Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

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Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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25 août 2016

- La Rhétorique Perverse

 

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BHL, Alain Minc, Jacques Attali et la cohorte de sycophantes serviles du système et des élites qu’elles soit nationales ou mondialisées, financiarisées ou politisées. La foultitude de pseudo-journalistes formés, entraînés et rétribués surtout avec notre argent pour nous induire dans l’erreur la plus totale.

Cette triste engeance a pignon sur rue, table et micro ouverts sur les ondes et les plateaux télé. On les sollicite pour écrire leurs harangues dans les journaux les plus diffusés et ils se prennent au final pour des pointures que, franchement, ils ne sont pas. Juste des âmes damnées dévouées au pouvoir et à l’argent.

Je cite à ce sujet Valérie Bugault, qui a évidemment tout compris et qui m’écrivait très récemment concernant le rhétorique perverse :

« Il y a beaucoup de pseudo intellectuels pervers dont la mission est de justifier aux yeux du plus grand nombre la prééminence de l’intérêt des oligarques financiarisés. On les reconnait infailliblement à plusieurs choses dont : une pseudo technicité du discours (ce que pratique à merveille Pierre Sarton du Jonchay…), une prétendue adhésion (de pure façade mais claironnée) aux constats de dérives actuelles des institutions (de la prééminence de l’argent-roi etc.), l’exposé (très clair lui par contre) d’une prétendue nécessité d’organiser des institutions mondiales.

 “Ce sont des techniques dialectiques couramment employées par les mondialistes qui maitrisent parfaitement l’art rhétorique qu’ils interdisent en revanche de diffuser dans l’enseignement des masses. La défense intellectuelle contre l’oligarchie passe par l’apprentissage de la rhétorique. L’utilisation de la technicité par les mondialistes sert à diluer la finalité des institutions (dans un brouhaha de techniques prétendument incontournable) : une façon de noyer le poisson en sidérant les esprits faibles… »

Écoutons Emmanuel Leroy : « Bien vu votre critique de Boulevard Voltaire et de Robert Ménard et j’y souscris complètement. On n’est pas à la tête d’une ONG financée par la NED et donc par la CIA pendant 15 ans sans être un agent stipendié du Système. Donc oui, mille fois oui, Ménard et quelques autres sont entrés dans cette mouvance “populiste” pour la contrôler et l’orienter selon les besoins des tireurs de ficelle. »

Cessons de laisser ces tristes sire diffuser leur poison au Peuple. Il faut les contrer. Ils ont les médias on a la Presse Alternative. Ils ont des têtes d’affiche (non je n’ai pas dit têtes à claques), on a des commentateurs et des auteurs, on a des milliers de lecteurs.

Au fait c’est quoi la différence entre des auteurs ou des commentateurs ? Il n’y en a rigoureusement aucune. Les deux font œuvre d’idées, de structure, de débat et de catalyseurs.

À rhétorique perverse, opposons rhétorique juste et bon sens populaire, culture de la liberté, indéfectible combat à leur faire mordre la poussière.

Ça n’est pas compliqué. Il faut leur crier qu’on ne veut plus de leur monde de merde !

Algarath

Source: algarath.com

 

Le titre en Tête

 

                                     
     Vivre La Liberté     

                                     

 

La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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