Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

Shadopompe1 1.gif

Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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25 mai 2024

Au Québec, un jeune de 14 ans peut changer de sexe sans autorisation des parents, mais pas être sur Facebook

 

Immatures

Selon cette idée, les jeunes seraient trop immatures pour comprendre l’impact des réseaux sociaux sur leur vie. Ils n’auraient pas le discernement nécessaire pour gérer leur présence sur ces plateformes devenues incontournables. Les jeunes caquistes estiment donc qu’il faudrait attendre l’âge de 16 ans pour autoriser la présence sur Facebook, Snapchat, TikTok, etc.

En revanche, il est possible d’offrir des bloqueurs de puberté à des enfants de 14 ans sans le consentement de leurs parents, et un adolescent de 14 ou 15 ans peut se voir prescrire de la testostérone pour entamer une transition de genre, malgré le fait que cela puisse entraîner une infertilité à long terme. Apparemment, un jeune de 14 ans sait ce qu’il fait lorsqu’il s’agit d’une transition de genre, mais pas lorsqu’il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux.

PHOTO ADOBE STOCK
Le monde à l’envers

Ne serait-ce pas un renversement des valeurs? Les réseaux sociaux, qu’on les accepte ou non, font partie de notre vie et de celle de nos jeunes. L’interdiction, la diabolisation et l’exclusion n’ont jamais été des stratégies efficaces. La prévention et l’éducation sont les clés du succès à long terme.

Les réseaux sociaux ne sont pas comparables à la cigarette ou à la drogue, contrairement à ce que certains affirment. Il est bien connu qu’une utilisation excessive des réseaux sociaux a des conséquences néfastes, non seulement pour les enfants, mais aussi pour les adultes. Il s’agit donc de trouver un équilibre permettant de tirer profit des avantages des réseaux sociaux tout en réduisant les conséquences néfastes.

Ces dernières semaines, de nombreuses voix se sont élevées pour réclamer la mise en place du principe de la «majorité numérique», c’est-à-dire l’établissement d’un âge minimum légal pour l’utilisation des réseaux sociaux.

Cependant, la manière dont une telle loi serait appliquée et mise en œuvre reste floue, et les partisans de cette idée ne donnent pas non plus d’indications à ce sujet.

Portée par le Parti Québécois et par la commission de la relève de la Coalition Avenir Québec, cette idée repose sur la prémisse que les réseaux sociaux peuvent avoir un impact désastreux sur la jeunesse québécoise, que ce soit en termes de capacité de concentration, de socialisation ou d’estime de soi.

SOURCE:

Le titre en Tête

 

                                     
     Vivre La Liberté     

                                     

 

La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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