ENERGIES LIBRES ILLIMITEES, elles existent, mais faut pas rêver !
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Voici plus de 20 ans que je remets régulièrement sur la table l’omerta des énergies libres illimitées. Ce n’est pas seulement un sujet qui dérange mais un sujet qui tue, vu les intérêts colossaux en jeu . Nicolas Tesla, l’inventeur maudit aux 700 brevets , mais rayé des livres scolaires, en fut la première victime.
Il est évident que voir débarquer soudainement une énergie gratuite ou presque au niveau planétaire créerait un véritable tsunami économique et industriel. C’était précisément la question que se posait à juste titre le capitaine Némo dans 20 000 lieux sous les mers de Jules Vernes ; et l’humanité est elle suffisamment évoluée pour digérer un tel bond technologique?
Donald Trump a promis de libérer 6000 brevets sous cloche depuis des décennies, mais pourra-t-il le faire? Actuellement il semble probable qu’une libération de technologies énergétiques secrètes est en cours en Chine et aux Indes, ces pays n’ayant pas de ressources pétrolières notables.
De son côté, la Russie, disposant à outrance de gaz fossile n’a aucun intérêt à s’associer à cette avancée futuriste, ce qui est certainement une bonne chose nous prémunissant du choc économique et social évoqué plus haut.
MAIS FAUT PAS RÊVER AVEC L’ENERGIE LIBRE
Un scientifique américain nommé Stanley Allen Meyer (1940-1998) a conçu un appareil permettant de provoquer sous le capot même de sa grosse voiture américaine à essence la fission des molécules d’eau pour obtenir un mélange d’’hydrogène et d’oxygène prêt pour une combustion propre dans les cylindres.
Son système consommait une énergie électrique minime par rapport à l'électrolyse classique de l’eau que tout le monde a appris à l’école. D’après les dires de l’inventeur le rendement de son “séparateur de molécule” était supérieur à 1000 %…
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Dans un bac en plexiglas, pourvu de barres métalliques, il verse de l’eau du robinet, alimente en courant (moins d’un demi-ampère, pour une fréquence de 20 000 hertz par seconde) et ça marche : il fabrique plusieurs centaines de % d’énergie de plus qu’il consomme, et produit de l’hydrogène à prix dérisoire Son invention est donc un « séparateur d’eau » (complexe) capable de fractionner l’eau en oxygène et hydrogène. NOTA : La température de l’eau contenue dans le container en plexiglas ne change pas.
En septembre 91, Stanley Meyer a fait breveter son invention (aux Etats-Unis, au Japon et en Europe) et a tout de suite eu plusieurs propositions. La NASA l’a poliment prié de laisser sa découverte dans un tiroir contre 1 milliard de dollars et les Émirats Arabes 4 milliards.
Mais en 2006, Stanley est mort empoisonné…en sortant d’un restaurant. Il parait clair que de telles sommes lui ont été offertes pour bloquer son brevet face au gigantesque marché mondial du pétrole, et qu’il ait refusé. Il fallait donc faire disparaître ce très dangereux trublion.
Stanley Meyer, en refusant les propositions, a signé son arrêt de mort.
Par Michel Dogna