Petite clarification au sujet d'Elon Musk.
" Je n'ai pas une confiance aveugle en lui. Ni confiance tout court d'ailleurs. Je sais que le pouvoir et la richesse égarent les âmes, même les belles âmes. Seulement, voilà :
1. Sans lui mon compte n'existerait plus et ma modeste contribution dans cette guerre du récit (création de concepts : "complosophisme", "médiavers", etc.etc.) aurait été quasi stérile sur internet.
2. Il est entré en guerre frontale avec nos pires ennemis : il dénonce sans filtre la tyrannie qui sévit en Europe, rend la liberté d’expression, dénonce les idéologies mortifères et toxiques pour les enfants, la pédocriminalité, la censure, les médias menteurs, diffuse de gigantesques scandales que la presse qualifie de complotistes depuis des années...
3. C'est l'homme le plus riche de la planète.
4. Peut-être est-il même en train de devenir l'homme le plus influent du monde.
5. Je ne suis pas naïf. À vrai dire, je suis pour la démocrate directe : je me méfie donc de tout homme de pouvoir ou de fortune. De tout culte de la personnalité.
6. Néanmoins, force est de constater que pour l'instant, et je dis bien pour l'instant, tout ce qui advient grâce à lui dans cette guerre de l'information et dans la guerre tout court que nos "élites" nous livrent, nous est favorable.
7. Je comprends les lanceurs d'alerte qui sont dubitatifs à son égard. Voire même qui pensent qu'il deviendra dangereux tôt ou tard ( transhumanisme, hégémonie, nouveau dominant...). Néanmoins, ces lanceurs d'alerte ne se rendent pas compte que sans Musk, ils seraient réduits à leur petit site internet ou une page Facebook shadowbanée pour diffuser leurs messages d’alerte.
8. Partant de là, continuons à dénoncer, ne tombons pas dans le culte du sauveur et observons. Bref, saisissons-nous pleinement de l'outil que nous offre Elon Musk pour faire cela : la plus grande agora de l'histoire humaine, ce simple réseau social qui est en train de faire s'effondrer le médiavers, X. "
Alexis Haupt
"Quand Zuckerberg explique qu'on lui a demandé de censurer les discours mettant en garde sur les effets secondaires ou quand des journalistes avouent qu'il était interdit de parler des vaccins, c'est quoi que vous ne comprenez pas pour réaliser ce qu'il s'est passé pendant pendant le Covid ?"
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"Les courts témoignages rapportés ici serviront à la postérité. Ils lui permettront de comprendre ce qu’il s’est passé mais aussi de graver la vérité dans le marbre. Car il ne faut pas que le récit fasse oublier l’essentiel : des masses entières de la population ont été forcées d’accepter une injection de produit encore à l’essai sous peine de ne pas vivre normalement ou de perdre leur travail. Ceci est d’une extrême gravité en matière de dérive autoritaire. Je répète, contraindre des gens à s’injecter un produit sans que l’on ait assez de recul pour savoir s’il est efficace et surtout s’il est nocif, est véritablement un acte d’une extrême gravité. Les gens en ont-ils seulement conscience ? Ce n’est pas certain. Je ne cherche pas ici à dire que le produit n’a pas marché ou qu’il a occasionné des effets indésirables à des personnes qui n’étaient pas à risque, je dis simplement qu’au niveau éthique, contraindre les gens à s’injecter un produit nouveau dans le sang, et je ne parle pas ici spécifiquement du vaccin-covid mais en général, est un acte répréhensible de la plus haute gravité."
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« Une gouvernance pharmaco-punitive n’est pas une fin en soi mais un moyen : un sas d’entrée. La société pharmaco-punitive peut avoir pour but d’opérer un changement radical de société, changement orienté vers davantage de restrictions et de répressions. Elle peut tout à fait servir de phase transitoire à une société autoritaire de contrôle des humains par le numérique : une société numérico-restrictive, voire numérico-répressive, laquelleest une forme de crédit social « à la chinoise ». La société pharmaco-punitive peut utiliser un prétexte ou une idéologie sanitaire pour préparer le citoyen à accepter la société de contrôle et de restriction : une société qui offre la possibilité à l’État de restreindre arbitrairement les libertés des citoyens pour pouvoir les contrôler, les surveiller, les contraindre, les formater et les dompter, d’une part. Et de réprimer ceux qui s’opposent à cette société de contrôle et de contrainte par ce que je nomme la répression tacite, d’autre part : rendre la vie difficile au « mauvais citoyen » sans le punir de lourdes peines mais en le forçant à obéir par le chantage et l’extorsion de consentement de sorte qu’il ne puisse pas parler d’autoritarisme. »
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« Intégré dans un groupe à l’idéologie commune et prenant aveuglément pour argent comptant le récit de l’autorité, l’individu soumis intellectuellement délègue son esprit critique à ladite autorité. Il n’existe plus en tant que sujet pensant, mais en tant que cellule d’un corps qui le dépasse. Il ne pense plus, ne doute plus, n’ose plus savoir, il est emporté par une force supérieure, il suit le mouvement du corps. Ce transfert d’identité intellectuelle à l’autorité le rassure. D’abord parce qu’il se sent appartenir à un groupe, ensuite parce qu’il se met dans le camp de l’autorité, et enfin parce qu’il ne se sent pas responsable de la mauvaise gestion de l’autorité : il n’est qu’un rouage bien huilé au sein de la machine. »
Alexis Haupt est né en 1990. À l’âge de vingt ans, il écrit ses premiers essais de philosophie. Depuis cette date, il écrit quotidiennement sur diverses thématiques. Il est présent sur les réseaux sociaux depuis la crise sanitaire et y est surtout connu pour ses prises de position concernant la « crise démocratique ». Ses propres méditations l’ont conduit à avoir une grille de lecture personnelle du monde, laquelle prône avant tout un éveil de la conscience des Hommes, c’est-à-dire du « moi-pensant », et, ce dès l’enfance.
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