Bruxelles finance à hauteur de 221 millions d’euros des ONG trans qui promeuvent de cacher les transitions de genre des mineurs aux parents
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L’Union européenne (UE) a alloué plus de 221 millions d’euros de fonds publics pour promouvoir un programme radical d'« identité de genre » qui menace les droits des femmes, la protection de l’enfance et la souveraineté des États membres, selon un rapport de la chercheuse Ashley Frawley pour le MCC Brussels.
Le document indique que, sur ce chiffre, au moins 40,5 millions d’euros ont été acheminés directement aux lobbies transgenres les plus extrémistes, dont les intérêts ont influencé l’élaboration de législations clés au sein de l’UE.
Le rapport dénonce que ces organisations ont mené un lobbying secret dans les institutions européennes pour imposer leur idéologie du genre. En particulier, l’ONG ILGA-Europe a exhorté les eurodéputés à travailler « à l’abri des regards » pour garantir l’adoption de politiques favorables à l’autodétermination des sexes sans les soumettre à un contrôle démocratique.
Cette stratégie semble avoir porté ses fruits : plus de 1 000 candidats au Parlement européen ont signé un engagement à soutenir ces politiques sans transparence ni consultation citoyenne.
Les ONG qui bénéficient de ces fonds ont promu des mesures qui normalisent l’autodétermination du genre sans restriction d’âge, ce qui permet aux mineurs de subir plus facilement des traitements hormonaux et des interventions chirurgicales sans le consentement de leurs parents.
En outre, il a été documenté que, dans plusieurs États membres, les écoles dissimulent la transition de genre des enfants à leurs parents sous prétexte de protéger les « droits des transgenres », ce qui porte atteinte à l’autorité parentale et à la souveraineté familiale.
L’un des projets les plus controversés de cet ordre du jour est le certificat de paternité de l’UE, qui obligerait tous les États membres à reconnaître les définitions de la paternité imposées par Bruxelles, qu’elles contredisent ou non leurs lois nationales.
Ce mécanisme représente une nouvelle étape dans l’ingérence de l’UE dans les affaires intérieures des pays, affaiblissant sa capacité à légiférer sur des questions fondamentales telles que le concept de famille et la protection des mineurs.
L’étude révèle qu’une seule organisation, ILGA-Europe, a reçu 64,95 millions d’euros de financement de l’UE, ce qui lui a permis de consolider son influence dans la prise de décision politique sans véritable débat démocratique.
En outre, les fonds de recherche de l’UE sont devenus un outil d’endoctrinement, déversant des millions dans des projets idéologiques tels que « Challenging the Gender Binary » ou « MEN4DEM », qui criminalisent la masculinité traditionnelle et la présentent comme un danger pour la démocratie.
L’imposition de l’agenda trans dans l’UE a également eu des conséquences directes sur les droits des femmes. Le remplacement du concept de « violence à l’égard des femmes » par celui de « violence fondée sur le genre » a dilué les protections spécifiques accordées aux femmes biologiques, tandis que l’autodétermination fondée sur le genre met en péril l’existence d’espaces exclusifs pour les femmes et l’équité dans le sport féminin.
Face à ce scénario, le directeur exécutif du MCC Bruxelles, Frank Furedi, a mis en garde contre la « corruption des processus politiques » au sein de l’UE et a exigé un audit complet de la distribution des fonds européens pour mettre fin au financement secret des agendas idéologiques.
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