La destruction de plusieurs barrages hydrauliques s’inscrit dans une stratégie de l’Union européenne en faveur de la biodiversité. D’ici à 2030, l’UE souhaite rétablir l’écoulement libre d’au moins 25 000 kilomètres de cours d’eau dans les pays européens. Dans un rapport publié en 2021, la branche espagnole de l’ONG WWF a identifié 5 400 barrages comme prioritaires à la démolition en Espagne, “ce qui, selon elle, pourrait libérer plus de 17 000 kilomètres de cours d’eau”, conclut El País.
Ce qu'il s'est passé à Valence, l'explication est toute simple
La rivière coulait le long de la ligne verte et, en 1957, Franco a créé des barrages et des réservoirs et a redirigé la rivière comme indiqué ici, à partir de la ligne bleue.
En 2021, l'actuel gouvernement Sánchez a décidé de détruire les barrages.
Les zones en rouge ont subi les pires inondations de l'histoire de l'Espagne.
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Vos infos et news du 6 novembre 2024
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Entre 2021 et 2022, l’Espagne a détruit +256 barrages pour récupérer le cours naturel des rivières et respecter strictement les objectifs de l’Agenda 2030. Cette année, les conséquences du délire communiste européen se sont fait sentir.
Cette année, nous voyons les conséquences directes du délire communiste de l'UE.
En 2021, l’Espagne a supprimé 108 barrages hydrauliques à travers son territoire, plus que n’importe quel autre pays en Europe. Malgré leur utilité pour l’irrigation ou encore la production d’énergie, beaucoup d’entre eux sont obsolètes, explique le journal “El País”.
L’Espagne a battu un record en 2021, celui d’avoir démoli 108 infrastructures faisant obstacle à ses cours d’eau, selon le Dam Removal Europe, un collectif de sept ONG environnementales. Nul autre pays n’a fait plus en Europe. Selon le quotidien espagnol El País, ces obstacles sont majoritairement des barrages et des digues. Il y en aurait quelque 171 000 à travers le pays – selon une estimation du projet Amber (un atlas européen qui recense les barrages à travers le Vieux Continent), citée par le journal madrilène – au fil des 187 800 kilomètres de cours d’eau qui s’écoulent en Espagne. Certains d’entre eux sont “intermittents” et “ont cessé de couler librement depuis quelque temps”, ajoute le journal de centre gauche.
“Bien que l’utilité des ouvrages hydrauliques soit évidente [pour, par exemple, irriguer les terres ou contribuer à la production d’énergie dans les centrales hydrauliques], de nombreuses constructions sont devenues obsolètes au fil des ans”, développe le quotidien madrilène. Avant d’ajouter :
“De nos jours, on considère que libérer ces cours d’eau, leur permettre de réinvestir leurs berges, présente non seulement de grands avantages environnementaux, mais constitue également le meilleur moyen de prévenir les dommages causés par les inondations.”
Cet argument suscite “un vif débat”, nuance El País. Dans certaines zones d’Espagne, les barrages sont indispensables pour empêcher les cours d’eau de s’écouler vers des habitations en cas de crue.
L’importance des sédiments des “tapis roulants”
Au contraire, dans d’autres cas, ils peuvent bloquer le transport de sédiments. “Lorsqu’un obstacle se dresse sur [le cours d’eau, qu’El País compare à “un tapis roulant”], les sédiments s’y accumulent, tandis que le tapis roulant continue d’avancer. Cela a de nombreuses répercussions sur le débit de l’eau, l’érosion qu’elle provoque et le recul des estuaires et des plages, où le tapis roulant arrive avec beaucoup moins d’apports qu’auparavant.”
Autre argument de poids avancé par le journal, la suppression des barrages permet de fluidifier la circulation des poissons dans les cours d’eau.
Source:
Ríos imposibles: las 171.000 barreras que rompen el curso de agua en España
El país batió en 2021 su récord de demoliciones de infraestructuras que alteran los ecosistemas fluviales. La eliminación de estos obstáculos en Europa está encabezada por Francia y Suecia
Complément:
Ces derniers jours, après le terrible cataclysme qui a frappé la région de Valence en Espagne, nous avons assisté avec consternation et horreur à l’obstruction délibérée du gouvernement espagnol à toute action de secours, non seulement de la part des organismes responsables, mais aussi de la part des volontaires et des citoyens.
L’absence d’action rapide s’est accompagnée d’une interdiction des secours et de l’envoi d’aide d’urgence, même de la part d’États étrangers.
Les populations touchées ont été privées de nourriture, d’eau et d’électricité pendant trois jours. Et tandis que les survivants restaient isolés avec les cadavres de leurs proches, le Premier ministre Pedro Sanchez, avec un cynisme éhonté, refusait de déclarer l’état d’urgence et répondait aux médias : «Si les Valenciens ont besoin d’aide, ils n’ont qu’à la demander». Les membres de la police et des pompiers ont dénoncé leurs supérieurs hiérarchiques pour leur avoir expressément ordonné de ne pas intervenir. Et dimanche, le Roi d’Espagne et le Premier ministre se sont rendus sur les lieux de la catastrophe et ont été sévèrement critiqués pour leurs scandaleuses omissions. Sanchez a pris la fuite devant la réaction de la population indignée et furieuse.
Il s’agit là, comme l’admet aujourd’hui même les médias grand public, d’un autre événement désastreux scientifiquement planifié par les pays soumis au Forum économique mondial, dont les émissaires au sein des gouvernements sont les principaux promoteurs de l’Agenda 2030. En août dernier, la presse internationale a rapporté que l’impact des vastes projets de géo-ingénierie officiellement adoptés par le Maroc pourrait avoir un effet destructeur sur les conditions climatiques de l’Espagne, et que la communauté scientifique avait exprimé une grande inquiétude et appelé à un suivi attentif des phénomènes météorologiques dans la péninsule ibérique. Nous savons que ces projets sont largement financés par l’Union Européenne et d’autres entités privées qui s’alignent sur la thèse frauduleuse du changement climatique. Nous savons également, grâce aux brevets déposés et aux projets diffusés dans le monde entier, que l’ensemencement des nuages implique la libération de substances hautement toxiques telles que l’aluminium, le baryum et le strontium dans l’air – et donc sur les personnes, l’eau et les cultures. En outre, le programme HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) est largement utilisé comme arme non conventionnelle, en raison de l’impact dévastateur des hautes fréquences sur le climat, les phénomènes sismiques et l’activité volcanique. La surveillance des jours précédant l’inondation et durant les heures au cours desquelles les précipitations se sont produites montre des anomalies que les experts reconnaissent comme l’effet sans équivoque d’une intervention humaine, et non naturelle.
L’Espagne n’est malheureusement pas la première nation à être touchée par ces phénomènes délibérément provoqués.
La volonté criminelle de causer le plus de dommages possibles aux populations n’est que trop évidente. Il suffit de penser à la folle gestion verte des réservoirs et des barrages, dont la quasi-totalité a été démolie ces dernières années, ou à celle des canaux et des rivières, dont la réglementation européenne interdit le dragage et le débroussaillage. Et encore : les politiques inconsidérées de destruction de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, au profit de la production intensive des multinationales ; la planification des famines et des sécheresses par la géo-ingénierie, afin de convertir les champs soustraits à la culture en centrales photovoltaïques pour alimenter les centres de données qui contrôlent nos moindres faits et gestes. Les multinationales s’approprient la gestion de l’eau, sous le prétexte du changement climatique, dans le seul but de l’utiliser pour les systèmes de refroidissement des centres de données eux-mêmes.
Tout cela se passe partout, dans le silence complice d’une presse détenue par les mêmes grands fonds d’investissement : BlackRock, Vanguard, StateStreet.
Tout est entre leurs mains : les banques, la dette des États, l’information, la nourriture, la santé, les armements, l’air même que nous respirons, la lumière même du soleil, que nous voyons de plus en plus obscurcie par une couche de nuages.
Mais si cette conspiration contre l’humanité est évidente et même admise par ses auteurs – au premier rang desquels Klaus Schwab -, toute voix critique, toute forme de dissidence, est disqualifiée comme conspiration. La farce pandémique aurait dû montrer de manière incontestable les intentions criminelles de ceux qui ont imposé un sérum expérimental, sachant qu’il provoquerait une mutation génétique permanente, ainsi que la stérilité, de graves effets indésirables dont la réapparition de tumeurs et la mort. Que nous a appris cette expérience d’ingénierie sociale ? Et quelle image se dégage de nos gouvernants, maintenant que nous savons qu’ils agissaient délibérément contre leurs concitoyens ? Des criminels à la solde d’une élite subversive toujours plus puissante et envahissante, toujours plus arrogante et violente.
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