14 septembre 2020
- Non à la privatisation de l'ONF - Canopée
Alors que le gouvernement vient d’accorder plus de 20 milliards d’aide aux entreprises les plus polluantes, il s’apprête à accélérer la privatisation de l’Office National des Forêts. Ne les laissons pas faire!
Depuis 20 ans, l’Office National des Forêts est sous pression : en 2019, c’est 1 emploi sur 20 qui a été supprimé.
Moins d’agents, c’est moins de surveillance et une forêt livrée aux seuls intérêts économiques. Juste avant la crise du coronavirus, le gouvernement s’apprêtait à porter le coup de grâce avec le projet de loi d'accélération et de simplification de l'action publique (ASAP). L’article 33 de cette loi prévoit la généralisation du statut de contractuel à l'ONF au détriment du statut de fonctionnaire. Si cette loi était votée en l’état, elle remettrait en cause les fondements du code forestier et la notion de service public forestier. Avec la fin du statut de fonctionnaire, les agents restants seraient soumis à une pression beaucoup plus forte de la direction pour augmenter les prélèvements en forêt.
Parce que la forêt publique est un bien commun que nous devons préserver, je m’oppose à cette nouvelle loi et je demande, au contraire, que davantage de moyens soient accordés pour restaurer un bon état écologique des forêts françaises.
Moins d’agents, c’est moins de surveillance et une forêt livrée aux seuls intérêts économiques. Juste avant la crise du coronavirus, le gouvernement s’apprêtait à porter le coup de grâce avec le projet de loi d'accélération et de simplification de l'action publique (ASAP). L’article 33 de cette loi prévoit la généralisation du statut de contractuel à l'ONF au détriment du statut de fonctionnaire. Si cette loi était votée en l’état, elle remettrait en cause les fondements du code forestier et la notion de service public forestier. Avec la fin du statut de fonctionnaire, les agents restants seraient soumis à une pression beaucoup plus forte de la direction pour augmenter les prélèvements en forêt.
Parce que la forêt publique est un bien commun que nous devons préserver, je m’oppose à cette nouvelle loi et je demande, au contraire, que davantage de moyens soient accordés pour restaurer un bon état écologique des forêts françaises.
Depuis 20 ans, l’Office National des Forêts est sous pression : en 2019, c’est 1 emploi sur 20 qui a été supprimé.
Moins d’agents, c’est moins de surveillance et une forêt livrée aux seuls intérêts économiques. Juste avant la crise du coronavirus, le gouvernement s’apprêtait à porter le coup de grâce avec le projet de loi d'accélération et de simplification de l'action publique (ASAP). L’article 33 de cette loi prévoit la généralisation du statut de contractuel à l'ONF au détriment du statut de fonctionnaire. Si cette loi était votée en l’état, elle remettrait en cause les fondements du code forestier et la notion de service public forestier. Avec la fin du statut de fonctionnaire, les agents restants seraient soumis à une pression beaucoup plus forte de la direction pour augmenter les prélèvements en forêt.
Parce que la forêt publique est un bien commun que nous devons préserver, je m’oppose à cette nouvelle loi et je demande, au contraire, que davantage de moyens soient accordés pour restaurer un bon état écologique des forêts françaises.
Moins d’agents, c’est moins de surveillance et une forêt livrée aux seuls intérêts économiques. Juste avant la crise du coronavirus, le gouvernement s’apprêtait à porter le coup de grâce avec le projet de loi d'accélération et de simplification de l'action publique (ASAP). L’article 33 de cette loi prévoit la généralisation du statut de contractuel à l'ONF au détriment du statut de fonctionnaire. Si cette loi était votée en l’état, elle remettrait en cause les fondements du code forestier et la notion de service public forestier. Avec la fin du statut de fonctionnaire, les agents restants seraient soumis à une pression beaucoup plus forte de la direction pour augmenter les prélèvements en forêt.
Parce que la forêt publique est un bien commun que nous devons préserver, je m’oppose à cette nouvelle loi et je demande, au contraire, que davantage de moyens soient accordés pour restaurer un bon état écologique des forêts françaises.