Nous sommes sous le règnes de fous au pouvoir, de girouettes que l’on ne peut plus qualifier d’humains.
..../....
Heureusement, avec le peu d’attention que nous apportons à la grande implosion d’une planète cancérigénée, le règne de tout cela devrait s’achever vers l’an 2060 ou un peu plus tard. L’humain s’ennuiera de la nature, de la souche et de la mère réelle de sa vie pour avoir privilégié la folle aventure de sciences-miroirs qui ne sont dans nos vies mais qui ne sont pas nos vies.
La marchandisation d’un arbre tue la forêt.
La marchandisation de l’air au profit de pouvoirs électriques du nouveau « visage pale » va nous coûter, à tous, nos vies et nos bonheurs simples.
Les pouvoirés sculptent chaque jour la stupidité de nos vies. Nous sommes responsables de l’inatention et des structures éducatives pauvres et des citoyens démunis dans ce vacarme quotidien du « travail » qui fait vivre de la matière et non de l’amour et de l’esprit. L’amour n’est pas qu’un sentiment, le véritable est le respect et l’acceptation.
L’esclave de l’air-moderne
Le travailleur est une pièce à bouffer pour le grand trésor des « un cas ». Minés jusqu’à la moelle, avec sa misère acceptée et incompréhensible, car sans choix que celui d’être un usiné, classé grand ou petit dans l’ordre de « choses » de cet univers de boucherie, la peur s’est installée. L’effroi du lendemain court. Il est « managé » sans ménage. Et on porte sur le travailleur le grand déclin des sociétés dites développées.
Les Goebbels électroniques
Le « bonheur » est maintenant un chapelet d’avoirs. Les Goebbels sont intégrés dans toutes les structures de cette mondialisation. Mais on continuera, car la démocratie de l’avoir est, hélas, sans choix.
Le « monde » est décidé ailleurs que chez-soi. Nous avons perdu notre véritable liaison communautaire et réelle.
Il faut passer par l’électronique pour se rencontrer.
Et il faut la consulter de par le biais des politiciens devenus des puces d’ordinateurs avec un numéro de série.
On ne décide plus de son destin.
Gaza ne décide plus du sien: qui aurait dit qu’un jour, un cinglé aurait rêvé d’en faire une station balnéaire avec plage toute chaude et qu’il aurait trouvé l’architecte prêt à faire fondre des enfants dans le sable sans qu’ils puissent en jouir.
Gaëtan Pelletier
/image%2F1371207%2F20250419%2Fob_665fd3_das-boot.jpg%3Fw%3D500)