Le fil d'Arkébi

 

Sortir du moule

"Freedom" sculpture de Zénos Frudakis

Shadopompe1 1.gif

Pendant ce temps là,

les Shadoks

continuent de pomper

 

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25 novembre 2024

Signaler un EI (Effet Indésirable) post-dose Covid, c'est fini ! /+/

 

Annoncé par les "complotistes/visionnaires" il y a quelques mois (ici même également), depuis septembre 2024 plus aucun signalement ne peux être enregistré !

 

Très pratique pour ne plus voir apparaître d’éventuels Effets Indésirables retardés éventuellement et attribuables aux différents produits.

 

Voici l’histoire éclairante vécue par Annie Kasperczyk, qui a voulu déclarer pour elle-même un effet indésirable de la vaccination Covid, en l’occurrence l’apparition de troubles sévères du sommeil quatorze jours après sa première dose.

Le décès de sa propre mère avait déjà été signalé par ses soins l’année précédente, après qu’une maison de retraite ait procédé à une 5e dose sans en avertir la famille.

Non seulement pour cette ancienne infirmière la seconde déclaration fut longue et complexe, mais elle a compris que depuis septembre 2024 plus aucun signalement ne pouvait être enregistré…

 

Quelle galère ! Lorsque j’ai effectué une déclaration d’effets indésirables pour moi-même en automne 2023 concernant les injections « vaccinales » anti-Covid que j’avais reçues, ( troubles sévères du sommeil dès la première dose) je me suis sentie découragée, rien n’est fait pour faciliter la procédure. J’y ai passé facilement 2 heures.

Cette année, j’ai effectué une seconde déclaration d’effets très indésirables concernant ma mère, en octobre 2024. Déjà, il faut cliquer sur le bon site pour déclarer : celui du gouvernement ; l’ANSM (l’agence nationale de sécurité des médicaments) permet aussi de se connecter au site gouvernemental. Le voici :

https://signalement.social-sante.gouv.fr/

Ensuite cliquer sur « signaler un évènement indésirable », puis à la page suivante, si vous êtes un particulier, puis à la page d’après : médicaments ou vaccin dont Covid.

Vous devrez répondre à une question :  votre situation concerne-t-elle spécifiquement un des cas suivants :
– une situation de dépendance, d’addiction à un médicament ?
– une utilisation de médicaments pour obtenir des effets euphorisants, calmants, stimulants, excitants, hallucinogènes ?
Oui
Non
Ne sais pas

En cochant NON, des explications apparaissent et vous « rassurent » ou vous font reculer face à votre souhait de déclaration quant aux effets indésirables des injections « Covid ». Vous pouvez ouvrir le modèle du formulaire, pour prendre connaissance des éléments à instruire. Mais sachez qu’il n’y a pas qu’une étape 1, en fonction de ce que vous décrivez.

Passez le code d’accès : recopiez des chiffres et lettres, si ça ne fonctionne pas au bout de 2 essais, pas grave, on vous indique de passer à la page suivante…

S’il s’agit d’une déclaration pour vous-même ou pour un tiers, vous devrez indiquer vos coordonnées. N’oubliez pas de valider vos données, car si vous souhaitez modifier des éléments, en cliquant sur précédent ou arrière, vous revenez au point de départ et devez tout recommencer.

Il vous faudra remplir tous les détails administratifs (nom, prénom…) puis s’il s’agit d’une déclaration pour une tierce personne, remplir son poids, taille et répondre à la question suivante : « Si la personne qui a pris le médicament est différente de celle qui présente l’effet indésirable : indiquez le lien de parenté (mère, père, grand-mère…) et le contexte de l’exposition »

Il faut entendre dans

– la personne qui présente l’effet indésirable –

non pas celle qui subit l’effet indésirable,

mais qui effectue la déclaration.

Il faudra cocher « autre » et non pas les autres propositions car vous pourrez indiquer s’il s’agit de votre mère, père…
Ensuite, si vous avez effectué un test Covid : indiquez la date.

À l’étape suivante, vous pourrez cocher le vaccin, pour lequel il faudra préciser son nom, son numéro de lot, le site de l’injection…, et inclure des documents scannés.

Les détails demandés dans cette déclaration vous obligent encore et toujours à indiquer le nom du vaccin, la date d’administration, le lot (qui ne figure pas sur les attestations européennes), mais que vous pouvez retrouver sur le document manuscrit qui vous a été remis au moment de l’injection ou qui existait sur votre compte Ameli…

 

MAIS,

Depuis septembre 2024,

il n’y a plus d’accès à ces données…

 

« Depuis le 28 juin 2024, en cas de vaccination contre le covid-19, le professionnel de santé ne vous remet plus d’attestation de vaccination, car depuis la fin du pass sanitaire (été 2022) cette attestation ne vous est plus d’aucune utilité ».

capture d’écran 2024 11 21 à 14.52.09

 

Attention, le service de téléchargement de vos attestations cesse à compter de septembre 2024, passé cette date vous n’y aurez plus accès. » (cf. amelibot : le chatbot qui répond aux questions en bas de la page)… !

Puis vous passez à l’étape 1 de description de l’effet indésirable, sa date, l’évolution. Vous pourrez ajouter des étapes et refaire leur description.

Concernant ma mère en 2023, cela avait conduit à son décès.

Il vous faudra mentionner un professionnel de santé susceptible de répondre à d’éventuelles questions posées par le centre de pharmacovigilance. N’oubliez pas de valider chaque étape pour éviter d’avoir à tout recommencer. Vous obtiendrez une réponse mail, ainsi qu’un numéro de dossier qu’il faut garder.

Ça parait simple décrit comme ci-dessus, mais je vous assure que cela prend du temps, déjà dans la recherche des détails concernant le vaccin (numéro du lot). Si vous n’avez pas gardé le document manuscrit, je pense qu’en omettant d’indiquer le numéro de lot, votre déclaration ne sera pas enregistrée.

Bon courage à tous dans cette démarche nécessaire pour mettre au jour les effets indésirables qui ne sont pas encore décrits…

Par:

Annie Kasperczyk

Pour:

 

/+/

 

NOUVELLES PREUVES DE LA DANGEROSITÉ DES INJECTIONS ARNm 

 

Une étude portant sur l'autopsie de 240 personnes décédées montre que les injections ARNm sont responsables dans 74% des cas. Celle-ci, qui devait originellement être publiée dans The Lancet, a été censurée à deux reprises. Entièrement revue par des pairs, elle vient d'être publiée.

 

Il ne vous reste plus qu'à la montrer à votre médecin pour lui demander ce qu'il en pense. Ou à l'envoyer à l'INSPQ car apparemment il n'est pas au courant.

Extrait :

 

" ..../.... parmi l’univers des autopsies publiées réalisées après la vaccination contre le COVID-19 disponibles à ce jour, avec une revue contemporaine et indépendante, nous avons constaté que dans 73,9 % des cas, la vaccination contre le COVID-19 était la cause directe ou contribuait de manière significative au décès.

 

La cohérence observée parmi les cas dans cette revue avec les événements indésirables graves liés au vaccin contre la COVID-19 précédemment signalés, leurs mécanismes mortels connus, associés à notre évaluation indépendante, suggèrent qu'il existe une forte probabilité d'un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès.

 

Les implications de notre étude s’appliquent aux cas de décès imprévus sans maladie préalable parmi les vaccinés contre la COVID-19. Nous pouvons en déduire que dans de tels cas, le décès peut avoir été causé par la vaccination contre le COVID-19.

 

Des investigations plus approfondies sont nécessaires de toute urgence pour s'appuyer sur nos résultats et élucider davantage les mécanismes physiopathologiques de la mort dans le but de stratifier le risque et d'éviter la mort pour le grand nombre d'individus qui ont pris ou recevra un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 à l’avenir.

 

Des autopsies doivent être pratiquées sur toutes les personnes décédées qui ont reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19.

 

La surveillance clinique des personnes vaccinées contre la COVID-19 est indiquée pendant une période d'au moins un an après la vaccination afin de garantir l'absence d'événements indésirables graves pouvant entraîner la mort. "

 

Traduction de l'extrait pour le blog par MATE TRANSLATE

 

Article complet et lien vers l'étude:

Via :

 

 

 

 

Le titre en Tête

 

                                     
     Vivre La Liberté     

                                     

 

La racine de nos maux,

des mots pour arracher la racine.

« Le discours de la servitude volontaire » de

Etienne de La Boétie.

(Pour lire la suite....)


 

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