Sur la question des vaccins ARNm contre la grippe aviaire chez les canards. Et ils injectent même les crevettes, et les porcs, et, etc, car tout y passe !
Encore une fois ils injectent à l'aveugle n'ayant fait aucune recherche à long termes sur les effets secondaires; du moins c'est ce qui est dit dans les papiers, mais je penserai plutôt qu'ils sont déjà bien au courant, comme ils savaient déjà tout sur les effets indésirables et les morts qui allaient se produire, causés par les injections anti-covid ARNm imposées aux populations mondiales, en même temps.
Et là encore, ces nouvelles injections ARNm n'empêchent pas la contamination ni la transmission !
Alors pourquoi leur injecter un soi-disant vaccin ?
Pourquoi vous dire que ce sont des vaccins ?
Réponse : Ils se sont rendu compte que les gens ne voulaient plus être des cobayes, tant ont subi et se retrouvent maintenant handicapé à vie.
Ils veulent vous tuer à petit feu pour que cela leur rapporte énormément d'argent pour faire semblant de vous soigner; d'ailleurs vous n'êtes plus un patient, vous êtes un client !
Et je vous renvois encore une fois au célèbre film "KNOCK" (visible dans cet rubrique quotidienne).
Alors, depuis déjà quelques temps, ils rajoutent, au fur et à mesure et sans vous prévenir, leurs nouveaux poisons dans l'alimentation (qui en contenait pourtant déjà trop), comme cela, ni vu, ni connu; ils ont juste oublié que maintenant existent des lanceurs d'alertes prêt à risquer et sacrifier leur propre vie pour alerter et essayer de sauver un maximum d'autres vies ! C.H.
Danger de l’ARNm vaccinal: Il est encapsulé et donc protégé dans des nanoparticules lipidiques qui sont théoriquement capables de résister aux sucs gastriques. Donc si le canard a été vacciné à l’ARNm (il y a 2 vaccins grippe aviaire disponibles dont l’un n’est pas à ARNm), on peut supposer que ce produit a diffusé dans tout le corps de l’animal (comme ce qui a été montré chez l’homme, la souris, etc,..). Si la viande est mal cuite (magret par exemple), l’ARNm peut être intact et toujours protégé dans les LNPs : le consommateur peut donc théoriquement être « vacciné » par cet ARNm destiné au canard.
Tout ceci est théorique mais aurait dû être étudié AVANT commercialisation : c’est là-dessus qu’il faut insister. Aucune étude sur les conséquences possibles pour l’environnement n’a été effectuée. Les militants écologistes et les organisations de consommateurs se préoccupent beaucoup des OGM végétaux dans l’alimentation mais pas des animaux transformés en OGM par la vaccination! https://aimsib.org/2024/07/21/a-propos-de-la-grippe-aviaire-et-de-la-pandemie-annoncee-gains-de-fonction-vaccins/ À propos de la grippe aviaire et de la pandémie annoncée : gains de fonction, vaccins
Seuls les élevages de plus de 250 canards sont concernés
https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-hautement-pathogene-lancement-de-la-deuxieme-campagne-de-vaccination-obligatoire
la vaccination des canards des élevages détenant moins de 250 individus demeure interdite.
https://www.lafranceagricole.fr/grippe-aviaire/article/872559/la-deuxieme-campagne-de-vaccination-contre-la-grippe-aviaire-est-lancee
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Rappel : le vaccin n'empêche pas la contamination des canards ni la transmission
Ici en novembre 2024 : »Un foyer d’influenza aviaire hautement pathogène a été confirmé le 06 novembre 2024 dans un élevage de canards implanté dans la commune de Saint-Étienne d’Orthe dans le département des Landes. Ces animaux avaient été vaccinés contre l’IAHP conformément à la réglementation. »
https://www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Agriculture-foret-et-developpement-rural/Influenza-aviaire-2024-2025
Pour la campagne 2024-2025, la vaccination reste interdite pour les élevages de canards reproducteurs dont la production (oiseaux d'un jour ou œufs à couver) est destinée au marché européen ou à l'export vers des pays tiers.
La vaccination est INTERDITE pour les autres oiseaux d'élevage
https://agriculture.gouv.fr/la-vaccination-en-pratique-foire-aux-questions-destination-des-eleveurs-et-des-acteurs-de-terrain
Source :
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Conseil Scientifique Indépendant public
Mise à jour 19 décembre 2024 Suite à de nombreuses questions posées, je reviens ici sur la question des vaccins ARNm contre la grippe aviaire chez les canards Danger de l'ARNm vaccinal: Il est ...
[Pétition] NON aux canards gavés de vaccin !
Depuis le 1er octobre 2024, 62 millions de canards sont en train d'être vaccinés, dont certains avec un "ARN messager" expérimental1. Vous avez bien lu : le même type de vaccin que pour le Covid-
Un dirigeant de premier plan de l’agro-industrie et président de l’influent groupe de réflexion axé sur la liberté Living Streams Institute a averti que toutes les crevettes du Canada et une quantité non spécifiée de porcs avaient reçu une injection d’ARNm mortel.
John Graff, chimiste, ingénieur des procédés et directeur du conseil d’administration de la National Citizen’s Inquiry, a tiré la sonnette d’alarme sur l’origine de l’ARNm dans l’approvisionnement alimentaire du Canada.
« Les vaccins à ARNm entrent dans notre chaîne alimentaire chez plusieurs espèces », Graff révélé dans le récent podcast « Up To Everyone ».
« Donc, actuellement, toutes les crevettes d’élevage sont vaccinées avec de l’ARNm, » a déclaré Graff.
« Actuellement, la quantité de porc est inconnue et est vaccinée avec l’ARNm », a-t-il averti.
« Certaines entreprises déclarent sur leur publicité que nous mettons le bon gène dans votre vaccin pour le bétail », a-t-il ajouté.
« Ils ont donc des vaccins qui vont dans l’industrie porcine.
Nous n’avons pas de données sur la quantité vendue et sur où et qui sont les acheteurs.
Mais le Canada n’est pas le seul à utiliser la nourriture pour introduire ce poison dans sa population.
Depuis 2023, l’Australie a commencé à injecter de l’ARNm dans son bétail, Meat and Livestock Australia (MLA) annonçant le financement d’un projet visant à « tester des vaccins à ARNm qui peuvent être rapidement produits en masse en Australie en cas d’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse ou d’une autre épidémie de maladie exotique ».
CONNEXES :
Le responsable du bien-être animal a déclaré dans un communiqué :
« Ce projet permettra de développer un pipeline de vaccins à ARNm initialement pour le LSD, mais potentiellement pour d’autres maladies d’urgence. Cela permettra de produire rapidement en masse un vaccin contre la DNC en cas d’épidémie. Aucun vaccin contre le LSD n’est encore homologué en Australie. Bien que certains vaccins existent à l’étranger, le chemin vers l’enregistrement en Australie pour les [vaccins] produits traditionnellement est plus long que celui d’un vaccin à ARNm.
Pendant ce temps, aux États-Unis, les démocrates ont voté contre un projet de loi visant à obliger les produits carnés à être clairement étiquetés indiquant qu’ils sont injectés avec des vaccins à ARNm.
Cependant, des documents divulgués ont révélé que le ministère de l’Agriculture des États-Unis (USDA) autorisait secrètement l’utilisation de vaccins à ADN dans l’approvisionnement alimentaire américain.
Alors que l’USDA a déjà approuvé le saumon vacciné avec de l’ARNm, l’avocat de l’Ohio, Tom Renz, a averti que le nouveau système permettrait à des produits chimiques encore plus dangereux de Big Pharma d’être introduits dans les aliments.
"... les vaccins empoisonnés mortels à ARNm n’étaient pas suffisants pour l’administration Biden-Harris », a écrit Renz sur X.
« Ils et leurs partenaires pharmaceutiques sont maintenant en train d’homologuer des vaccins à ADN pour une utilisation dans nos aliments. »
Le Dr Peter McCullough a récemment souligné qu’une entreprise chinoise a réussi à « immuniser » des souris grâce au lait de vache, en avertissant : « L’ARN messager est beaucoup plus stable que ce que nous pensons. Il n’a pas besoin de nanoparticules lipidiques et traverse le tractus gastro-intestinal. Il s’agit donc d’une grande nouvelle et d’une grande inquiétude.
CONNEXES :
Vous vous souvenez peut-être de l’époque où Bill Gates a déclaré que la solution à « l’hésitation vaccinale » était de mettre les injections dans notre alimentation. C’est vrai, Gates achetait d’énormes étendues de terres agricoles américaines pour une raison.
Pendant ce temps, RFK Jr, qui sera bientôt nommé tsar de la santé de l’administration Trump, a promis de nettoyer l’approvisionnement alimentaire qui a été empoisonné avec des produits chimiques toxiques, y compris l’ARNm mortel.
« L’agriculture industrielle nous donne non seulement des aliments de qualité inférieure, mais elle prend également le contrôle de nos paysages, ce qui constitue une énorme menace pour la démocratie américaine », a déclaré Kennedy.
RFK s'est également engagé à licencier toute l'équipe du National Institute of Health (NIH) et le DFA.
« Je vais dire aux scientifiques du NIH : Que Dieu vous bénisse tous » a déclaré Kennedy.
« Merci pour le service public. Nous allons donner une pause aux maladies infectieuses pendant environ huit ans.
Nous ne pouvons qu’espérer qu’il n’est pas trop tard.
CONNEXES :
RFK Jr : Bill Gates et Fauci seront emprisonnés sous la nouvelle administration Trump
Traduction de l'article pour le blog par MATE TRANSLATE
Source :
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Top Agriculture Exec: 'All of Canada's Shrimp Are Injected with mRNA, America Will Follow'
A leading agribusiness executive warned that all of Canada's shrimp and an unspecified amount of swine had been injected with deadly mRNA.
Via :
Complément :
Vaccins ARNm pour les animaux : Des questions juridiques en suspens
Le recours a cette nouvelle technologie d’ARN messager n’est pas sans risques, elle peut même poser de sérieux problèmes juridiques. Le point avec un avocat spécialisé, Me Jean-Pierre Joseph.
Le gouvernement français a décidé de recourir depuis le 1ᵉʳ octobre 2024 à une nouvelle technologie d’ARNm pour « vacciner » les animaux en raison de la survenue d’une nouvelle grippe aviaire H5N8. Il s’agit d’une nouvelle technologie encore plus efficace que l’ARNm utilisé en 2021 pour les êtres humains lors de la pandémie de covid-19.
Un codage génétique
En effet, cette technologie constitue un programme (codage) génétique (comme un programme informatique) injecté aux humains et maintenant aux animaux (Autorisation d’Utilisation d’Urgence -ATU- a été délivrée pour les canards et poules). Ce « programme génétique / biologique » est lu par les milliards de ribosomes des cellules (l’équivalent des microprocesseurs des ordinateurs) pour effectuer l’action de produire des protéines dans les milliards de cellules de l’organisme injecté, protéines pouvant avoir des effets délétères voire mortels.
Aujourd’hui donc, une véritable « effraction » peut donc être commise à l’intérieur de l’organisme au niveau cellulaire par l’acte de faire produire des protéines (codage / programme génétique manipulé), dans des quantités non révélées avant l’injection.
Quid d’un programme /codage génétique « piraté » à l’insu du public et produisant alors une protéine stérilisante ou cancérogène et agissant à rebours après l’injection, dans un temps plus long ?
D’autres questions juridiques se posent également avec cette nouvelle technologie d’ARN messagers auto-réplicants/auto-amplifiants qui se multiplient seuls dans l’organisme injecté sans aucun contrôle de la personne injectée (pas de bouton stop). D’abord, comme pour le VIH, des questions juridiques se posent sur les aspects de la contamination par ingestion, rapport sexuel, inhalation etc.
Label rouge, bio ou OGM ?
Ensuite, la nature même de cette technologie d’ARN messager vient interroger un grand nombre de règles juridiques à commencer par l’article 16-1 du civil « Le corps humain est inviolable. », la responsabilité civile, la responsabilité pénale, l’article 15 de la convention d’OVIEDO si des manipulations génétiques se retrouvent dans le génome de la descendance, l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle donc au-dessus du droit européen dans la hiérarchie des normes (principe de précaution).
Une question juridique se pose enfin sur le maintien des appellations Label Rouge et Bio après injection d’ARN messagers. Est-ce que l’ARN messagers et/ou l’animal injecté doivent dès lors être considérés comme des Organisme Génétiquement Modifié (OGM) ?
C’est dans ce cadre que nous interrogeons Maître JOSEPH au sujet de l’Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) permettant de recourir aux produits CEVA à ARN messagers auto-répliquants/Auto amplifiants pour les canards et les poules délivrée depuis quelques mois, en dehors de toute transparence et de concertation, par les autorités sanitaires.

Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le Premier ministre ou le ministre de l’Agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager autorépliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est le cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin. Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises ». Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.
Et si l’ARNm passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ?
Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures. Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…
Les questions juridiques qui se posent sont donc multiples?
Oui. Et il est important de les poser d’abord au Premier minstre. L’ANSES a récemment délivré une ATU au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiant (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053). Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).
Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 de 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.
Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.
Bien d’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant. Les voici.
Première question : Qui contrôle?
Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messager, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la programmation génétique des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Deuxième question : où trouve-t-on les résultats des contrôles?
Pouvez-vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?
Troisième question : Et après l’abattage?
Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, pouvez- vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants est réalisé après abattage?
Quatrième question
Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?
Cinquième question
Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Sixième question
Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?
Septimèe question
Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?
Huitième question
Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?
La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm amplificatif appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplifiant pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)
Quelques rappels utiles
- L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose : « La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
- L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que : « Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »
- L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule : « Interventions sur le génome humain : Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
- L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que : « Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »
Finalement, il ne s’agit pas de »vrais » vaccins?
Les observations du Dr. Jean-Marc Sabatier, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « vaccins », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.
L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.
Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U , etc. pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc. ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.
A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.
Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.
Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.
De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.
Autres intérrogations…
Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ? Quel était le but des fabricants de ces injections ? Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « vaccins » ? Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les Français.
Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants. Sommairement, un ARN messager auto-répliquant/auto-amplifiant prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul ! Combien d’ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.
Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).
Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?). Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.
C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers auto-répliquants/auto-amplifiants qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des Français !
Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétants provenant du monde entier sur ce type d’injections il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.
Source :
Connexe :
Une idée (pas de moi), que je trouve intéressante au sujet de cette déclaration d'urgence de grippe aviaire en Californie. Petite hypothèse : - Un nouveau virus arrive dans le même style que le COVID - L'administration Trump en place prend toutes les bonnes mesures nécessaires (fermeture temporaire des frontières, vitamine D, exposition au soleil, Ivermectine, etc. ) et s`abstient de prendre les mauvaises (confinement, distanciation, gestes barrières, etc. ) - En 15 jours, la situation est résolue, et on peut reprendre le cours des choses comme avant. Y'aurait-il un moyen plus efficace pour pilule-rougiser 95% de la population sur la supercherie COVID?
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