Une nouvelle taxe de 3 milliards d'euros pourrait bientôt frapper EDF. Initialement prévue pour tous les énergéticiens, cette taxe a été révisée pour ne cibler que les producteurs d'électricité, excluant ainsi les fournisseurs alternatifs et les exploitants d'énergies renouvelables (ENR).

Cette décision suscite des interrogations, notamment sur l’exclusion des ENR, qui bénéficient déjà de subventions importantes. Derrière cette manœuvre, se cache une bataille de lobbyistes visant à perpétuer ce que certains considèrent comme le plus grand détournement de fonds publics légal de l’histoire, avec la participation active de l’Union Européenne.

La taxe, initialement conçue pour compenser les superprofits des énergéticiens, a été transformée en une taxe sur la production d’énergie en France. Elle toucherait principalement EDF, les centrales de plus de 260 MW étant les principales cibles. Cette taxe, surnommée « la taxe EDF » par les équipes de l’énergéticien public, est perçue comme une nouvelle charge pour l’entreprise, déjà confrontée à des défis financiers importants.

par Yoann

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