Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

Shadopompe1 1.gif

Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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18 novembre 2024

Pas assez de vent pour les éoliennes? Ils redémarrent la centrale à charbon de Saint -Avold +

 

Comment s'appelle cet effet inversé ?

Parce que depuis qu'ils ont envahis le marché, les vendeurs/brasseurs de vents devraient arriver à faire fonctionner leurs éoliennes en autonomie !

 

Mieux vaut en rire qu’en pleurer, non ? 

Ils nous bassinent avec leurs énergies alternatives, leurs horribles éoliennes qui pollueront à leur destruction, qui détruisent oiseaux et poissons, qui empêchent les vaches d’avoir du lait… J’en passe et des meilleures et notamment le coût épouvantable pour la collectivité et le citoyen lambda  à l’heure de l’énergie nucléaire quasiment gratuite…

Et voilà que, parce qu’il n’y a pas assez de vent (phénomène naturel et récurrent, si je ne m’abuse), l’Allemagne aux abois ne sait comment répondre à la demande électrique (qui est l’idiote qui a interdit les centrales nucléaires ? )…

et la France de rallumer sa dernière centrale à charbon, histoire de ne pas passer à côté d’un peu de sous à gagner après les 7 ans de malheur apportés par Macron.

 

Allez, on n’a pas si souvent l’occasion de rire. Profitons de l’occasion.

La centrale thermique Émile Huchet, de Saint-Avold en Moselle, dernière centrale à charbon de France, redémarre mardi 12 novembre 2024 à la demande du réseau de transport d’électricité.

Ce redémarrage fait suite à la demande du réseau de transport d’électricité (RTE). Le prix actuel du mégawattheure sur le marché rend la centrale compétitive. Émile Huchet dispose encore des compétences indispensables avec 90 salariés. Elle a déjà fait, à l’issue d’une période de maintenance, l’objet d’un test de fonctionnement concluant en septembre. Le redémarrage complet de l’installation est tout de même une opération délicate.

La centrale Émile Huchet possède encore sur son site un stock de charbon suffisant pour assurer la demande de RTE. Ce sera sans doute sa dernière campagne.

Le site est actuellement dans une période d’incertitude. Alors ce mardi matin, le sentiment était partagé à Saint-Avold. « On est content parce qu’on arrive à démontrer qu’il y a besoin de notre centrale. On est content de pouvoir répondre présent à chaque fois. C’est quand même une centrale qui a plus de 40 ans d’âge mais qui répond présent à chaque fois. Il y a des difficultés techniques mais on y arrive et le personnel compétent est là pour assurer cette disponibilité », raconte Antonin Arnoux, directeur du site Emile Huchet.

« Mais on est aussi inquiets parce qu’on n’a pas de visibilité », poursuit le directeur, « pourtant, on a démontré la robustesse de cette centrale. L’avenir avec la conversion, on a tout démontré. Donc, on est inquiets de ne pas avoir de retour ferme pour le moment de la part de notre haute administration et des ministères. Pour nous, c’est juste une évidence de convertir cette centrale, donc on est inquiets du temps qui s’écoule et de la nécessité de prendre une décision rapidement », indique Antonin Arnoux.

Inquiet pour l’avenir de la centrale et pour celui du bassin houiller, de son côté, Thomas About, chef de quart à la centrale et délégué CFDT commence à se lasser de jouer la variable d’ajustement. « C’est la sensation qu’on a, mais néanmoins on a le service public cheville au corps. La centrale a besoin de produire parce que les Français ont besoin de se chauffer et de consommer de l’électricité. Donc, on répond à ce besoin, néanmoins d’être la variable d’ajustement depuis tant d’années, ça commence à suffire. On n’a aucune visibilité sur l’avenir du site. On sait qu’en 2027, on doit sortir du charbon pour la production d’électricité en France, c’est une parole du président de la République. Il faut décarboner. On a un projet pour décarboner cet outil, il faut à présent que les décideurs décident », Thomas About, chef de quart et délégué CFDT.

GazelEnergie a besoin d’une réponse « d’ici la fin de l’année », afin de pouvoir enclencher la conversion, d’autant « les contrats de travail des collaborateurs courent jusqu’à avril 2025 », précise le groupe. « L’État est attaché à trouver une solution pérenne pour le site et les salariés », assure à franceinfo l’entourage de la ministre chargée de l’Energie Olga Givernet. « Nous attendons un projet viable pour les employer, pour donner des perspectives », a redit la ministre ce mardi sur BFM Business, confirmant une fermeture de la centrale de Saint-Avold en 2027. « En 2027, nous ne brûlerons plus de charbon, c’est sûr », a-t-elle assuré.

Dans un communiqué, le groupe GazelEnergie confirme qu’un dossier de conversion de la centrale au biogaz a été déposé : « GazelEnergie a déposé un dossier industriel le 5 septembre 2024 visant la conversion de cette centrale au biogaz à travers un investissement de plus de 100 millions d’euros, ce qui permettrait de sécuriser le système électrique tout en respectant les objectifs climatiques de neutralité carbone. Plusieurs réunions avec les cabinets des ministres concernés et avec l’administration ont eu lieu pour rendre opérationnelle cette option ».

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/moselle/metz/energie-la-centrale-thermique-a-charbon-emile-huchet-redemarre-3058579.html

Où l’argent prend le pas sur les délires écolos… Comme quoi, quand on veut on peut. Comme quoi ils nous étranglent, limitent nos libertés, nous interdisent voitures, avions, au nom d’une prétendue écologie, d’un prétendu réchauffement climatique uniquement quand ça les arrange. Et là j’avoue que je ne ris plus. J’ai de plus en plus envie de tout casser.

Christine Tasin

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Tout comprendre de l'arnaque des éoliennes; c'est encore pire que ce que vous croyez !

 

Un entretien exceptionnel de Fabien Bougle

Mémorithèque du blog du 3 novembre 2024

 

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Le pacte vert européen

Aujourd’hui je vais présenter la doctrine qui structure la pensée de la “révolution verte”: la transition énergétique en Europe. Il s’agit bien d’une doctrine, puisqu’elle est une réflexion à but politique pour structurer, organiser et contrôler l’intégralité de la vie socio-économique et industrielle des pays membres de l’UE. Tout comme le communisme, le nazisme et le fascisme avaient été instaurés « religions d’états », l’écologisme politique est en train de le devenir en Europe via le pacte vert pour l’Europe.

François Nuke

Le but de cet article n’est pas de commenter l’ensemble du pacte vert européen. Ce chapitre n’a pour vocation que d’interpeller le lecteur sur quelques points portés à son attention. J’invite donc le lecteur, les médias, les financiers de tout bord, les capitaines d’industries à lire ce pacte vert, ils y trouveront un ensemble d’informations bien utiles à la compréhension des transformations actuelles survenant en Europe.

..../....

Le lecteur doit bien comprendre que si la France semble sans plan, sans avenir, cela est uniquement dû au fait que les détenteurs du plan sont en action depuis Bruxelles et que les sbires de Paris n’en sont que les exécutants. Les plans existent, et ils sont mis en application. Une des raisons pour laquelle les citoyens ne comprennent plus ce qui arrive (et notamment en matière d’énergie) c’est que les plans sont présentés mais leur but véritable est caché. Je partage ici le discours fait en 1992 par Philippe Seguin à l’assemblée nationale. Il y est dit à propos de Bruxelles et de la politique des Euro- Régions:

C’est la manifestation d’un dessein régionaliste qui ne prend même plus la peine de se déguiser, mais dont comme toujours on dissimule les véritables ambitions. »

 

 

 

 

Le titre en Tête

 

                                     
     Vivre La Liberté     

                                     

 

La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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