Les mondialistes sont pressés : ils veulent conclure leurs accords en coulisses d’ici le 15 novembre
Le 1er domino est déjà tombé,
même bien avant ce 5 novembre 2024,
les autres suivent et suivront ....
Malheureusement, sans que le grand public ne s’en aperçoive, de nouvelles négociations sur le traité mondial sur les pandémies se déroulent actuellement de manière intensive à Genève. Actuellement, les élites mondiales se réunissent pour la dernière réunion prévue de l’organe de négociation intergouvernemental afin de marteler ce plan directeur totalitaire dans l’esprit de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Après avoir échoué lors des deux précédentes tentatives, il est enfin temps de passer aux choses sérieuses. Les mondialistes sont pressés : ils veulent conclure leurs accords en coulisse d’ici le 15 novembre afin de pouvoir convoquer une « Assemblée mondiale de la santé urgente » en décembre, à tour de rôle, où ils présenteront le traité à signer.
Bien sûr, il ne fait aucun doute qu’il ne s’agit pas de santé, mais exclusivement de pouvoir et de contrôle. Parce que le traité de l’OMS sur les pandémies est la loi habilitante ultime pour transférer des pouvoirs étendus à des élites fonctionnelles mondiales démocratiquement illégitimes, ce qui interfère sans vergogne avec l’autodétermination des États souverains et de leurs populations.
Interférence avec les habitudes de vie les plus privées
Cela comprend les droits d’intervention et de commandement suivants :
- approuver des vaccins et des médicaments non testés ;
- forcer les gouvernements de tous les pays à acheter à un prix élevé les vaccins et médicaments recommandés ou prescrits par l’OMS
- imposer aux citoyens des exigences en matière de port du masque et de vaccination ;
- imposer des interdictions de voyager, des fermetures et des confinements arbitraires ;
- interférer avec les habitudes les plus privées des citoyens (comme déterminer ce qu’ils peuvent manger et boire et s’ils peuvent quitter leur domicile et quand ils peuvent le faire) ;
- quelles informations peuvent ou ne peuvent pas être diffusées dans les médias et sur Internet ;
- autoritaire pour intervenir dans les politiques de santé de tous les pays, pour déterminer leurs règles d’hygiène et de prévention et pour décider comment se préparer à d’éventuelles futures crises sanitaires ;
- organes démocratiquement élus pour retirer tout pouvoir de décision et le mettre entre les mains de bureaucrates liés par des instructions de l’OMS.
Étant donné que l’OMS, pour sa part, est un organisme hautement corrompu financé et contrôlé par des organisations non gouvernementales, des fondations milliardaires, des trusts, des « États voyous » parfois dictatoriaux et le lobby pharmaceutique, ce qui suit serait fait sous la forme d’un état d’urgence arbitrairement invoqué par le biais de déterminations arbitraires de « pandémie » ou de la déclaration de prétendues « urgences » sanitairesLes mécanismes de contrôle politique, les droits fondamentaux et les possibilités de participation politique des peuples sont à l’ordre du jour.
Dernière chance : Pétition !
Tous ceux qui gardent encore un mauvais souvenir de la période Corona savent ce que cela signifie : couvre-feu dans de nombreux pays, écoles et églises fermées. des infirmières qui sont forcées de se faire injecter un vaccin à peine testé (sous peine de perdre leur emploi) des familles qui sont séparées ; les personnes âgées qui meurent seules ; détruit des entreprises ; Amendes, manifestants tabassés. Tout cela pourrait revenir et cette fois-ci, les gouvernements respectifs vont bien – ils peuvent simplement se référer à l’OMS, ce qui ne leur laisse pas d’autre choix. Le traité de l’OMS sur les pandémies vise à faire de ces terribles mesures la norme : dans chaque urgence sanitaire réelle ou perçue, les gens doivent désormais se soumettre à des couvre-feux et à la vaccination obligatoire.
Compte tenu de cette ampleur, la gravité de la situation ne peut être surestimée. Cette folie d’un coup d’État froid d’en haut, cette prise de contrôle de l’OMS doit être arrêtée. Afin d’organiser une large résistance politique, plusieurs pétitions sont donc en cours ; l’un des plus grands et des plus puissants du monde germanophone est celui-ci, qui appelle l’ambassadeur de l’ONU et le représentant de l’OMS responsable du signataire respectif à œuvrer pour préserver la liberté et la souveraineté – et à rejeter strictement le traité de l’OMS sur la pandémie avant qu’il ne soit trop tard. Chaque signature compte !
(Traduction de l'article pour le blog par MATE TRANSLATE)
Source:
Widerstand tut Not: Die WHO versucht mit Hochdruck, den Pandemievertrag bis Dezember durchzudrücken
Leider ohne dass die breite Öffentlichkeit in irgendeiner Weise davon Notiz nähme, finden derzeit in Genf intensiv weitere Verhandlungen zum Globalen Pandemievertrag statt. Aktuell treffen sich die
Via
" Les mondialistes sont pressés : ils veulent conclure leurs accords en coulisses d’ici le 15 novembre afin de pouvoir convoquer dans le désordre une « Assemblée mondiale de la santé d’urgence » en décembre, où ils soumettront le contrat pour signature. Ils se pressent avant que Robert KennedyJr n'arrive au pouvoir. "
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