- Un énoncé dans un rapport des Nations Unies qui glace le sang...
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"" C’est le deuxième « indicateur de progrès », en majuscules, qui me laisse perplexe, vraiment perplexe…
D’ICI SEPTEMBRE 2020:
LES NATIONS UNIES (INCLUANT L’OMS) CONDUISENT AU MOINS DEUX EXERCICES D’ENTRAÎNEMENT ET DE SIMULATION À L’ÉCHELLE MONDIALE, INCLUANT UN EXERCICE QUI COUVRE LA LIBÉRATION DÉLIBÉRÉE D’UN PATHOGÈNE RESPIRATOIRE MORTEL???????????
Si je comprends bien, d’ici septembre 2020, deux simulations doivent avoir été menées dont l’une couvre ou cache la libération volontaire d’un virus respiratoire mortel. What?
Est-ce que cette simulation se produit actuellement dans « le vrai monde »? Le virus respiratoire mortel relâché volontairement est-il celui du coronavirus ou bien, un autre est sur le point d’être relâché? ""
En restant rationnel, ce texte a-t-il été bien interprété ? J’ai traduis les paragraphes signalés, dont il semble être question. (Voir compléments en fin d’article) C’est incroyable, les infos sortent à un rythme soutenu et ça n’est pas fait pour rassurer. On a cette « soi-disant » épidémie « ultra dangereuse » qui rode, on nous impose des mesures sanitaires qui vont à l’encontre de notre modèle social, notre économie est à terre et, la peur fait le reste. Que comprenez vous de ce texte ? Ces exercices de simulation, pour tester la préparation des états à faire face à une menace pandémique, va-t-elle avoir lieu ou est-elle déjà à l’œuvre ? Merci à Élysées. Partagez ! Volti
Par Isabelle de Conscience du Peuple
Suivez-moi bien puisqu’il y a un énoncé qui me paraît questionnable et très inquiétant dans le rapport que je vais vous introduire à l’instant. Cet énoncé, même dans son contexte le plus stricte, me renvoie à une récente et terrifiante affirmation de Bill Gates:
Le premier rapport du GPMB (Global Preparedness Monitoring Board) a été publié en septembre 2019, et il est intitulé « A World at risk: Annual report on global preparedness for health emergencies ». https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf
Le Conseil mondial de surveillance de la préparation (GPMB), organisme de surveillance et de défense des droits, a été créé en mai 2018 par le Groupe de la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé. Dans son rapport « A World at risk », le comité de 15 experts, composé de dirigeants politiques, de chefs d’agences et d’experts, dont fait partie Anthony Fauci (responsable de la gestion du coronavirus aux Etats-Unis), avertit que le monde n’est pas préparé à une « pandémie aéroportée en évolution rapide qui pourrait tuer jusqu’à 80 millions de personnes, perturber les économies et créer le chaos social ». Leurs recommandations exhortent les dirigeants internationaux et nationaux à prendre « des mesures immédiates, énergiques et audacieuses pour se préparer à toutes les urgences sanitaires ».
Parmi les donateurs du CPMB se trouvent la Fondation Bill et Melinda Gates, le Wellcome Trust, le Resolve to Save Lives et le gouvernement d’Allemagne. L’Université John Hopkins, l’Université Oxford et la Croix-Rouge sont parmi les organisations qui ont contribué au comité et à la rédaction du rapport.
Les grandes orientations du Conseil mondial (GPMB) sont les suivantes :
- évaluer la capacité du monde à se protéger contre les situations d’urgence sanitaire ;
- déterminer les lacunes critiques en matière de préparation, en se plaçant de plusieurs points de vue ;
- plaider en faveur des activités de préparation auprès des responsables et des décideurs nationaux et internationaux.
Les messages clés du rapport sont les suivants :
– Notre monde est à risque aigu d’épidémies ou de pandémies potentiellement dévastatrices qui non seulement causeraient d’énormes pertes en vies, mais perturberaient considérablement les économies et créeraient le chaos social. – Les dirigeants sont responsables de la protection de la sécurité de leur peuple, y compris de la sécurité sanitaire, mais à maintes reprises, les dirigeants mondiaux n’ont pas respecté les engagements en matière de préparation. – Le monde dispose de nombreux outils collectifs pour prévenir et se préparer à une épidémie, mais les efforts actuels sont nettement insuffisants et le besoin de nouveaux vaccins et médicaments est essentiel.
Tout au long du rapport, les experts identifient des objectifs à atteindre et des indicateurs de progrès qui ont été fixés à septembre 2020, échéancier pour mesurer l’évolution ou l’atteinte des cibles qui ont été fixées.
👉Maintenant, voici les indicateurs de progrès dont l’échéancier est fixé à SEPTEMBRE 2020, concernant l’objectif: « Les Nations Unies doivent renforcer les mécanismes de coordination » (page 10 et page 39).
C’est le deuxième « indicateur de progrès », en majuscules, qui me laisse perplexe, vraiment perplexe…
– Les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé renforcent la coordination et identifient les rôles et les responsabilités de chacun et déclenchent en temps opportun un système global de coordination pour répondre aux urgences de santé dans différents pays et dans différents contextes d’urgence.
👉- LES NATIONS UNIES (INCLUANT L’OMS) CONDUISENT AU MOINS DEUX EXERCICES D’ENTRAÎNEMENT ET DE SIMULATION À L’ÉCHELLE MONDIALE, INCLUANT UN EXERCICE QUI COUVRE LA LIBÉRATION DÉLIBÉRÉE D’UN PATHOGÈNE RESPIRATOIRE MORTEL.
– Les Nations Unies développent des seuils de déclenchement intermédiaire pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale au début de l’épidémie, pour compléter les mécanismes existants pour plus tard et dans des stages plus avancés de l’épidémie.
– Le Secrétaire Général des Nations Unies convient d’un haut niveau de dialogue avec les hauts dirigeants de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut adresser la menace d’une pandémie d’un pathogène respiratoire mortel, ainsi que la gestion de la préparation aux épidémies dans des contextes complexes d’insécurité.
D’ICI SEPTEMBRE 2020:
LES NATIONS UNIES (INCLUANT L’OMS) CONDUISENT AU MOINS DEUX EXERCICES D’ENTRAÎNEMENT ET DE SIMULATION À L’ÉCHELLE MONDIALE, INCLUANT UN EXERCICE QUI COUVRE LA LIBÉRATION DÉLIBÉRÉE D’UN PATHOGÈNE RESPIRATOIRE MORTEL???????????
Si je comprends bien, d’ici septembre 2020, deux simulations doivent avoir été menées dont l’une couvre ou cache la libération volontaire d’un virus respiratoire mortel. What?
Est-ce que cette simulation se produit actuellement dans « le vrai monde »? Le virus respiratoire mortel relâché volontairement est-il celui du coronavirus ou bien, un autre est sur le point d’être relâché?
Isabelle pour Conscience du peuple
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Complément : Traduction partielle du PDF
Page 10
Les chances d’une pandémie mondiale augmentent. Bien que les développements scientifiques et technologiques fournissent de nouveaux outils qui améliorent la santé publique (y compris l’évaluation en toute sécurité des contre-mesures médicales), ils permettent également aux micro-organismes pathogènes d’être conçus ou recréés dans les laboratoires. (**Pour l’élaboration d’un vaccin ?**) Une dissémination volontaire compliquerait la riposte à l’épidémie; (** Donc pas souhaitable**) en plus de la nécessité de décider comment lutter contre l’agent pathogène, des mesures de sécurité entreraient en jeu, limitant le partage d’informations et fomentant les divisions sociales. Pris ensemble, les événements naturels, accidentels ou délibérés causés par des agents pathogènes respiratoires à fort impact posent des «risques biologiques catastrophiques mondiaux». (15)
Le monde n’est pas préparé à une pandémie de pathogènes respiratoires virulents à évolution rapide. La pandémie mondiale de grippe de 1918 a rendu malade un tiers de la population mondiale et tué jusqu’à 50 millions de personnes, soit 2,8% de la population totale (16,17). Si une contagion similaire se produisait aujourd’hui avec une population quatre fois plus importante et des temps de déplacement partout dans le monde inférieurs à 36 heures, 50 à 80 millions de personnes pourraient périr (18,19). Outre des niveaux de mortalité tragiques, une telle pandémie pourrait provoquer la panique, déstabiliser la sécurité nationale et nuire gravement à l’économie et au commerce mondiaux. La confiance dans les institutions s’érode.
Les gouvernements, les scientifiques, les médias, la santé publique, les systèmes de santé et les agents de santé dans de nombreux pays sont confrontés à un effondrement de la confiance du public qui menace leur capacité à fonctionner efficacement. La situation est exacerbée par la désinformation qui peut entraver le contrôle de la maladie communiquée rapidement et largement via les médias sociaux.
Page 39
Indicateurs de progrès d’ici septembre 2020
• Le Secrétaire général des Nations Unies, avec le Directeur général de l’OMS et le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, renforce la coordination et identifie des rôles et des responsabilités clairs et des déclencheurs opportuns pour une coordination des Nations Unies Intervention à l’échelle du système des Nations Unies pour les urgences sanitaires dans différents pays et différents contextes d’urgence sanitaire et humanitaire.
• Les Nations Unies (y compris l’OMS) conduisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la libération délibérée d’un pathogène respiratoire mortel. ( **Il pourrait s’agir de la libération volontaire, dans le cadre d’une attaque bio-terroriste pour l’exemple, ou d’un accident dans un laboratoire P4 ?!! Pas forcément d’un test in situ dont les conséquences sont incalculables**) déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale au début des flambées, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une flambée dans le cadre du RSI (2005).
• Le Secrétaire général des Nations Unies organise un dialogue de haut niveau avec santé, des responsables de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie de pathogènes respiratoires mortels, et gérer la préparation aux épidémies dans des contextes complexes et peu sûrs
Objectif final
Il n’y a pas d’ambiguïté ni de retard dans la réponse du système des Nations Unies à une urgence sanitaire mondiale. Il existe des règles, des rôles et des responsabilités clairs, ainsi qu’un leader désigné, doté du pouvoir de coordonner l’ensemble du système et expérimenter dans la conduite d’une réponse mondiale par le biais de simulations régulières ou d’événements réels. (**Le public sera-t-il avertit ? sûrement pas, pour ne pas fausser la réponse à l’évènement **) L’OMS peut mobiliser rapidement les pays et les partenaires au début d’une flambée ou d’une urgence sanitaire.
Les commentaires publiés sont signés du nom des auteurs et engagent leur seule responsabilité sans que « lesmoutonsenrages » ne prennent en rien à leur compte leur orientation.
https://lesmoutonsenrages.fr
Source:
Suivez-moi bien puisqu'il y a un énonçé qui me paraît questionnable et très inquiétant dans le rapport que je vais vous introduire à l'instant. Cet énonçé, même dans son contexte le plus stricte, me renvoie à une récente et terrifiante affirmation de Bill Gates: Le premier rapport du GPMB (Global Preparedness Monitoring Board) a été publié en septembre 2019, et il est intitulé "A World at risk: Annual report on global preparedness for health emergencies".
http://conscience-du-peuple.blogspot.com