vaise réponse. C'est un non-sens. Les mathématiques sont importantes. J'ai passé beau-coup de temps sur les maths et j'ai résolu des problèmes de maths jusqu'à 2 ou 3 heures du matin. Je suis toujours un bon mathématicien. Les mathématiques sont importantes. Et savez-vous ce que les mathématiques nous disent ? Nous ne savons ni ce qu'est le numérateur ni ce qu’est le dénominateur. Tous ceux qui sont amenés à l’hôpital … L'Organisation mondiale de la santé a créé deux codes pour Covid. Pour le premier code Covid-19 a été diagnostiqué en laboratoire. Comment s'y prennent-ils ? En utilisant une réaction en chaîne par polymérase de l'ADN. Si vous regardez Kary Mullis, il a développé cette méthode et a reçu le prix Nobel pour cela. Il dit que ces tests ne sont pas fiables. Il est mort récemment. Cherchez ce nom : Kary Mullis. La méthode PCR tente de rechercher un petit morceau de nucléotide et de le dupliquer. Vous savez que nous sommes probablement tous porteurs du coronavirus sous une forme ou une autre ? Nous tous. Nous ne savons donc pas vraiment ce qu'est le numérateur. Ils ont également créé un code secondaire qui ressemble beaucoup à Covid, et l'ont appelé le code Covid. Le personnel hospitalier est encouragé à estampiller les diagnostics en tant que Covid - pour l'argent et les respirateurs. Nous sommes toujours dans la saison de la grippe, et regardez les chiffres. Il est intéressant de noter que le rythme auquel le nombre de pa-tients atteints de pneumonie diminue est presque identique au rythme auquel le nombre de patients de Covid augmente. Vous le remarquez ? Nous ne connaissons donc pas le numérateur, nous ne connaissons pas le dénominateur. Nous savons que le per-sonnel hospitalier doit apposer ce code secondaire sur les patients atteints de Covid19. Mais combien de personnes meurent de la grippe cette année ? Vous constaterez que les chiffres sont à peu près les mêmes.

J.K. : Et maintenant, peut-être la dernière question. En Allemagne, le gouvernement veut décider cette semaine si les écoles, les magasins, etc. doivent être ouverts à nouveau. Pour votre information, les restrictions initiales ont été imposées jusqu'au 19 avril et sont donc censées prendre fin lundi prochain. D'autres pays européens assouplissent déjà leurs restrictions à la sortie : le Danemark, l'Espagne, la Norvège. Que pensez-vous de la levée de ces mesures de protection strictes ? Bien que nous ne sachions pas encore, bien sûr, si le gouvernement fédéral mettra en œuvre cette stratégie.

S.A. : Je pense que tous ces gouvernements devraient, en toute équité, divulguer tous les chiffres actuels à la population mondiale. Je veux voir les chiffres réels. Je veux voir le nombre de tous les patients atteints de Covid et leurs maladies antérieures. J'ai un très bon ami, un homme qui fume depuis 40 ans. C'est un homme âgé, et chaque fois qu'il attrape une pneumonie, il est sous respirateur. C'était avant le virus. Maintenant qu'il est hospitalisé, il a été testé positif au Covid par la méthode PCR. Si quelque chose lui arrive et qu'il meurt, comment le qualifieront-ils ? En tant que patient de Covid19 ! Toute son histoire, son tabagisme terrible, son régime alimentaire terrible et son surpoids seront ou-bliés. C'est l'une des plus grandes fraudes. J'insiste pour qu'ils m'envoient les chiffres. Ils peuvent télécharger les numéros sur un cloud. Nous, la société, la population active mondiale qui en souffre, méritons de voir tous ces chiffres. J'aimerais voir une petite feuille de calcul Excel avec chaque personne, les deux codes et toutes les conditions préalables. Et je parie que a) ils ne publieront pas ces chiffres et b) que si vous regardez les chiffres, 90 % des personnes touchées avaient déjà des maladies et étaient de toute façon déjà dans le couloir de la mort.

J.K. : Eh bien, c'est exactement ce qui s'est passé en Italie. Nous avons vu cela là-bas Nous avions, j'espère que c'est le bon mot pour cela : Nous avions un pathologiste à Hambourg... (Dr. Püschel)

S.A. : Je parie que vous ne voulez pas vous retrouver dans un hôpital italien, parce qu'ils sont terribles. C'est une condamnation à mort si vous atterrissez là-bas. Si vous avez plus de 60 ans et que vous allez là-bas, vous vous tuez en fait. Il n'a pas non plus été question d'administrer de la vitamine C par voie intraveineuse, en particulier aux personnes dans un état critique, bien qu'il existe des centaines et des centaines de documents de recherche à ce sujet. C'est une mesure thérapeutique en soins intensifs, pourquoi ne le voyons-nous pas ? Pourquoi ne voyons-nous pas un seul médecin parler d'une forte dose de vitamine C administrée par voie intraveineuse ? Ce sont là les véritables crimes, car ils remplacent la lettre « V » de Vitamines par Vaccins ou Ventilation. Et ils gagnent beaucoup d'argent avec ça. 90 % des personnes qui sont traitées par des ventilateurs vont mourir, c'est une condamnation à mort. Nous devons donc commencer à poser des questions différentes. Pas le genre de questions, Jasmin, que vous nous posez, quelque chose comme « Croyez-vous au coronavirus ? » Non, non, et non ! Ce sont des questions complètement stupides, pardonnez-moi de parler ainsi. Mais je suis tellement en colère en tant que scientifique qui travaille et qui passe tout son temps avec les mathématiques, les sciences et la physique. Je suis en colère face à l'ampleur des activités frauduleuses qui ont lieu en ce moment. En est respon-sable une élite qui a pour objectif de détruire l'économie mondiale parce qu'ils veulent que nous soyons tous vaccinés de force dans un an - avec une puce ou autre chose. C'est le grand objectif de Bill Gates, c'est ce qu'il veut. Il est temps que les gens se réveillent et posent les bonnes questions : 1.) Qu'est-ce que le système immunitaire ? et 2.) Le système immunitaire est-il si faible ? Regardons les chiffres réels. Si la santé publique est importante pour nous, nous consta-terons que depuis des années et des décennies, le système immunitaire a été compromis par la pollution de l'air, de l'eau et des aliments. Regardons ce qui se passait il y a six mois. Ouvrons les yeux, quittons le monde des médias sociaux. Il y a eu des manifesta-tions à Hong Kong, des millions de personnes sont descendues dans les rues, des di-zaines de milliers de personnes à Wuhan ont protesté contre la pollution de l'environne-ment. Puis le Venezuela, et deux leaders populistes élus avec Modi en Inde et Donald Trump aux Etats-Unis. Cela ne convient pas aux dirigeants lorsque le peuple élève la voix. Et maintenant, plus de protestations à Hong Kong ou en France. L'Italie, d'ailleurs, a été l'un des centres du mouvement anti-vaccins et pour la liberté médicale. Regardez ça, tout cela a disparu, ces questions ont disparu de la une des médias. En première page, on trouve Anthony Fauci, des gens qui ont peur, des gens en quarantaine. Oh oui, et quant à l'isolement social ... Vous voulez parler de ce qui provoque réellement une infection virale ? C'est l'isolement social. Regardez une étude de 1988 et le travail de Steve Cole. Si les gens sont isolés, leur système immunitaire est détruit. Pire encore, plus nocif que le tabagisme, plus nocif que l'hypertension artérielle, plus nocif que l'obésité. C'est ce qui se passe actuellement. Il est temps pour les journalistes de poser les vraies questions.

 

Source Kla Tv

 

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La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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