Les records de la France à l'exportation en 2024 : l'électricité et les armes !
Et oui, la France fait partie des plus grands exportateurs d'armements dans le monde !
Mais rassurez-vous,
on fabrique des armes pour instaurer la paix !
Et on fait dans le nucléaire, civil, pour engraisser les sociétés qui ne font que de la facturation à l'état et aux abonnés forcés de consommer à prix fort, l'escroquerie de l'éolien et du solaire (actuel) se rajoutant aux obligations énergétiques .
Une question me taraude :
Où passent les milliards engrangés par l'état avec ces ventes ?
Car il y a les rétro-commissions, autrement appelées "pot de vin" (on pourrait même dire cuve à vin !), touchées par ceux qui "négocient les contrats,
et puis il y a les actionnaires, ou plutôt réels propriétaires, majoritairement états-zuniens, bien que la finance internationale soit apatride,
alors combien revient réellement à la France ?
Donc tout d'abord les armes, avec cet article de la propagande officielle, avec un titre accrocheur et un article plein de fierté :
En matière d’armement, la France tire son épingle du jeu, 2024, a été la deuxième meilleure année pour les exportations d’armement tricolores.
Les exportations d'armement français se sont établies à "plus de 18 milliards d'euros" en 2024 ce qui en fait "la deuxième meilleure année de notre histoire", a déclaré le ministre des Armées Sébastien Lecornu.
L'année record est celle de 2022 avec 27 milliards engrangés. Au début de la guerre en Ukraine, la France avait décroché l’énorme contrat de 80 avions Rafale avec les Émirats arabes unis. Mais 2024 marque une jolie performance, même si ce secteur de l’armement est controversé, car il répond à une hausse des conflits internationaux : les pays achètent des armes quand ils sont en guerre ou quand ils s’y préparent.
Les armes les plus vendues
Sur les 18 milliards d’euros d’exportation, plus de la moitié concerne les avions de combat Rafale déployés par Dassault et les sous-marins, qui restent nos produits phares. Naval Group a par exemple officialisé en septembre la vente aux Pays-Bas de quatre sous-marins Barracuda pour un montant de plus de 5 milliards d’euros. Des dizaines de radars Thales, des missiles produits par MBDA(Nouvelle fenêtre), des drones faits par Safran, les canons César de Nexter, des obus de 155 millimètres que l’on envoie en Ukraine, ont également été vendus.
Comment s'annonce 2025 ?
L'année s'annonce similaire à 2024 compte tenu du niveau élevé de conflictualité. Pour le moment, 14 hélicoptères Caracal ont été vendus en Irak. Outre les Rafale, et les sous-marins, la France va continuer à vendre ses frégates, son artillerie, ses systèmes de défense antiaériens nouvelle génération.
Ces ventes vont équilibrer un peu notre balance commerciale et créer des emplois. Pourtant, selon une récente étude de la Direction générale des armées, le secteur manque cruellement de bras et de cerveaux : 10 000 postes sont immédiatement à pourvoir dans l’hexagone. Ces difficultés de recrutement sont un frein pour produire plus et plus vite, et répondre aux défis de l’économie de guerre, on le voit sur la production de munitions.
Dans l'attente d'un budget
L’armée est suspendue à l’adoption d’un budget, car c’est grâce à la hausse inédite des fonds alloués à la Défense, que la production a pu être relancée, ou relocalisée ces dernières années.
L’absence de loi de finance prive l’armée des 3,3 milliards d'euros supplémentaires qui étaient prévus pour 2025. Michel Barnier prévoyait plus de 50 milliards d'euros pour le secteur, soit 2% du PIB.(Nouvelle fenêtre) Le gouvernement Bayrou devrait rester sur cette ligne.
Source :
Armement français : 2024 est la "deuxième meilleure année" pour les exportations
En matière d'armement, la France tire son épingle du jeu, 2024, a été la deuxième meilleure année pour les exportations d'armement tricolores.
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Passons au secteur énergétique avec l'électricité, pour ainsi dire "offerte" aux z'amis européens qui se font un plaisir de nous la revendre plus de 4 fois le prix qu'ils nous l'auront "acheté" !
Et pendant ce temps là, les français ont de plus en plus de mal à payer leurs factures, pendant que les gorets s'engraissent et festoient sur les restes de la France, vendue, détruite .
Production nucléaire qui revient à la normale, hydraulique au top, consommation en berne… Le solde des échanges avec nos voisins enregistre un excédent de 89 TWh, d’une électricité particulièrement bas carbone.
![](https://image.canalblog.com/t4arkD1b57uVc-8Uu8g6QGSW8Qo=/filters:no_upscale()/image%2F1371207%2F20250109%2Fob_fe910e_h62vrwqfwfghheqtbbkt2spi4y.png)
Selon les données du réseau de transport d’électricité (RTE), en 2024, la France a exporté 89 térawattheures (TWh) d’électricité de plus qu’elle n’en a importé, soit environ 17% de sa production totale (environ 535 TWh). Il s’agit d’un record absolu, faisant tomber le précédent pic de 2002 : jamais le pays n’avait exporté une aussi grande quantité d’électricité de son histoire.
Le secteur revient de loin : en 2022, année noire, le solde des échanges enregistrait un déficit de 16 TWh, en raison, notamment, d’une forte chute de la production française. Cette dernière était principalement due aux problèmes rencontrés dans le nucléaire : fermeture en 2020 de la centrale de Fessenheim, arrêt d’autres centrales pour les travaux de grand carénage et surtout pour des problèmes de corrosion sous contrainte. Depuis, la plupart des réparations ont été effectuées, et le nucléaire est presque revenu à son niveau de 2021 – mais la production reste significativement inférieure à 2018 (baisse de 9%) et largement en deçà du pic de 2005 (baisse de 15%). Le nucléaire représente en revanche plus des deux tiers (68%) de la production totale.
Une production particulièrement peu carbonée
Autre explication à ce record : les énergies renouvelables, qui produisent 27% du total, ont nettement progressé ces dernières années. Cela s’explique en grande partie par l’effet de la météo : le secteur hydraulique, qui représente la moitié de la production renouvelable, a produit 73 TWh d’électricité, un record décennal, du fait du niveau élevé des précipitations en 2024, alors que 2022 était plutôt marquée par la sécheresse. L’éolien et le solaire ont, eux, nettement progressé ces dernières années, mais leur part reste encore relativement modeste (respectivement 9% et 4,5% de la production totale).
L’énergie produite est particulièrement peu carbonée : la part d’énergie fossile est tombée à 3,6%, soit trois fois moins qu’en 2022 et deux fois moins qu’en 2018-2019. Parallèlement à ce rétablissement de la production électrique, le niveau consommation en France a en revanche assez nettement baissé, et est inférieur de 10% à celui de 2018-2019. Ce qui a là aussi contribué à augmenter l’excédent de production.
Côté clients, l’Allemagne, qui a arrêté ses dernières centrales nucléaires en 2023 et a désormais un déficit de production d’électricité, est devenu le plus gros acheteur d’électricité française alors qu’il en était le plus gros fournisseur en 2022. La Grande-Bretagne et l’Espagne également, mais dans une moindre mesure. De quoi faire rentrer plusieurs milliards d’euros dans la balance commerciale de l’Hexagone.
Source :
RAPPEL :
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