Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

Shadopompe1 1.gif

Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

|

 

|

____|

30 décembre 2024

Covidisme : l’enquête qui visait Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe classée !

Cette enquête judiciaire ne pouvait aboutir car jetterait tout cette bande d’incompétents et de corrompus en prison. Pourtant les mensonges ont été nombreux ! La corruption profonde. La seule anomalie de McKinsey devrait suffire pour agir sévèrement mais non. Ils ont ruiné la France, fait explosé les effets indésirables en tuant des milliers de personnes mais non ! Circulez il n’y a rien à voir !Pourtant les mensonges ont été nombreux : efficacité 100% des injections, efficacité sur la transmission, pas d’effets indésirables…

Comment est-il possible de classer l’affaire alors que le livre d’Agnès Buzyn est à lui seul un dossier accablant des magouilles du gouvernement ! Le seul mal fait par l’exécutif à la réputation de la médecine est désastreux. Le système refuse de s’effondrer mais s’effondre quand même ! Ce n’est qu’une question de temps…

L’enquête visait les anciens ministres de la Santé Agnès Buzyn et Olivier Véran, ainsi que l’ancien Premier ministre Edouard Philippe. Aucun des trois anciens ministres n’est mis en examen.

Il y a un peu plus d'un mois, le 28 novembre, les trois juges de la commission d’instruction de la Cour de la justice de la République (CJR), ont officiellement clos les investigations sur la gestion de la pandémie de Covid-19 en France, a appris franceinfo de source proche du dossier. La CJR est la seule instance habilitée à juger des ministres pour des faits accomplis durant leur mandat. 

En mars 2020, quelques jours seulement après le début du confinement, des premières plaintes avaient été déposées contre le Premier ministre de l’époque, Edouard Philippe, et deux ministres de la Santé, Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran

Vers un très probable non-lieu

La Cour de justice de la République avait été chargée d’enquêter sur la possible responsabilité pénale de ces trois membres du gouvernement dans la gestion et la propagation du Covid-19, ainsi que sur son bilan de plusieurs dizaines de milliers de morts : manque de masques, délai avant d’activer le centre de crise ou encore maintien des élections municipales de mai 2020, les reproches adressés aux membres du gouvernement de l'époque étaient nombreux.

L'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, qui avait quitté le gouvernement au tout début de la crise sanitaire pour se présenter à l'élection municipale parisienne, a un temps été poursuivie. Début 2020, elle avait notamment déclaré depuis l’Elysée que "les risques de propagation du coronavirus dans la population [étaient] très faibles". Elle avait été mise en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui" en septembre 2021, avant que cette mise en examen ne soit annulée par la Cour de cassation début 2023. La Cour de cassation avait alors estimé qu'"aucun des textes (...) pour mettre en examen l’ancienne ministre de la Santé ne prévoit d’obligation particulière de prudence ou de sécurité".

Elle avait finalement été placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté pour ce même chef ainsi que pour "abstention volontaire de combattre un sinistre", tout comme Edouard Philippe et Olivier Véran. L’enquête est donc désormais bouclée, sans aucune mise en examen, ce qui ouvre la voie à un très probable non-lieu dans les mois qui viennent.

 



Lecteur vidéo
 
00:00
 
02:45

 

Source 

Via

 

 

Le titre en Tête

 

                                     
     Vivre La Liberté     

                                     

 

La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

Archives
Newsletter
Le fil d'Arkébi