La secte de la mort vaccinale frappe encore : l’Ontario ouvre la voie à l’euthanasie des blessés par le vaccin
La machine de la mort ne s’arrête plus, broyant ceux qui, abîmés par le système, deviennent des gêneurs pour l’État.
Aujourd’hui, en Ontario, le cauchemar est devenu réalité : un homme, appelé “Monsieur A,” ravagé par des souffrances physiques et mentales survenues après trois doses de vaccin à ARN messager, a été euthanasié grâce au protocole d’Assistance Médicale à Mourir (AMM) du Canada.
Autrefois un individu, aujourd’hui un symbole tragique des dommages collatéraux du vaccin, Monsieur A est devenu la première victime officielle d’une “syndrome post-vaccin” selon la bureaucratie médicale canadienne. Un terme étrange, comme un voile jeté pour masquer la vérité : l’expérimentation de masse a dérapé, et les victimes doivent maintenant disparaître sans un mot. Pour les membres du comité AMM, la situation de Monsieur A était jugée “irréversible.” Leur solution ? Sceller son destin et étouffer son cri silencieux.
Les architectes de cette tragédie
Le Dr William Makis avait pourtant prévenu. Avec une clairvoyance glaçante, il avait prédit ce glissement fatal, affirmant que cette dérive institutionnelle vers la mort dissimulée finirait par cibler les blessés par le vaccin. “La secte vaccinale est une secte de la mort,” alertait-il, soulignant que l’AMM deviendrait bientôt la “solution finale” pour les blessés par les vaccins COVID. Leur souffrance est trop visible, leur existence trop dérangeante pour l’appareil qui a orchestré leur malheur. Plutôt que d’exposer l’immense machine du vaccin, on préfère les réduire à des statistiques, effacés dans le silence.
La compassion déguisée : la mort par procuration
Nous ne parlons plus ici de soin, mais de gestion démographique déguisée en “compassion.” Monsieur A n’était pas en phase terminale. Sa souffrance n’était pas due à une maladie incurable, mais à un syndrome apparu après trois doses du prétendu “miracle” à ARN messager. Là où il aurait autrefois pu recevoir un traitement ou un soutien, on l’a seulement évalué, jugé “irréversible,” et éliminé, par les mains mêmes de ceux qui avaient prêté serment de ne pas nuire. Et il ne sera pas le dernier. Il suffit de creuser pour voir l’ombre inquiétante qui se tapit dans les politiques de santé du Canada : les évaluateurs de l’AMM, armés d’un cynisme bureaucratique, évaluent maintenant la vie des gens en termes d’utilité. Les vulnérables, les fragiles, les blessés par le vaccin sont désormais perçus comme des charges. Pour eux, l’État a une réponse nette, et sa miséricorde est glaciale. Aucune autopsie, aucune recherche de la protéine Spike ne sera menée pour déterminer la cause réelle de leurs souffrances. On efface les morts comme des données inutiles, et on coche la case “compassion.”
Le chemin de la secte de la mort : MAiD comme solution systématique
Le Dr Sonu Gaind, lui-même non opposé à l’AMM, révèle l’ironie brutale : dans certains cas, des personnes vulnérables ne peuvent pas obtenir un traitement médical approprié, mais peuvent être conduites à la mort par les médecins censés les soigner. Gaind, horrifié par cet effondrement éthique, avertit que les politiques de l’AMM au Canada ont franchi des frontières indéfinissables. Monsieur A, selon lui, a été euthanasié plus pour son “inconvenance sociale” que pour une condition incurable. Ce que l’on voit ici n’est pas de la compassion, c’est une gestion froide de la mort.
La prochaine étape : l’AMM comme purgatoire institutionnalisé
Ce premier cas n’est pas un accident ; c’est une déclaration d’intention. Des centaines de milliers de Canadiens, blessés par une campagne qui promettait la sécurité mais a livré la souffrance, se retrouvent maintenant au bord du précipice. L’AMM deviendra bientôt le moyen pour l’institution de balayer ces vies sous le tapis. Avec chaque dose non vérifiée, chaque blessure par le vaccin ignorée, la machine continue d’avancer, rejetant les vies gênantes qui pourraient exposer le mensonge flagrant au cœur de cette entreprise. Ce qui devient évident, c’est que l’État – de concert avec Big Pharma, les autorités de santé compromises, et une presse complice – n’a aucune intention de soutenir ou même de reconnaître les vies qu’il a brisées. Au lieu de cela, il leur offre une “sortie.” Au Canada, cela se traduit par un “choix,” disent-ils. Mais en réalité, c’est un choix qui n’en est pas un.
Sources : expose-news.com/2024/10/26/cov
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