Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

Shadopompe1 1.gif

Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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5 mai 2025

RÉVOLUTION ÉCOLOGIQUE DE MES DEUX....

 

Peut-on vraiment se qualifier d'écologiste quand on engage une telle procédure ?

Ma réponse est NON.

Escroc-illogique, OUI, pour ne pas être plus vulgaire. C.H.

 

Polémique autour de l’utilisation de chevaux de trait dans une commune : des militants écologistes dénoncent

 

La commune de Questembert dans le Morbihan, fait face à une polémique sur les chevaux de trait qu’elle a acheté pour réaliser des tâches urbaines du quotidien. Une initiative jugée écologique qui ne passe pourtant pas auprès de certains politiques de gauche.

À Questembert, petite commune de 8 000 habitants du Morbihan, une polémique plane sur les chevaux de trait achetés par la municipalité. Les animaux sont venus remplacer les véhicules à moteur et assurent désormais le transport scolaire et la collecte des déchets. Pourtant, cette initiative à première vue écologique n’est pas au goût de tous. Le collectif Révolution Écologique pour le Vivant (REV) a lancé le 13 avril une pétition pour "faire cesser l’utilisation des chevaux."

La mise en place de ces "chevaux territoriaux" ne s’est pourtant pas faite au hasard. Selon les informations de François Camé, directeur de l’agence Etik-Presse, les trajets des animaux sont étudiés pour ne pas trop les fatiguer, et pour disposer d’une écurie et d’un pâturage à proximité. Les employés municipaux, formés pour s’occuper des chevaux et les conduire, profitent par ailleurs du contact avec les mammifères.

L’initiative a également des avantages écologiques et économiques : il suffit de changer la carriole en fonction de la tâche à réaliser, ramassage scolaire ou collecte des déchets, au lieu de faire fonctionner deux véhicules. Tout a été pensé, jusqu’au crottin qui est récupéré par un panier sous la queue de l’animal, décrit François Camé

Un projet qui divise

Ce nouveau mode de déplacement à su séduire une partie de la population. Les chevaux territoriaux font notamment le bonheur des enfants qui vont à l’école en carriole, et des habitants qui croisent leur route en déambulant dans la commune.

Cependant, l’initiative ne plaît pas à tout le monde. La pétition lancée par la REV a déjà recueilli 24 000 signatures, soutenue par le fondateur du parti Aymeric Caron. L’élu municipal REV délégué à la condition animal à l’origine de la pétition, Serge Buchet, dénonce une source de souffrance pour l’animal utilisé comme "un outil au service des humains." En cause : des routes non adaptées au passage des animaux, des charges trop lourdes à tracter, des conditions météorologiques trop extrêmes… Et enfin, la circulation au milieu des véhicules motorisés peut selon lui effrayer les chevaux, et les expose aux risques d’être percutés et blessés.

Aucune étude n’a pour l’instant été réalisée pour déterminer quel effet la réalisation de tâches comme le transport des ordures et ou des personnes pouvait avoir sur la santé des équidés.

Source : 

via : 

Le titre en Tête

 

                                     
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La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


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